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Traitement possible de l’ostéoporose grâce à la pravastatine?

Radio-Canada rapporte une percée intéressante annoncée par des chercheurs de la Faculté de médecine Pierre et Marie Curie en ce qui concerne un traitement de l’ostéoporose découlant d’un traitement contre le VIH.

On le sait, les « traitements » par trithérapie sont de plus en plus puissants et efficaces. Ils permettent aux patient atteints du SIDA (ou VIH) de vivre mieux et plus longtemps dans une bonne proportion des cas.

Malheureusement, le traitement par trithérapie comprend aussi son lot d’effets indésirables, selon ce que l’on comprend, à commencer par un vieillissement prématuré des cellules souches de la moelle osseuse et de celles responsables de la formation et du développement des os.

Ainsi, on parle donc d’ostéoporose précoce chez plusieurs patients, mais Claire Laghatu croit qu’elle et son équipe pourraient ni plus ni moins régler le problème grâce à la pravastatine.

Oui, une autre de ces statines dont on parle beaucoup ces temps-ci, puisqu’elles soulèvent une petite polémique concernant les effets secondaires possibles des gens qui en consomment pour prévenir les risques de maladies et d’accidents cardiovasculaires.

Cependant, leur efficacité est quant à elle fortement démontrée, et la pravastatine pourrait également servir la cause des patients atteints d’ostéoporose.

Plusieurs autres tests et recherches doivent être effectués, mais la piste semble prometteuse.

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Deux patients atteints du SIDA en rémission?

Top Santé rapporte une nouvelle stupéfiante si elle s’avère fondée : deux patients atteints du virus du SIDA seraient maintenant en rémission complète, c’est-à-dire qu’on les considèrerait comment guéris… pour l’instant.

Ces miracles se seraient confirmés à la suite d’une greffe de moelle osseuse effectuée par des médecins de Boston, au Brigham and Women’s Hospital.

« Ils se portent très bien. Mais cela n’indique pas encore que ces hommes sont guéris. Le virus peut revenir dans une semaine ou six mois. Seul le temps le dira », tient à préciser Timothy Henrich, qui veut rester prudent.

On le comprendra, puisque le fait de parler de « guérison » en ce qui concerne le SIDA n’est pas une chose simple, le virus demeurant extrêmement virulent, sournois et insidieux.

Cependant, ces cas s’ajoutent à celui d’un résident de Berlin, notamment, qui affirme être lui aussi en rémission à la suite d’une greffe de moelle osseuse semblable reçue en 2007.

Il semble que si la guerre est loin d’être gagnée, comme le soulignait récemment l’OMS en publiant un nouveau plan d’attaque préventif, une autre manche vient d’être remportée par les chercheurs.

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Découverte d’un « chaînon manquant » cellulaire

Des chercheurs auraient franchi une étape importante en ce qui concerne les cellules souches, la moelle osseuse et le système immunitaire.

En effet, selon les travaux rapportés par Santé Log, on pense avoir découvert un nouveau type de cellule qui échappait jusqu’à maintenant aux plus éminents spécialistes.

Qualifiée de véritable « chaînon manquant » cellulaire, cette cellule permettrait de faire le pont entre les cellules souches de moelle osseuse et celles du système immunitaire.

Ainsi, il est permis de croire que l’on pourrait bientôt « manipuler » certains processus qui régulent notamment le bon fonctionnement du sang et de ses vertus protectrices (globules), et ainsi améliorer ou réparer le système immunitaire chez certains patients.

Même chose pour la moelle osseuse, qui pourrait elle aussi se voir manipulée ainsi, permettant à des patients jusqu’ici qualifiés d’incurables de retrouver possiblement le chemin de la santé.

Tous ces constats ont été imaginés par les chercheurs jusqu’à maintenant, mais plusieurs clés restent à trouver afin de passer de la théorie à la pratique. Cette percée semble jeter un vent d’optimisme au sein de la communauté scientifique.

L’étude a été publiée dans l’édition de février du magazine Nature Immunology.

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Le dilemme de la provenance des cellules souches

On le sait, les cellules souches transplantées chez des patients atteints du cancer et suivant un traitement de chimiothérapie offrent beaucoup d’espoir.

Ces patients voient leur moelle épinière être ravagée par les traitements, et les cellules souches peuvent venir contrer ce phénomène.

Une nouvelle étude s’attarde cependant sur une question importante, soit la provenance de ces cellules souches. Souvent, la technique utilisée est celle de la transplantation de moelle épinière, mais il est également possible d’arriver au même résultat par une transfusion sanguine (sang périphérique).

Quel est donc le meilleur moyen, se questionnent les chercheurs dans cette étude que propose www.nlm.nih.gov.

L’étude démontre que les cellules souches de sang périphérique pourraient réduire les risques d’échec de greffe, alors que la moelle épinière pourrait réduire les risques de développer une maladie chronique postgreffe.

Le débat risque de se poursuivre pour un bon moment.

Dans les dix dernières années, 75 % des transplantations de cellules souches provenant d’une personne non reliée par la famille ont été faites à partir de sang périphérique. Il semble que plusieurs études ont aussi démontré que la moelle épinière peut mener à des complications plus sérieuses, ce qui aurait influencé le choix des spécialistes.

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La transplantation de cellules souches pourrait augmenter le risque de maladies cardiaques

Les gens qui subissent une transplantation de cellules souches, par une greffe de moelle osseuse ou de sang de cordon ombilical, auraient plus de chance de développer des problèmes cardiovasculaires, selon une étude.

Celle-ci est rapportée par nlm.nih.gov et affirme que plusieurs maladies cardiaques pourraient être influencées par de tels traitements. On parle entre autres de diabète, de haute pression et d’un taux de cholestérol élevé.

Les chercheurs de l’American Society of Hematology ont noté que les patients qui subissent des traitements de chimiothérapie ou de radiation juste avant une transplantation de cellules souches voient augmenter leurs chances d’avoir des problèmes cardiaques.

« Bien que nous nous en doutions, il était difficile de conclure avec précision jusqu’à présent. En fait, comme il était difficile de faire des suivis à très long terme sur ces patients, nous ne pouvions confirmer nos doutes. Des échantillons trop petits étaient également des obstacles », explique le Dr Saro Armenian, directeur de la Pediatric Survivorship Clinic au Childhood Cancer Survivorship Program de la ville de Duarte, en Californie.

Les chances de diabète et de problèmes de cholestérol seraient respectivement 1,5 et 1,4 fois plus probables que d’ordinaire.