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Les bébés ne devraient pas passer la nuit sans leur mère

Un représentant du groupe New Fathers4Justice a parlé au nom de tous les pères monoparentaux qui subissent déjà amplement de préjugés lorsqu’ils essaient d’être une figure paternelle présente auprès de leurs enfants.

Penelope Leach, également experte familiale, indique dans son ouvrage que tout enfant de moins de 4 ans ne devrait jamais être séparé de sa mère pendant la nuit, si celle-ci a la garde principale. Elle exclut donc aussi de le faire garder pour que maman profite d’une nuit de répit, cela va de soi.

Les pères sont outrés, rapporte Parenting.com : « Les nuits passées avec le père dès un jeune âge sont essentielles pour que l’enfant développe des liens d’attachements aussi fort avec ses deux parents ».

Plus de 100 psychologues se rangent derrière l’opinion de ces pères frustrés de la théorie de Leach. Cette dernière s’est cependant défendue en indiquant que le bébé a besoin d’un lien primaire constant. Ainsi, si le père a la garde principale, « je dirais qu’il ne doit pas passer de nuits avec la mère », s’est-elle ravisée.

Les autres experts réfutent tout de même la théorie.

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Évolution du milieu familial des enfants du dernier siècle

Statistique Canada vient de publier le recensement de 2011, offrant un portrait global de la situation familiale d’hier à aujourd’hui. Les données comparatives remontent à 1901, rapporte La Presse.

Si l’on compare la situation actuelle (données de 2011) avec celle de 1931, on réalise que les enfants en situation monoparentale à l’époque (12 %) vivaient avec un parent veuf, et non avec des parents séparés.

De nos jours, ce sont 22 % des enfants, soit plus de 2 millions de jeunes au Canada, qui vivent avec l’un de leurs deux parents puisqu’ils sont séparés. Cela représente plus d’un enfant sur cinq.

C’est entre 1946 et 1965 que les enfants ont été le plus susceptibles de vivre avec leurs deux parents, le taux de familles monoparentales ayant été à son plus bas en 1961 (6 %). Trente ans plus tard, en 1991, cette proportion avait déjà plus que doublé (15 %).

Désormais, la famille reconstituée ou recomposée fait partie de la normalité, avec 11 % des enfants qui vivent cette situation.