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Moins manger n’est pas gage de longévité

Il faut bien distinguer la différence entre le fait de manger peu et avoir un corps en santé, rapporte Top Santé, alors qu’une étude sur l’obésité rappelle que le fait de moins manger n’est pas un gage de longévité.

Si l’on inverse le raisonnement, donc, ce n’est pas le fait de manger beaucoup qui met votre santé (et votre vie) en danger, mais plutôt la prise de poids associée à ces comportements alimentaires qui crée un impact sur la durée de vie potentielle.

On revient ici sur la fameuse étude qui traçait un lien entre les nombreux centenaires recensés au Japon et leurs habitudes alimentaires, mais voilà que plusieurs autres recherches sur le sujet placent un bémol sur ce genre de raisonnement.

D’autres tests sur des rongeurs ont permis de constater que la quantité de nourriture ingérée ne changeait rien à leur espérance de vie.

Un constat qui fait dire au magazine La Recherche, qui publiait ces nouvelles conclusions : « Si on ne peut pas vivre plus longtemps en mangeant moins, on peut en revanche vivre plus longtemps en mangeant mieux ».

De sages paroles!

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Moitié moins de risques de cancer de la prostate chez les hommes actifs

Santé Log rapporte une nouvelle étude concernant le cancer de la prostate qui risque de donner le goût à plusieurs hommes de se mettre à l’exercice physique.

Selon l’étude britannique, les hommes actifs verraient leurs risques de développer un cancer de la prostate être diminués de moitié, rien de moins.

Publiées dans la plus récente édition du magazine Cancer, ces recherches en provenance du Durham Veterans Affairs Medical Center ne sont pas complètes, mais apportent certains éléments qui tendent à prouver cette théorie.

Cette dernière parle de 50 % moins de risque concernant le cancer de la prostate, mais aussi d’une meilleure capacité de rétablissement en cas de cancer, en plus de risques atténués de subir des lésions graves lors des traitements ou du développement d’une maladie du genre.

L’étude semble controversée depuis sa sortie, puisqu’elle parle des bienfaits de l’exercice physique en matière de cancer de la prostate chez les hommes blancs seulement, ce qui fait bondir certains spécialistes et observateurs.

Il est clair que d’autres études sur le sujet sont à prévoir.

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Adele plus zen depuis la naissance de son fils

Adele a expliqué aux journalistes le weekend dernier qu’elle est beaucoup plus zen maintenant qu’avant la naissance de son fils, rapporte notamment People.

Pour elle, il est clair que la venue de son petit garçon l’a rendue moins stressée que d’habitude, et cela fait son affaire. Elle parle de priorités mieux placées lors de l’arrivée d’un enfant dans le portrait.

« Je n’ai pas été très stressée récemment. Dans la vie, lorsque vous avez un enfant, vous devez savoir ce qui vous stresse et ce qui vous inquiète », explique la chanteuse.

Poursuivant sur le même sujet, elle avoue également passer plus de temps à chanter des chansons pour enfants que ses propres succès ces temps-ci.

« J’ai assisté à plusieurs rencontres et je ne suis plus vraiment dans le coup. Je chante plutôt des passages de chansons pour enfants ces temps-ci, alors je ne sais pas vraiment ce qui est cool et ce qui ne l’est pas », avoue l’interprète de Skyfall.

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Moins de cancers en Alberta

Une nouvelle aussi bonne qu’intrigante nous arrive de l’Alberta, alors que l’on constate des taux de cancer en chute libre au sein de la population de la province canadienne.

Selon Radio-Canada, qui rapporte la nouvelle, il appert que le phénomène n’est pas tout nouveau dans la région, puisque les taux de mortalité et de diagnostic de cancer en Alberta sont en baisse depuis 2004.

Pour Paul Grundy, vice-président affecté aux soins de santé liés au cancer et directeur médical en chef, il s’agit d’une preuve concrète du succès de certaines des mesures implantées dans la province depuis quelques années. Notamment, les campagnes anti-tabac, de prévention des rayons UV et celles qui prônent le dépistage régulier contre le cancer semblent toutes avoir porté des fruits.

On souligne aussi la qualité des soins de santé offerts en Alberta, en plus du travail exceptionnel des oncologues de la province.

Pour M. Grundy, il s’agit d’une bonne nouvelle, mais encore beaucoup de travail reste à faire. Le cancer demeure un fléau même en Alberta, et on doit poursuivre la lutte.

Le taux de diagnostic de cancer a chuté de 1 % annuellement depuis 2002 en Alberta, et le nombre de décès liés à la maladie est en baisse de 2,8 % depuis 2004.

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Le cancer fait moins de morts en Amérique du Nord

C’est un constat rempli d’optimisme que publie www.cancer.org, alors que les taux de mortalité dus au cancer seraient encore en baisse en Amérique du Nord, notamment aux États-Unis.

Ces résultats proviennent du rapport annuel sur le sujet (Annual Report to the Nation on the Status of Cancer), publié cette année dans le Journal of the National Cancer Institute.

On remarque que les décès à la suite d’un cancer sont en baisse, malgré une hausse des diagnostics. Il s’agit d’un déclin constant depuis les années 90, affirment les spécialistes, ce qui a de quoi surprendre.

Ainsi, on note des baisses respectives de 1,8 % et 1,4 % de mortalité chez les hommes et les femmes atteints d’un cancer. De plus, ces statistiques touchent la plupart des cancers connus, comme ceux du poumon, du sein et de la prostate, pour ne nommer que ceux-là.

« La continuité de la baisse de la mortalité par cancer depuis deux décennies est certainement une raison de célébrer. Le défi auquel nous faisons maintenant face est de continuer cette progression malgré l’apparition de nouveaux problèmes comme l’obésité et le VPH, entre autres. »

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Les enfants moins populaires pourraient devenir obèses

Le fait de ne pas être populaire à la petite école ne fait pas seulement que ternir le quotidien des enfants. Des chercheurs suédois ont trouvé que les enfants plus malmenés par leurs camarades vers l’âge de dix ans sont plus susceptibles de souffrir d’obésité et de plus haute pression sanguine lorsqu’ils auront 40 ans.

Ces effets de l’impopularité apparaissent davantage chez les femmes.

Cependant, ces problèmes de santé n’apparaissent pas uniquement chez les enfants ayant subi de l’intimidation, puisque le simple fait d’être tenu à l’écart, isolé des autres, peut les entraîner.

Et ce n’est pas tout. Les chercheurs ont étudié plus de 900 jeunes de 16 ans pendant 27 ans. À la fin de l’étude, publiée dans PLoS ONE, les problèmes de santé des jeunes laissés pour compte dépassaient l’obésité et les troubles de la pression sanguine, puisqu’ils ont aussi diagnostiqué le diabète, les carences en bon cholestérol ainsi que de mauvais gras dans le sang des enfants touchés.

Rappelons également qu’avant l’âge de 12 ans, les enfants qui sont victimes d’intimidation sont quatre fois plus susceptibles que les autres de s’automutiler.

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Les destinations les moins chères de l’été

En Europe, les vols vers différentes destinations sont moins chers durant la haute saison touristique. Plusieurs destinations deviennent très abordables. Par exemple, si un vol vers Milan coûte 180 livres sterling durant l’année, il en coûte seulement 63 durant la saison estivale.

Avec une différence de 65 %, Milan est la meilleure destination pour les vacanciers désirant économiser. Ensuite, on retrouve Venise, avec une différence de 43 %, en passant de 130 à 74 livres sterling. Puis, Paris, Valence et Toulouse viennent compléter ce palmarès.

Toutefois, la destination où il est le plus dispendieux de s’envoler est Zakynthos. S’il en coûte 218 livres sterling pour s’y rendre le reste de l’année, c’est 352 livres que devront verser les vacanciers qui souhaiteront s’y rendre en été.

Aussi, des hausses de prix de 23 à 60 % sont enregistrées pour les vols à destination de Girona, Ercan, Rimini et Santa Cruz.

Rappelons qu’en Occident, Las Vegas, au Nevada, serait la ville la plus abordable pour les voyageurs, selon TripAdvisor.

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Moins de la moitié des asthmatiques contrôlent leurs symptômes

C’est ce qu’ont déterminé plusieurs pédiatres lors de l’International Consensus (ICON) on Pediatric Asthma à Genève.

« L’asthme pédiatrique est une maladie chronique qui requiert donc des traitements chroniques. […] Malgré l’accessibilité aux traitements, moins de 50 % des enfants asthmatiques contrôlent leurs symptômes », explique le professeur secrétaire général du EAACI et membre du Pediatric Asthma ICON, Nikos Padadopoulos.

L’asthme touche plus de 300 millions de personnes dans le monde. Dans certains pays même, un enfant sur trois en souffre, et 80 % de ceux-ci ont des allergies.

L’asthme représente un véritable problème pour les enfants qui en souffrent, qui deviennent très vulnérables. Des chercheurs des universités Yale et Brown ont conclu, après avoir suivi 430 enfants asthmatiques de 4 à 12 ans, que le plus faible taux de pollen dans l’air pouvaient les atteindre.

Rappelons également que plusieurs facteurs peuvent déclencher l’asthme pédiatrique. Par exemple, les enfants exposés à la fumée secondaire parentale sont plus susceptibles d’avoir des maladies respiratoires chroniques comme l’asthme toute leur vie.

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Les jeunes qui tiennent tête à leurs parents consomment moins

Les jeunes qui apprennent à tenir tête à leurs parents résisteraient mieux aux différentes pressions sociales négatives de leurs fréquentations.

Les jeunes qui consomment moins d’alcool seraient ceux ayant appris à négocier et pris confiance en eux dès l’adolescence. Cet apprentissage, développé à la maison, ferait d’eux des individus mieux outillés pour tenir tête aux pressions de leurs amis quant à la consommation de drogues et d’alcool.

De plus, ces adolescents seraient moins tentés, lorsqu’ils consomment de l’alcool, d’en abuser.

Ces affrontements entre adultes et adolescents les habitueraient à être pris au sérieux, puisque le ton de la discussion est plus sérieux dans ce genre de mésentente que dans les conflits entre amis. 

En fait, selon les scientifiques, les parents devraient provoquer l’argumentation avec leurs jeunes afin qu’ils deviennent des consommateurs plus avertis.

Rappelons qu’en moyenne, c’est à 14 ans que les jeunes commencent à consommer de l’alcool et de la drogue. Une étude a révélé qu’une consommation à l’adolescence est de plus en plus considérée comme un indicateur d’abus plus tard.

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Les enfants ne mangent pas moins s’ils se servent eux-mêmes

Cependant, cela ne veut pas dire que les enfants ne devraient pas se servir eux-mêmes. Cette pratique leur apprend à développer des habiletés sociales, comme attendre leur tour, mais aussi comment mieux manier leurs ustensiles. Également, ils deviennent plus indépendants à l’heure du repas s’ils savent se servir eux-mêmes.

« Permettre aux enfants de se servir eux-mêmes — plutôt qu’on leur serve nous-mêmes des portions qui sont souvent plus grandes qu’appropriées pour leur âge — ferait en sorte que leur consommation serait plus adaptée à leurs besoins », explique la directrice adjointe du Center for Childhood Obesity Research de la Penn State University et auteure de la recherche, Jennifer Savage Williams.

Toutefois, cela ne veut pas dire que les enfants qui se servent eux-mêmes ne mangeront pas trop. C’est pourquoi il est important d’avoir certaines règles à propos de la façon de se servir des portions appropriées, selon les experts.

De plus, les scientifiques mettent en garde les parents. Si vous servez de grandes portions à vos enfants, ils seront portés de s’en servir d’aussi grosses lorsqu’ils le feront eux-mêmes.

Rappelons que le contrôle des portions évite aussi beaucoup de gaspillage. C’est pourquoi, selon de nouvelles règles du département américain de l’Agriculture (USDA), les portions des cafétérias scolaires seront davantage surveillées et calculées. Aussi, plus de fruits, de légumes et de grains entiers seront servis aux enfants.