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Plus de risques de haute pression pour les faibles salariés

www.nlm.nih.gov rapporte une étude qui suggère une hausse des risques de haute pression chez les gens qui ont un salaire moins élevé que les autres.

Ce serait d’autant plus vrai chez les personnes âgées de 25 à 44 ans, selon l’étude, période où l’humain moyen ressentirait le plus de pression professionnelle et de performance.

Ainsi, les plus faibles salariés seraient plus enclins à faire de la haute pression à tout âge, ce qui surprend les principaux acteurs impliqués dans l’étude.

L’auteur principal, J. Paul Leigh, lance : « Nous avons été surpris de constater que des salaires plus faibles pouvaient s’avérer un facteur de risque très fort pour des tranches de population qui ne sont pas normalement associées à des problèmes de haute pression. Le phénomène de haute pression frappe généralement les hommes plus âgés. Cette fois, on constate que même les femmes et les jeunes sont touchés par ce problème ».

L’étude a été publiée dans l’édition de décembre de l’European Journal of Public Health et révèle que des risques d’hypertension sont aussi présents chez les faibles salariés.

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L’aspect financier, important pour arrêter de fumer

Il semble que l’aspect financier soit un incitatif qui fonctionne pour les gens qui tentent d’arrêter de fumer, rapporte nlm.nih.gov.

Outre le coût des cigarettes, il semble que lorsque le gouvernement participe et débourse les frais médicaux divers liés à l’arrêt du tabagisme, les chances de succès augmentent.

C’est ce que rapporte une étude hollandaise, alors que le gouvernement en place a décidé de défrayer les coûts des thérapies et produits que les fumeurs utilisent pour arrêter cette habitude.

Durant une année, donc, la Hollande y est allée d’une grande campagne contre le tabagisme, mettant en place plusieurs plans d’action, dont une ligne téléphonique de soutien sans frais.

Après 12 mois, les résultats sont concluants : on constate une hausse radicale des personnes qui ont arrêté de fumer. Il semble donc facile de dresser le portrait de la situation.

« Les gens apprécient le remboursement des différentes méthodes pour arrêter de fumer. », affirme l’auteur en chef de l’étude, Marc Willemsen, chercheur et professeur à l’Université Maastricht.

Il ajoute qu’en démontrant qu’ils prennent le problème au sérieux et en enlevant la barrière financière, les gouvernements peuvent agir directement sur le problème.