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Moins de pression dans l’apprentissage de la propreté

C’est ce que croit l’auteure de livres pour les parents Madeleine Deny. Elle donne quelques conseils pour y arriver sans mettre trop de pression sur les tout-petits.

D’abord, elle suggère d’enfiler une culotte sans la couche. Si le petit s’échappe, il saura que ce n’est pas confortable d’avoir une culotte mouillée. Dans ce cas-ci, prenez le temps de l’accompagner à la salle de bains et ne le réprimandez pas.

La vessie des enfants atteint sa maturité vers deux ans ou deux ans et demi. Ce n’est qu’à ce moment que le petit saura qu’il a envie d’aller sur le pot.

Également, elle souligne que les enfants vont de 6 à 10 fois sur le pot. Il pourrait donc être bien pratique d’établir une sorte d’horaire. Par exemple, prévoir une pause pipi toutes les deux heures pourrait l’habituer à aller sur le pot.

Si l’enfant est en camp de vacances ou fréquente l’école sans être tout à fait propre, prévoyez deux ou trois culottes de rechange, juste au cas.

Rappelons que si les façons de faire quant à l’apprentissage de la propreté ont beaucoup évolué au fil des dernières années, il semble qu’elles ne soient pas appliquées de manière uniforme auprès de tous les enfants. Ce n’est donc pas parce que les autres enfants ont appris d’une telle manière que celle-ci fonctionnera avec votre enfant.

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Manger moins de viande pour réduire les gaz à effet de serre

Une étude du Woods Hole Center, au Massachusetts, démontre que la consommation de viande devrait être coupée de 50 % par personne d’ici 2050.

Les experts estiment que la population mondiale augmentera de 2 milliards. Ainsi, la consommation et la production de viande monteront en flèche également.

Le fait de changer la façon dont les gens mangent peut avoir un effet considérable sur l’émission de gaz à effet de serre des ménages, selon le docteur, président et scientifique en chef du Woods Hole Center, Eric Davidson.

« S’il y a une demande grandissante en viande, ce qui est le cas, ça va finir par exiger une plus grande quantité de fertilisants contenant de l’azote et la production de plus de fumier, qui tous les deux engendreront des émissions involontaires de formes variées d’azote dans l’environnement, y compris les nitrates dans les nappes phréatiques et les eaux de surface ainsi que les gaz à effet de serre comme l’oxyde nitreux », dit le docteur Davidson.

En fait, l’oxyde nitreux reste dans l’atmosphère très longtemps, voire des centaines d’années, avant de se décomposer. Bien qu’il soit au troisième rang des gaz à effet serre, il s’agit du plus puissant.

Rappelons que les sources principales de ce type de gaz sont, justement, les engrais azotiques synthétiques et le fumier.