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Le pont-passerelle du Mont-Saint-Michel

Cet ouvrage, dont la construction a débuté en 2011, est un élément-clé du projet de rétablissement du caractère maritime du Mont-Saint-Michel, gigantesque chantier lancé en 2006.

Long de 760 mètres et large de 11 mètres, ce pont-passerelle décrivant une élégante courbe consacre une promenade en chêne large de 4,50 mètres aux piétons. Les véhicules y circulent aussi depuis octobre dernier.

L’achèvement du pont-passerelle, signé par l’architecte autrichien Dietmar Feichtinger, ne signifie pas pour autant la fin des travaux, attendue à l’été 2015.

Selon le Syndicat mixte de la Baie du Mont-Saint-Michel, qui pilote le projet, la large esplanade au pied des remparts, sur laquelle débouche le pont, sera achevée fin septembre, mettant un point final à la construction du nouvel accès. L’automne marquera également le début de la destruction de la digue-route, qui prendra six mois.

Une fois les travaux terminés, la mer devrait entourer le Mont près de la moitié de l’année. Et baigner le pied du rocher une vingtaine de jours par an.

Le Mont-Saint-Michel est inscrit au patrimoine de l’UNESCO depuis 1979. Le Mont est un des premiers sites touristiques français, avec 2,3 millions de visiteurs en 2013.

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Mont-Saint-Michel : le pont-passerelle ouvert aux piétons

Cet ouvrage, dont la construction a débuté en 2011, est un élément-clé du projet de rétablissement du caractère maritime du Mont-Saint-Michel, gigantesque chantier lancé en 2006.

Long de 760 mètres et large de 11 mètres, ce pont-passerelle décrivant une élégante courbe consacre une promenade en chêne large de 4,50 mètres aux piétons.

Les véhicules – navettes automobiles et hippomobiles, services de secours et livraison – devront en revanche patienter jusqu’en octobre avant de pouvoir l’emprunter.

L’achèvement du pont-passerelle, signé par l’architecte autrichien Dietmar Feichtinger, ne signifie pas pour autant la fin des travaux, attendue à l’été 2015.

Selon le Syndicat mixte de la Baie du Mont-Saint-Michel, qui pilote le projet, la large esplanade au pied des remparts, sur laquelle débouche le pont, sera achevée fin septembre, mettant un point final à la construction du nouvel accès. L’automne marquera également le début de la destruction de la digue-route, qui prendra six mois.

Une fois les travaux terminés, la mer devrait entourer le Mont près de la moitié de l’année. Et baigner le pied du rocher une vingtaine de jours par an.

Les véhicules particuliers n’ont plus accès depuis 2012 au Mont-Saint-Michel, inscrit au patrimoine de l’UNESCO en 1979. Le Mont est un des premiers sites touristiques français, avec 2,3 millions de visiteurs en 2013.

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Mont-Saint-Michel : pont-passerelle quasi achevé, ouvert aux piétons le 22 juillet

Le pont-passerelle destiné à remplacer la digue-route menant au Mont-Saint-Michel est en cours d’achèvement et sera accessible aux piétons à partir du 22 juillet, avant d’ouvrir aux véhicules en septembre, ont annoncé les gestionnaires du projet.

Ce pont-passerelle, dont la construction a été lancée fin 2011, est un élément-clé du projet de rétablissement du caractère maritime du Mont, un gigantesque chantier débuté en 2006 et qui doit s’achever dans un an.

« Le pont-passerelle doit être livré le 10 juin et sera ouvert aux piétons le 22 juillet, après six semaines consacrées aux essais », a indiqué Laurent Beauvais, président du Syndicat mixte de la baie du Mont-Saint-Michel.

Les véhicules (navettes et services de secours et de livraison) l’utiliseront « au plus tard en septembre » et continueront d’ici là à emprunter la digue-route, a ajouté M. Beauvais, qui est également président (PS) du conseil régional de Basse-Normandie.

Après quoi, « la destruction de la digue-route pourra commencer à partir d’octobre », pour une conclusion du programme de travaux prévue « fin du printemps ou début de l’été 2015 », a-t-il souligné.

L’objectif est que la mer revienne largement entourer le Mont près de la moitié de l’année et baigner le pied du rocher 20 jours en moyenne par an, en fonction des marées. Dessiné par l’architecte autrichien Dietmar Feichtinger, le pont-passerelle décrit une élégante courbe de 760 mètres jusqu’au Mont.

Cet été, la période de transition permettra de roder à vide le trafic des navettes à moteur et à cheval, qui devra être millimétré alors que la largeur de la chaussée s’établit à seulement 6,50 mètres.

En période d’affluence maximale, une quarantaine de bus réversibles et une demi-douzaine de calèches emprunteront en effet l’ouvrage chaque heure. Les rétroviseurs des navettes automobiles ont dû être disposés « en quinconce » pour ne pas s’accrocher, a reconnu le directeur du Syndicat, Patrick Morel.

Inscrit au patrimoine mondial par l’UNESCO, le Mont-Saint-Michel est un des premiers sites touristiques français, avec 2,3 millions de visiteurs en 2013.

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Les navettes hippomobiles du Mont-Saint Michel reportées

(Relaxnews) – Les navettes tirées par des chevaux, les maringotes, devaient originalement être mises en service cette année pour permettre aux touristes de rejoindre le Mont-Saint-Michel.

Veolia Transport Mont-Saint-Michel annonce aujourd’hui, vendredi 3 août, renoncer aux navettes hippomobiles destinées à rallier le continent au site touristique cette année. « Des raisons techniques » seraient avancées par l’opérateur.

« Les ingénieurs considèrent en effet que les tests de résistance effectués sur les prototypes n’ont pas été totalement probants et l’opérateur a préféré renoncer à leur utilisation par principe de précaution », a-t-il indiqué.

Un autre prototype, plus fiable, serait en cours d’élaboration. Il pourrait être mis en service d’ici 2014. En attendant, Veolia envisage de déployer des calèches plus classiques d’ici la fin de l’année.

Les six maringotes devaient être lancées le 28 avril dernier, date de la fermeture du stationnement au pied du mont et de la mise en service de navettes pour le rejoindre.

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Interdiction de voitures au Mont-Saint-Michel

Plus aucune voiture n’aura accès à l’île. Pour preuve, le stationnement de 15 hectares au pied des remparts sera fermé dès ce week-end. Les gens devront laisser leurs voitures et vélos dans un stationnement conçu à cet effet à 3 km du mont. Ce dernier sera payant (8,50 euros par jour) et pourra accueillir 4150 véhicules de tout genre.

L’objectif premier de ce changement est de redonner le plein caractère maritime à l’endroit et faire en sorte de bloquer la sédimentation et le recul de la mer à proximité de l’attrait touristique le plus fréquenté de la Normandie et le deuxième de la France.

Quatre façons de se déplacer seront dorénavant proposées aux millions de visiteurs qui se déplacent pour contempler ce célèbre monument.

Il y aura Le Passeur, cette navette gratuite et efficace qui permet aux touristes d’atteindre la dune en six minutes.

Pour les habitants de cette commune française et employés de l’endroit, il y aura le minibus La Montoise, qui sera également offert gratuitement.

Pour deux euros, les gens en provenance de la gare de Pontorson pourront embarquer dans un autre minibus, et pour huit euros aller-retour, ceux qui aimeraient prendre leur temps (15 minutes) et se déplacer avec un moyen de transport plus charmant pourront choisir La Maringote, qui sera tirée par des chevaux, décrit l’Agence France-Presse.

Une digue et un pont-passerelle devraient être également conçus d’ici 2014, dans l’optique de ce réaménagement.

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La Normandie à vélo

Bien installés sur leur selle de vélo, les touristes pourront dorénavant découvrir des paysages et des attractions touristiques en roulant notamment sur les diverses pistes cyclables entre Paris et la Normandie.

La Véloroute Paris / Le Mont-Saint-Michel : Des chemins merveilleux relie en 7 étapes la capitale française au célèbre îlot rocheux où trône une abbaye.

Quant à La Véloroute Plages du Débarquement / Le Mont-Saint-Michel : Des chemins historiques, qui s’avère plus sportive et ardue, elle traverse le parc naturel régional des marais du Cotentin et du Bessin ainsi que les gorges de la Vire.

D’autres itinéraires seront sans doute fort populaires et sauront conquérir les amateurs de vélo et de plein air, tels que ceux en Normandie même, en Bretagne et dans trois comtés du sud-ouest de l’Angleterre.

De nouveaux parcours ayant pour thèmes Véloroute, Maritime et Impressionnisme verront le jour au cours des prochains mois.

Pour plus de détails, cliquez ici.

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L’accès au Mont-Saint-Michel compromis

D’ici novembre 2012, on saura si le rétablissement du caractère maritime du Mont-Saint-Michel se fera. Les changements prévus à l’accès à cette île feraient en sorte que les touristes devraient marcher au moins 2 kilomètres aller-retour.

Il y a lieu de se demander si cela en découragera plusieurs de visiter le Mont-Saint-Michel. D’ici le 15 mars, une étude devra être déposée sur ce projet, laquelle sera menée par l’ingénieur Claude Liebermann, qui maîtrise déjà ce dossier.

Ainsi, entre mars et novembre 2012, on saura si des changements seront mis de l’avant et si, le cas échéant, il y en aura aussi quant au tarif pour accéder à cette île de France.

On sait que dans un projet remis en 2009, les navettes partaient à 900 mètres du nouveau stationnement, lequel se situe sur la côte, à 2 km du mont. Les touristes se trouvent donc à 350 mètres des lieux, dans cette situation.

Plusieurs souhaitent plutôt que la navette parte du stationnement, car des touristes pourraient passer outre la visite du Mont-Saint-Michel.

Malgré tout, le nouveau stationnement sera ouvert à compter du 28 avril 2012, et les navettes partiront bien à 900 mètres de ce dernier.

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Le Mont-Saint-Michel pourrait perdre son inscription à l’UNESCO

Lorsque l’UNESCO accepte d’inscrire un site historique ou archéologique dans sa liste des sites protégés, il est important pour elle que certaines mesures précises soient appliquées ensuite par les autorités responsables.

Ainsi, le projet de construction d’un parc éolien qui doit naître à proximité du Mont-Saint-Michel, en France, inquiète l’UNESCO au point où l’organisation pourrait retirer à l’endroit son inscription sur sa liste de l’Héritage mondial des sites protégés.

L’UNESCO, qui a écrit à la France afin d’avoir plus de précisions concernant ce projet, a reçu, en date du 1er février, la réponse des autorités françaises et doit maintenant étudier celle-ci afin de prendre une décision.

Selon les informations, ce parc éolien ne compterait que 3 éoliennes et serait érigé à 17 kilomètres du Mont-Saint-Michel.

Les opposants locaux au projet avancent que ces éoliennes bloqueront la vue lointaine du Mont-Saint-Michel et de la mer qui l’entoure.

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On pourra se rendre visiter le Mont-Saint-Michel tiré par des chevaux

Avec le tourisme responsable et écologique qui prend de l’ampleur, des travaux sont en cours autour du Mont-Saint-Michel, en France, pour lui redonner le décor maritime qui en faisait jadis sa notoriété.

Alors que ce projet est en cours, les autorités doivent continuer à donner accès à ce site unique qui est le deuxième monument le plus visité de toute la France après la célèbre Tour Eiffel.

Situé dans la Basse-Normandie, le mont Saint-Michel pourra être rejoint par une maringotte, un véhicule d’une cinquantaine de places tiré par des chevaux, probablement à compter du printemps 2012.

Les maringottes seront payantes, mais les visiteurs auront aussi le choix d’utiliser gratuitement une navette à moteur ou de s’y rendre à pied depuis les stationnements situés à environ 900 mètres de l’endroit.