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De plus en plus de consommateurs veulent un étiquetage des OGM

Le New York Times rapporte une montée de la grogne chez les consommateurs avertis en matière d’alimentation, concernant les OGM et l’absence fréquente de toute indication sur les étiquettes des produits qui en contiennent.

Une hausse des demandes et des manifestations contre l’utilisation aveugle des OGM est observable, et il est permis de se demander comment il peut n’y avoir que si peu de règles dans un dossier si important et controversé.

Un sondage du New York Times révélait l’an dernier que 93 % des répondants désiraient un affichage clair des produits génétiquement modifiés, même si seulement la moitié d’entre eux affirment vouloir éviter d’en manger. Comme quoi l’information est la première source d’inquiétude des consommateurs, avant les OGM en soi.

L’État du Vermont, aux États-Unis, est maintenant un chef de file en la matière, devenant ce mois-ci le tout premier État à obliger l’étiquetage clair des produits renfermant des OGM. Le Connecticut et le Maine semblent vouloir aller dans la même direction.

Les producteurs d’OGM et de produits qui en contiennent mènent une guerre juridique à gros prix afin d’éviter de telles lois.

Voilà un débat qui n’est pas près de se terminer, et les consommateurs ont probablement raison de s’inquiéter du laxisme de certains gouvernements en la matière, alors que les effets à long terme des OGM demeurent peu connus et peu étudiés.

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Le cerveau des femmes modifié après une grossesse

Il semble que l’expérience d’une grossesse ne change pas que la vie d’une femme, mais aussi la dynamique de son cerveau, rapporte Radio-Canada.

C’est une étude proposée par une équipe de chercheurs menée par la neuroscientifique Liisa Galea, basée à l’Université de la Colombie-Britannique (UBC), qui dévoile cette conclusion.

Le cerveau subirait certains changements et perdrait même de la masse au cours d’une certaine période, ce qui pourrait créer des avantages pour les mères, comparativement à celles qui n’ont jamais vécu de grossesse.

Selon Mme Galea, les recherches effectuées par son équipe sur des rongeurs tendent à démontrer que les spécimens qui donnent la vie développeraient une meilleure mémoire à long terme, en plus d’une plus grande capacité à effectuer plusieurs tâches en même temps.

Le fait le plus étonnant s’avère sans aucun doute celui qui propose une réduction de la taille du cerveau pouvant aller jusqu’à 8 % au cours d’une grossesse, mais celui-ci reprendrait sa taille « normale » au cours des mois suivants.

Toutefois, on mentionne et confirme que les femmes qui mettent un enfant au monde ont aussi certains risques accrus de problèmes de santé, qui peuvent se matérialiser de multiples façons et selon le cas de chacune.

Les conclusions de Mme Galea et de son équipe ont été proposées dans le cadre de l’arrivée de la fête des Mères, explique en terminant la société d’État.

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Des tomates violettes canadiennes pour lutter contre les troubles cardiaques

Top Santé rapporte une percée toute canadienne en matière de nutrition et de santé cardiovasculaire, alors que des chercheurs ontariens seraient parvenus à créer une nouvelle tomate modifiée capable de faire chuter les risques de troubles cardiaques.

Ces tomates violettes, génétiquement modifiées, sont l’œuvre d’une équipe de chercheurs basée à l’Université de l’Ontario et s’avèrent riches en anthocyanosides.

En recueillant le jus de ces tomates, les chercheurs auraient créé une véritable mixture miracle pour la santé cardiovasculaire, selon les informations dévoilées.

1200 litres de ce jus de tomates canadien seront maintenant acheminés en Angleterre, là ou d’autres spécialistes devront juger de l’effet du produit sur la santé humaine à long terme.

« Nous allons étudier les effets d’un régime riche en anthocyanines sur le cancer, les maladies cardiovasculaires et d’autres maladies chroniques », confirme Jonathan Jones, du Centre John Innes, qui reprend maintenant le flambeau de ces recherches.

On croit que ce nouveau jus de tomates pourrait faire son apparition sur le marché au cours des deux prochaines années, si tout se passe bien.

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Vaste manifestation contre les OGM au Canada

Le week-end dernier (25 mai) se tenait une vaste manifestation pour protester contre les OGM, un phénomène qui ne donne aucun signe de ralentissement.

On a cependant l’impression que le dossier a perdu de la vitesse, alors que la couverture médiatique sur les OGM s’est estompée. On aurait cependant tort de croire que les producteurs font moins appel à la controversée méthode, comme nous le rappellent maintenant des centaines de milliers de manifestants.

Selon Radio-Canada, la manifestation a eu lieu dans plusieurs provinces canadiennes et plus de 400 villes dans le monde. Elle visait principalement la compagnie Mosanto, un géant dans le domaine des OGM.

« Si on ne veut pas que des multinationales comme Monsanto décident à notre place ce qu’on met dans nos assiettes et ce qu’on plante dans nos champs, il est temps de se mobiliser et de demander à nos élus d’encourager un système alimentaire durable, diversifié et équitable », martelle Élisabeth Abergel de l’UQAM.

« On a tellement insisté sur l’importance du biologique et des produits du terroir, je pense que la base est de permettre aux gens de savoir ce qu’ils mangent », ajoute Maxime Laplante, agronome.

La grogne est donc palpable au Québec, alors qu’un nombre considérable de manifestants ont joint leur voix à celle de milliers d’autres à travers la planète pour dénoncer cette pratique jugée néfaste pour la santé et la sécurité des citoyens. 

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Le saumon génétiquement modifié, bientôt dans une assiette près de chez vous

Radio-Canada rapporte une nouvelle alimentaire qui fera sursauter les puristes et les plus complotistes de ce monde.

On apprend l’apparition d’un saumon génétiquement modifié, en provenance du Panama, qui commence à passer du rêve à l’assiette dans certains endroits, ce qui inquiète plusieurs observateurs.

Mine de rien, il s’agirait du premier animal génétiquement modifié connu à se retrouver véritablement dans notre système alimentaire, un fait qui n’est pas à négliger.

Le poisson modifié peut atteindre sa taille normale deux fois plus vite, mais il vieillit aussi deux fois plus rapidement. Des données qui donnent froid dans le dos pour plusieurs, à commencer par le journaliste Étienne Leblanc.

« Puisque c’est un poisson carnivore et un poisson qui grandit plus vite, il devra aussi être nourri beaucoup plus rapidement, avec davantage d’autres poissons qui auraient pu nourrir des populations », lance Leblanc, qui voit ici la nouvelle dans son ensemble.

Le « projet » attend l’aval des autorités américaines de la santé (FDA), une autorisation qui est bien loin d’être assurée pour le moment.

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Des vies prolongées grâce à un virus modifié

Le magazine britannique Nature Medicine a publié un rapport qui relate certains tests concluants effectués sur des patients atteints du cancer du foie, qui ont vu leur vie être prolongée grâce à une nouvelle percée médicale prometteuse.

De fait, ce sont 30 patients en phase terminale de la maladie qui ont reçu le traitement, que l’on décrit comme un virus modifié capable de cibler les cellules cancéreuses.

C’est clairement la nouvelle approche de la communauté scientifique en matière de cancer, c’est-à-dire de créer des éléments qui peuvent « tuer » les cellules cancéreuses.

On a pu observer que les patients qui avaient reçu des doses importantes de ce virus modifié, appelé Pexa-Vec, ont prolongé leur vie de 7 à 14 mois en moyenne, selon les sujets.

« C’est la première fois dans l’histoire de la médecine que nous avons pu montrer qu’un virus issu du génie génétique pouvait améliorer la survie de patients atteints du cancer », lance David Kim, coauteur des recherches.

La chimiothérapie a ses limites, de l’aveu même des spécialistes, et de telles techniques permettraient de combattre sur plusieurs fronts et sur une période de temps plus longue.

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La vache Daisy produira du lait pour allergiques

La première vache génétiquement modifiée, Daisy, a pour mission de produire du lait spécialement destiné aux gens allergiques, annonce topsante.com.

Les chercheurs veulent depuis longtemps créer une source de lait qui conviendrait aux intolérants, mais au lieu de tenter d’enrayer la protéine responsable des allergies, ils ont créé une vache génétiquement modifiée.

Ainsi, Daisy, un produit néo-zélandais, a été créée par les mêmes principes qui avaient permis à Dolly, la célèbre brebis clonée, de voir le jour. Pour y parvenir, les scientifiques ont modifié une cellule de vache dite normale pour y ajouter une molécule capable de bloquer la protéine bêta-lactoglobuline.

Ensuite, ils ont introduit le noyau de la cellule dans un ovule de vache, dont le noyau initial avait préalablement été retiré. L’ovule, en gestation dans une vache porteuse, a finalement donné naissance à Daisy, l’amie des allergiques.

Beaucoup de progrès sont à prévoir dans ce domaine (clonage, modifications génétiques), puisque plus de cent ovules auraient été nécessaires pour en arriver à une seule vache. Il faut comprendre que cette technologie, qui semble parfois tout droit sortie d’un livre de science-fiction, n’est qu’à ses débuts.

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66 jours pour modifier les vieilles habitudes

Pour tous ceux qui tentent de modifier leur façon de se nourrir afin de perdre du poids par exemple, sachez qu’il vous faudra beaucoup de patience.
 
Selon une étude du University College de Londres, il faut en moyenne 66 jours avant de pouvoir changer ses habitudes. C’est le temps moyen requis pour que les nouvelles habitudes forcées deviennent des gestes naturels.
 
On a demandé aux participants de l’étude de manger un fruit comme dessert, de boire une bouteille d’eau complète au déjeuner et de courir quinze minutes en après-midi. Au bout de 66 jours, ces petits gestes sont devenus plus naturels dans leur quotidien, sans que cela soit aussi forcé qu’au début.
 
« Modifier ses habitudes alimentaires, dans un premier temps, exige de l’attention. Le geste n’est pas anodin. Mais à force de le répéter, il finit par devenir une habitude. Mais il faut, en moyenne, 66 jours pour que cette habitude soit naturelle », explique la professeure Jane Wardle.
 
Elle ajoute également qu’il est beaucoup plus facile d’inclure de nouvelles habitudes que de modifier celles que l’on a déjà.