Catégories
Uncategorized

Les fibres et la prostate

Il semble que les fibres soient des alliées précieuses pour les hommes qui souhaitent mettre toutes les chances de leur côté afin de prévenir un éventuel cancer de la prostate, rapporte E-Santé.

Une molécule que l’on retrouve dans ces fameuses fibres octroierait cette protection, selon les recherches publiées par des chercheurs de l’Université du Colorado.

Cette molécule permettrait d’abord de prévenir des lésions que l’on dit précancéreuses, une prémisse du cancer de la prostate. Un régime fort en fibres permettrait donc de freiner la formation de vaisseaux sanguins qui créent ce genre de lésions, limitant ainsi les chances de progression d’un cancer de ce type.

Les recherches tendent non seulement à démontrer la véracité de cette théorie, mais on constate que les peuples asiatiques affichent des statistiques bien en deçà de celles des Nord-Américains en matière de cancer de la prostate.

Il est facile de faire le lien avec les régimes alimentaires des deux régions du monde, qui sont souvent diamétralement opposés.

Encore une fois, on constate que ce que l’on mange influence fortement le type de maladies auxquelles nous risquons de faire face dans la vie.

Catégories
Uncategorized

Les suppléments à base de levure de riz rouge : attention

Topsante.com rapporte qu’une alerte a été lancée par plusieurs associations concernant certains suppléments alimentaires à base de levure de riz rouge.

C’est que, selon les experts, la plupart de ces produits ne sont pas seulement « inutiles », mais peuvent également représenter un danger pour l’organisme.

Recommandés pour faire baisser le taux de mauvais cholestérol dans le sang, certains de ces suppléments ne contiendraient pas les doses nécessaires de la molécule qui permet de faire baisser ces taux. Le traitement s’avère donc inefficace.

En contrepartie, d’autres compléments du genre (toujours à base de levure de riz rouge) contiendraient des doses trop importantes, représentant ainsi un véritable danger pour le consommateur.

On suggère fortement de consulter son médecin avant d’entreprendre un tel traitement, et les associations (notamment en Europe) veulent que les autorités légifèrent en la matière.

On souhaite que les dangers reliés à ces suppléments soient dévoilés et officialisés, et que les compléments qui ne contiennent pas les doses suffisantes de la molécule monacoline K ne soient plus recommandés comme traitement pour le cholestérol.

Selon les spécialistes, il est important de corriger le tir et de transmettre ces informations au public.

Catégories
Uncategorized

Découverte d’une nouvelle molécule anticancer

Des équipes de l’Institut Curie et du Centre national de la recherche scientifique ont découvert une nouvelle molécule qui agit sur les cellules résistantes à la chimiothérapie traditionnelle, et ce, grâce à un mécanisme encore inconnu.
 
Cette molécule cible seulement la multiplication et la mobilité des cellules, freinant donc la prolifération du cancer.
 
Selon le Cancer Research,il aura fallu une dizaine d’années de recherche et une analyse de 30 000 molécules pour parvenir à en trouver une qui avait l’effet escompté sur les cellules tumorales.
 
Les tests in vitro effectués sur le modèle animal laissent croire à un développement de nouveaux traitements plus efficaces que la chimiothérapie traditionnelle. De l’espoir, donc, dans la lutte contre le cancer.

Catégories
Uncategorized

Un nouvel espoir contre le cancer

Après 10 ans de recherches, une équipe de l’Inserm CNRS, en collaboration avec des chercheurs australiens et anglais, est parvenue à isoler une molécule capable de freiner la multiplication et la mobilité des cellules cancéreuses.
 
Selon leurs résultats obtenus en laboratoire et sur des animaux, la Liminib inhibe la Lim Kinase (LIMK), qui est surexprimée dans plusieurs tumeurs invasives.
 
La LIMK permet la prolifération et la mobilité des cellules malades, alors que la molécule Liminib empêche le phénomène en désorganisant la dynamique du squelette interne même de la LIMK.
 
Cette molécule permet aussi de vaincre plus efficacement les cellules cancéreuses résistantes à la chimiothérapie.
 
Cette découverte pourrait donc mener à de nouveaux traitements et permettrait également d’éviter de nombreux décès par cancer, surtout dans les cas où la chimiothérapie s’avère insuffisante pour anéantir complètement les cellules malades.
 
Catégories
Uncategorized

Une molécule qui accentue les effets des traitements contre les mélanomes

Lors d’essais cliniques à l’Institut Curie, une équipe de chercheurs a découvert que la molécule Dbait, qui joue un rôle dans la réparation de l’ADN, pouvait accentuer les traitements de radiothérapie pour les mélanomes.
 
Cette molécule serait capable de tromper les cellules tumorales. Selon l’Institut Curie, elle leur ferait croire qu’avec la radiothérapie, elles ont été plus endommagées qu’elles ne l’ont été en réalité, ce qui pousse les cellules malades à se « suicider », avant même que les tissus sains ne soient atteints.
 
La molécule Dbait freine donc la capacité de réparation des cellules cancéreuses, ce qui affaiblit les tumeurs, même celles résistantes aux traitements.
 
Les essais cliniques se poursuivent, et certains médecins vont proposer à leurs patients d’opter pour ce traitement, mais de façon très encadrée.
 
Catégories
Uncategorized

Une molécule pour traiter les maladies auto-immunes

Des chercheurs français ont découvert qu’une molécule, déjà utilisée pour traiter certains cancers, était aussi efficace pour soigner les complications auto-immunes de l’hépatite C.
 
Bien souvent, les personnes ayant une hépatite C peuvent développer des complications au niveau de la peau, des articulations, des nerfs ou des reins.
 
Après six mois de traitements avec la molécule interleukine-2, on a noté une amélioration considérable des patients, rapporte le New England Journal of Medicine.
 
« Ces résultats montrent, pour la première fois chez l’homme, que l’interleukine-2 à faibles doses a des effets thérapeutiques dans contexte d’une maladie auto-immune, ouvrant la voie à ce type de traitement dans des maladies comme le diabète, la polyarthrite rhumatoïde, la sclérose en plaques, le lupus… Des essais de traitement par interleukine-2 du diabète de type 1 sont déjà en cours à l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière », expliquent les chercheurs.
 
Cette découverte ouvre la voie à de nouveaux traitements pour les maladies auto-immunes.
 
Catégories
Uncategorized

Nouvel espoir pour contrer le paludisme

La revue scientifique Nature nous apprend que des chercheurs ont réussi à identifier une molécule malodorante qui arriverait à tromper le flair aiguisé des moustiques.
 
Cette molécule brouille les cellules des moustiques qui sont sensibles au dioxyde de carbone (CO2) émis dans l’air par les humains lorsqu’ils expirent. C’est en repérant ce CO2 que les moustiques parviennent facilement à trouver une proie.
 
« Ces substances présentent de grands avantages pour réduire les contacts entre moustiques et humains et peuvent conduire à une nouvelle génération de répulsifs et de leurres », explique l’auteur de l’étude, Anandasankar Ray.
 
Si ces résultats se confirment, il s’agirait d’une excellente alternative aux répulsifs auxquels les moustiques deviennent de plus en plus résistants et la lutte au paludisme se ferait plus efficace.
 
Toutefois, les recherches doivent se poursuivre, car les moustiques ne sont pas seulement attirés par le CO2 que nous émettons, mais aussi par l’odeur de la sueur et de la peau. Ils pourraient donc parvenir à nous repérer de toute façon.
Catégories
Uncategorized

De l’espoir contre la polyarthrite rhumatoïde

En ce moment, une personne sur trois qui souffre de polyarthrite rhumatoïde ne répond pas aux traitements. Ainsi, elle doit vivre avec la douleur et parfois avec certaines articulations déformées.
 
Des chercheurs de l’Institut national de la santé et recherche médicale en France ont cependant découvert une molécule fort prometteuse.
 
Les dendrimères, des molécules de synthèse, s’avèrent efficaces contre les maladies inflammatoires comme la polyarthrite rhumatoïde. Testées sur des animaux et des cellules humainesin vitro, on constate qu’elles agissent sur l’inflammation des articulations, mais empêchent également la destruction des cartilages et l’érosion des os.
 
La polyarthrite rhumatoïde touche trois fois plus les femmes que les hommes. Au Canada, environ 300 000 personnes sont atteintes. Cette pathologie peut se manifester à tout âge, mais elle est plus souvent diagnostiquée entre 25 et 50 ans.
Catégories
Uncategorized

Bientôt un nouveau traitement contre l’asthme?

L’asthme allergique touche des millions de personnes dans le monde. La prévalence et la sévérité des symptômes sont à la hausse depuis les dernières années. Des chercheurs de l’Inserm en Europe ont découvert une molécule qui permet aux cellules responsables de la maladie de survivre.
 
Chez les personnes qui souffrent d’asthme, des cellules du système immunitaire, les lymphocytes T, quittent la circulation sanguine pour migrer dans les tissus pulmonaires, causant ainsi l’inflammation et l’asthme.
 
Toutefois, les chercheurs viennent de constater que ces lymphocytes expriment en leur surface une protéine appelée CX3CR. Celle-ci joue un rôle déterminant dans le développement de la maladie, car elle permet la survie des lymphocytes T.
 
Cette découverte ouvre donc la voie à la création d’un médicament qui pourrait éradiquer cette molécule. Si cela se produit, on pourra mieux traiter les patients asthmatiques.
Catégories
Uncategorized

L’attirance sexuelle serait moléculaire

Selon le professeur Stephen Michnick de l’Université de Montréal, l’attirance sexuelle ne serait en fait qu’un mécanisme moléculaire.
 
Nous sommes tous attirés par certains types d’hommes ou de femmes, voilà le mystère de l’attirance sexuelle. Le professeur Michnick croit avoir trouvé une explication à ce phénomène qui expliquerait du même coup certaines dépendances chez quelques personnes, rapporte la revue Nature.
 
Pour trouver ces explications, les chercheurs ont travaillé avec de la levure de pain. « Bien que la levure soit radicalement différente de l’être humain, nous avons beaucoup de points communs avec elle au niveau moléculaire et cellulaire », dit le professeur.
 
Lorsque la levure décide de s’accoupler, c’est en fait en raison de la modification d’une seule protéine, la ste5. Ce changement se produit lorsque la cellule est exposée à une phéromone (message chimique produit chez la plupart des animaux). Cette phéromone active deux enzymes qui modifient alors la protéine et provoque la décision de s’accoupler ou non.
 
« En fait, quand la cellule est exposée à une quantité suffisante de messages, l’une des enzymes finit par avoir le dessus sur la capacité de l’autre à modifier la Ste5, déclenchant une brusque cascade de messages chimiques qui sont transmis à la cellule pour lui indiquer que le moment est venu de s’accoupler. La décision de s’accoupler est aussi précise et entraîne la sélection du meilleur partenaire disponible, même si plusieurs partenaires potentiels se font concurrence à proximité », ajoute Stephen Michnick.