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Savoir reconnaître la mononucléose

L’automne apporte son lot de jolis paysages, de feuilles colorées, de soirées fraîches et de… baisse d’énergie. Les gens qui sont frappés par une forme de dépression saisonnière ou une autre sont nombreux, mais certains pourraient bien être aux prises avec un autre type de mal : la mononucléose.

Comment reconnaître une mono d’une simple fatigue saisonnière? Voici quelques informations, rapportées par e-sante.fr.

D’abord, il faut comprendre que la mononucléose est un virus, qui se transmet et s’attrape un peu comme la grippe. Elle n’est pas considérée comme une maladie grave, mais elle affectera certainement le quotidien des gens qui l’attraperont.

Si elle frappe surtout les plus jeunes (adolescents), les adultes sont tout aussi à risque de contracter cette maladie transmise majoritairement par la salive.

Impossible de ne pas la remarquer non plus, puisque la fatigue intense qu’elle procure est indiscutable. Une personne peut se voir dans l’incapacité totale de fonctionner normalement.

S’ajoutent aux symptômes de fatigue intense : maux de gorge, forte fièvre, frissons et courbatures (douleurs musculaires). Bref, le corps ressent un malaise général, ce qui la rend facile à détecter.

Il est important de consulter si vous reconnaissez ces symptômes, car vous n’êtes peut-être pas seulement atteint d’un mal automnal.

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Association entre la mononucléose et la fatigue chronique

Selon le Dr Ben Z. Katz et ses collègues, de la faculté de médecine de l’Université Northwestern à Chicago, les adolescents qui ont souffert d’une mononucléose sont plus à risque d’être candidats au syndrome de fatigue chronique.

Les chercheurs ont observé 301 jeunes aux prises avec l’infection, dont 24 % n’étaient pas totalement remis six mois après le diagnostic de mononucléose.

Un an plus tard, encore 7 % des patients éprouvaient encore des symptômes de fatigue chronique. Le taux baissait à 4 % deux ans après le premier diagnostic, ce qui représente 20 fois plus de cas que dans la population adolescente en général.

Selon le Dr Katz, il faut maintenant se pencher sur les différences de pronostic entre les adolescents.