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Lane Hutson n’est pas seulement bon offensivement

Quand on pense à Lane Hutson, on pense à son habileté à produire des points et a patiner comme personne. Mais ce n’est pas tout ce qui décrit l’espoir en défense des Canadiens. Il se débrouille très bien défensivement et même physiquement.

C’est ce qu’il a démontré lors de son match de samedi à l’occasion du camp estival de l’équipe junior des États-Unis. Il s’est entretenu avec NHL.com après sa rencontre.

Pendant cette rencontre, il arborait un beau «bleu» sur le côté de la tête, qu’il a subi lors d’un jeu physique pendant la rencontre.

Selon son coéquipier américain, Rutger McGroarty, Hutson a beaucoup de coeur et se donne à chaque match et chaque pratique. Il deviendrait même fâché quand l’équipe perd! Il possède un grand sens de compétition.

« Il a du chien en dedans. » – Rutger McGroarty

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Malgré ses 5 pieds 9 pouces, qui peuvent sembler petits pour un défenseur, on réalise rapidement qu’il est capable de trouver d’autres moyens pour effectuer du bon travail physique.

Et ce travail physique l’aide beaucoup défensivement. Son coup de patin et sa vision du jeu l’aident également à se démarquer défensivement.

L’entraîneur-chef des États-Unis, David Carle, a expliqué aux journalistes samedi que Hutson est capable de contrôler les attaquants quand il n’a pas la rondelle et que son coup de patin lui permet d’avoir un jeu défensif impeccable.

De toute façon, Lane Hutson a encore beaucoup de temps pour apprendre à être encore meilleurs dans tous les aspects du jeu.

Il a avoué aux journalistes sentir qu’il se rapproche de plus en plus de la LNH, mais qu’il va au moins passer la prochaine saison avec l’Université de Boston dans la NCAA, là où il a tout cassé l’an dernier.

Hutson continue de nous surprendre à chaque jour. Il pourra surprendre le monde entier au Championnat mondial junior cette année, lui qui devrait assurément faire partie de la formation américaine.

En rafale

– Carey Price n’était pas bien entouré au début de sa carrière.

– Une grande perte pour le CFM.

– Quel jeu du demi-défensif des Alouettes.

– Sorokin est meilleur au hockey qu’au basket.

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Nick Suzuki fait une visite chez Bombardier

Le capitaine du Canadien, Nick Suzuki, passe maintenant ses étés au Québec et il semble vraiment s’y plaire! Ça lui permet d’aller à plusieurs événements où il est accueilli en roi.

Cette fois, le numéro 14 a été invité à faire une visite chez la compagnie de construction d’avions Bombardier.

La compagnie a publié une vidéo résumant sa journée sur Facebook, samedi.

C’est un excellent coup de publicité pour Bombardier, mais aussi une superbe idée pour rendre les employés heureux. Je lève mon chapeau au patron pour avoir donné une journée remplie de plaisir à plusieurs employés de sa compagnie.

Les employés avaient l’air d’être très heureux et il y avait beaucoup de partisans du Canadien dans la place.

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Au grand plaisir des employés, Nick Suzuki a signé des autographes, pris des photos et échangé avec eux. Il a même pris le temps de leur offrir un discours sur l’art d’être un bon leader.

Suzuki sait de quoi il parle, il a lui-même besoin d’être un excellent leader pour diriger une équipe de la LNH.

En plus de signer des autographes, Suzuki a aussi démontré l’étendue de son talent au hockey. Dans la vidéo partagée par Bombardier, on peut le voir tirer des cibles dans un but et même y aller de quelques techniques fantaisistes pour le plaisir de tous.

Les employés ont même tenté de le battre au défi des cibles dans le but. Ça me surprendrait toutefois qu’ils aient pu le battre!

Suzuki a terminé sa journée en faisant la visite du Global 7500, qui est un avion d’affaires extrêmement luxueux. Il semble avoir apprécié le luxe qu’offre l’avion, mais je doute qu’il puisse s’offrir se genre d’engin même avec son superbe contrat de 7,875 millions $.

Le capitaine du Canadien est devenu capitaine d’avion le temps d’un instant alors qu’on le voit aux commandes de l’avion. Bien évidemment, il n’a pas piloté l’avion dans les airs, il y a des limites!

Nick Suzuki sait comment être un favori de la foule et assister à des événements à l’année longue à Montréal lui permet d’accentuer sa popularité.

En rafale

– Assez fou.

– Grosse transaction dans la MLB.

– Peu de gens s’attendaient à une telle saison de Montembeault.

– Le retour de Judge fait du bien aux Yankees.

– Les Blue Jays gagnent un match important.

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Lane Hutson est dominant au camp estival de l’équipe américaine

Lane Hutson est tout simplement impressionnant, à un point tel que ça ne nous prend plus par surprise. Cette fois, il a démontré toute l’étendue de son talent au camp estival de l’équipe junior des États-Unis en prévision du Championnat mondial junior.

Les États-Unis ont divisé séparés leurs joueurs en deux équipes. Jacob Fowler jouait avec les Bleus, tandis que Lane Hutson jouait avec les Blancs.

Ça ne s’est pas très bien passé pour Fowler et les Bleus, mais Hutson a démontré de belles choses dans la défaite de son équipe. Les Blancs affrontaient la Finlande.

Les Américains se sont inclinés 4 à 2, mais Hutson a récolté une mention d’aide sur le tout premier but du match.

Hutson a récolté sa mention d’aide en préparant le but de Rutger McGroarty en première période.

Comme le rapporte Adam Kimelman de NHL.com, Lane Hutson a démontré qu’il a du talent, mais il a surtout démontré qu’il est capable de jouer avec hargne tout au long d’une rencontre.

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Il enchaîne ensuite en expliquant que Lane Hutson « mène dans la catégorie des jeux spectaculaires par tranches de 60 minutes ».

C’est une drôle de manière de dire qu’il est impressionnant à voir jouer et qu’il joue non seulement de manière efficace, mais aussi spectaculaire.

Les partisans pensent la même chose que Kimelman.

On a très hâte de voir Lane Hutson dans l’uniforme bleu-blanc-rouge!

En rafale

– Un homme en or.

– Une vraie légende.

– La Canadienne a du rattrapage à faire.

– Assez surprenant.

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Nick Suzuki : un des meilleurs de la LNH en tirs de barrage

Qui est le meilleur joueurs des Canadiens en tirs de barrage? Nick Suzuki, bien sûr. Mais saviez-vous que le capitaine du Tricolore fait partie de l’élite de la LNH à ce chapitre?

En effet, selon une une statistique compilée par Big Head Hockey, Suzuki se classe au 5e rang de toute la LNH pour l’efficacité en tirs de barrage lors des trois dernières saisons.

Suzuki a un pourcentage de réussite de 53,9 % en tirs de barrages. Personnellement, j’étais certain qu’il était encore plus efficace que ça. Il a souvent sauvé le Canadien en tirs de barrage.

Tout le monde connait sa fameuse technique de la cuillère pour déjouer les gardiens en fusillade, mais Suzuki a plus d’un tour dans son sac. Mike Kelly de NHL Network a même analysé son travail pour démontrer qu’il est capable de marquer de plusieurs manières grâce à son impressionnante capacité à analyser le jeu.

Mais le joueur le plus impressionnant de cette liste est le Québécois Frédérick Gaudreau. Il fait du bon travail offensivement, mais de là à être le quatrième meilleur joueur de la LNH en fusillade, c’est vraiment incroyable.

En fait, Gaudreau est le joueur de la LNH qui a inscrit le plus de buts en tirs de barrage lors de la dernière saison. Il en compte 8, ce qui est 3 de plus que son plus proche poursuivant.

Revenons à Suzuki. Le capitaine des Canadiens a marqué sept buts en tirs de barrage lors des trois dernières saisons en seulement 13 tentatives. S’il continue à ce rythme, il pourra peut-être s’approcher du record de tous les temps détenu par Jonathan Toews.

Le capitaine des Blackhawks en compte 52 dans toute sa carrière.

C’est assez impressionnant de voir Suzuki se classer au-dessus de grands joueurs comme Sidney Crosby, Connor McDavid ou bien Alex Ovechkin pour une statistique offensive.

En rafale

– Déception pour le CF Montréal.

– Le CFM peut au moins se réjouir de cette défaite de ses rivaux.

– Les Angels veulent garder Shohei.

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Juraj Slafkovsky : un des seuls joueurs de sa taille à jouer à 18 ans

Juraj Slafkovsky n’a peut-être pas impressionné à ses débuts dans la LNH, mais il faut avouer qu’il a fait du bon travail. En fait, très peu de joueurs commencent à jouer dans le circuit Bettman à l’âge de 18 ans et encore moins de joueurs de sa taille le font.

En fait, Juraj Slafkovsky a terminé 5e meilleur pointeur de la LNH en 2022-23 chez les joueurs mesurant 6 pieds 3 pouces ou plus et pesant 235 livres ou plus.

Il y avait quand même d’excellents joueurs devant lui, ce qui n’aidait pas sa cause. On parle ici d’Alex Ovechkin et Anders Lee qui ont tous un gros impact sur leur formation respective. Nick Ritchie et Milan Lucic sont les deux autres à le devancer avec beaucoup plus de matchs joués.

En plus de ça, il n’a joué que 39 rencontres en 2022-23, puisque sa saison a été freinée par une blessure. S’il avait joué l’entièreté de la saison, je suis prêt à parier qu’il aurait terminé au troisième rang de cette liste.

Comme on le disait, l’âge de Slafkovsky est un facteur important dans ses performances. Jouer à 18 ans est exceptionnel et est très difficile pour l’adaptation. Avec plus de temps de jeu, il est certain qu’il va pouvoir rejoindre les meilleurs.

En fait, si on observe les statistiques de tous les joueurs de cette liste à l’âge de 18 ans, on obtient un résultat complètement différent.

Aucun de ces joueurs n’a commencé sa carrière avant l’âge de 19 ans, à l’exception de Slafkovsky. Ovechkin aurait toutefois joué à 18 ans si ce n’était pas du lock-out, mais on sait tous que l’espoir du CH n’atteindra probablement jamais les prouesses légendaires du numéro 8.

Ça vient seulement prouver que les 10 points de Slafkovsky sont déjà bien plus que plusieurs autres joueurs de sa taille à 18 ans et qu’il faut lui laisser du temps pour s’adapter.

Le meilleur exemple à donner est Joe Thornton, qui n’a récolté que 7 petits points en 55 matchs à sa saison recrue à 18 ans. 7!!!

Il a quand même connu une carrière digne du Temple de la renommée du hockey.

IL faut donc arrêter de juger des joueurs dès leur saison recrue, surtout quand ils jouent à 18 ans! Juraj Slafkovsky devrait être de retour avec le Canadien la saison prochaine et je suis prêt à parier qu’il aura un impact beaucoup plus important.

En rafale

– Le fils de Martin Brodeur imite son père.

– C’est surprenant vu le montant d’argent sur la table.

– Belle façon de se reprendre.

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Joël Teasdale : un nouveau départ loin de Montréal va lui faire du bien

Kent Hughes n’a pas soumis d’offre qualificative à Joël Teasdale et le Québécois est donc maintenant agent libre sans compensation. Il quittera le Québec pour tenter de poursuivre sa carrière dans une autre formation de la LNH. Ce nouveau départ loin de Montréal pourrait lui être très bénéfique.

C’est ce qu’il a dévoilé à Simon-Olivier Lorange de La Presse l’occasion de la Classique KR en fin de semaine.

Son rêve est de s’établir dans la LNH un jour. Ça ne semblait pas possible et c’est probablement mieux pour Teasdale que Kent Hughes ne lui a pas soumis d’offre qualificative.

Le Québécois n’a toujours pas signé d’entente avec une autre formation de la LNH, mais il a tenu à rassurer qu’il a reçu des offres et qu’il devrait se trouver du boulot d’ici la saison prochaine.

Il explique que les équipes de la LNH ont toujours un « rush » de signature à partir du 1er juillet, mais qu’elles prennent ensuite le temps de bien analyser les choses pour signer d’autres joueurs.

Même si ce nouveau départ pourra lui faire beaucoup de bien, Teasdale n’a pas caché que le fait de quitter le CH l’a rendu un peu triste, expliquant que c’est son équipe d’enfance et qu’il aurait aimer continuer son parcours à Montréal.

Ce qui sera difficile pour Teasdale, c’est l’adaptation. Il n’a jamais joué au hockey pour une formation en dehors du Québec. Il aurait bien aimé être repêché par une équipe des maritimes dans la LHJMQ pour pouvoir développer son anglais, mais ce n’est pas arrivé.

Teasdale a joué pour l’Armada de Blainville-Boisbriand, avant de passer sa dernière saison dans le circuit Courteau avec les Huskies à Rouyn-Noranda. Il a ensuite passé les trois dernières années avec le Rocket à Laval, jouant aussi deux matchs avec le grand club de Montréal cette saison.

C’est donc à 24 ans qu’il quittera le Québec pour de bon. Il a probablement perfectionné son anglais à Laval et à Montréal, mais cette fois, il aura une vie complètement en anglais, incluant en dehors de la patinoire.

En deux matchs avec le Canadien en 2022-23, Teasdale a récolté une mention d’aide. Il s’est surtout démarqué avec le Rocket, récoltant 38 points, dont 23 buts, en 58 rencontres cette saison.

En rafale

– On s’y attendait.

– Elles vont devoir être meilleures que contre le Nigeria.

– Bravo champion.

– Les Alouettes ont fait l’acquisition d’un joueur de grand talent.

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Arber Xhekaj était chez le coiffeur quand son frère a été repêché

C’est assez rare d’être pris d’excitation en étant assis dans la chaise de barbier chez le coiffeur. C’est toutefois ce qui est arrivé à Arber Xhekaj le 29 juin dernier. Il a appris que son frère, Florian, a été repêché par les Canadiens alors qu’il se faisait couper les cheveux.

C’est ce qu’il a dévoilé au média Daily Faceoff.

Arber explique qu’il était chez le coiffeur et qu’il a demandé à ce que les employés mettent le repêchage de la LNH à la télévision. À un certain moment, il y a eu une pause commerciale. Dès le retour de la pause, Arber a eu l’immense surprise de voir que son frère avait été repêché par le CH.

Il se serait ensuite levé d’un trait de sa chaise et aurait balancé sa serviette tellement il était excité par la nouvelle.

C’est assez comprenable, son frère venait d’être repêché par l’organisation où il joue présentement. C’était aussi une fierté, parce que lui même n’a jamais été repêché dans la LNH. C’était un objectif accompli par la famille Xhekaj.

Pendant ce temps, Florian s’entraînait dans un gym avec ses coéquipiers des Bulldogs d’Hamilton. Un de ses entraîneurs surveillait le repêchage sur son ordinateur portable.

Tout à coup, son téléphone a sonné, c’était son agent. Il lui a annoncé la bonne nouvelle : il a été repêché par les Canadiens en quatrième ronde.

Il faut être honnête, l’entraînement a dû prendre le bord assez vite. Difficile de se concentrer après avoir reçu d’aussi bonnes nouvelles. Ce qui est d’autant plus excitant pour Florian, c’est qu’il n’avait pas été repêché en 2022 à sa première année éligibilité. La surprise était donc très intense.

Florian Xhekaj a encore beaucoup à prouver, mais s’il suit les traces de son frère, il va réussir à se faire un nom chez le Canadien. Il poursuivra son apprentissage avec les Bulldogs dans la OHL pendant la saison 2023-24.

L’an dernier Florian a récolté 25 points en 68 matchs dans la OHL. Il ne s’agit pas de statistiques impressionnantes, mais c’était seulement sa première saison dans la OHL.

C’est un joueur qui a du cœur et qui n’a pas peur de jouer physique. C’est exactement le genre de joueur qui devient un favori de la foule à Montréal.

En rafale

– Plus de détails sur la potentielle acquisition du CF Montréal.

– C’est de la folie.

– C’est l’heure!

– Il ne va pas manquer d’argent.

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Jacob Fowler était destiné à devenir un joueur du CH

Croyez-vous au destin? La famille Fowler a une bonne raison d’y croire. En entrevue avec le journaliste de TVA Sports, Anthony Martineau, le père de l’espoir des Canadiens Jacob Fowler, Jay, a dévoilé que son fils aime le CH depuis l’âge d’un an!

Martineau a appelé les parents du gardien de but afin de parler de son enfance et il n’a pas été déçu des réponses.

Alors qu’il n’avait que 13 mois, Jacob célébrait Noël avec sa famille et avait tout un tas de jouets avec lesquels jouer. Il a toutefois décidé de jouer avec un bâton de mini-hockey du Canadien.

Selon Jay Fowler, Jacob et le bâton ne pouvaient pas être séparés. Il l’apportait partout et ne jouait qu’avec ça.

Un peu plus de 17 ans plus tard, les Canadiens font la sélection de Jacob Fowler au 69e rang (3e ronde) du repêchage 2023 de la LNH.

Autre coïncidence : le grand-père de Jacob Fowler s’est marié avec une Québécoise dans les années 90. Ça a permis au père de Jacob de visiter le Québec et il est tombé en amour avec la place. Si bien qu’il a avoué à Anthony Martineau qu’il irait rejoindre son fils dans la Belle Province quand il jouera au niveau professionnel.

Jay Fowler a confirmé au journaliste de TVA Sports qu’il vivra plus de 6 mois par année à Montréal si son fils se trouve un poste régulier avec les Canadiens.

On lui souhaite!

Il adore le Québec, surtout pour la neige et le fait qu’il peut avoir une patinoire extérieure pendant l’hiver. Natifs de la Floride, la famille Fowler n’a jamais eu la chance d’avoir de telles installations à la maison.

En plus de tout ça, on vous l’avait déjà dit, mais Jacob Fowler semble vraiment aimer Montréal. Il a connu un bon camp de développement et a su impressionner plusieurs journalistes avec ses réponses en entrevues, notamment grâce à son aisance.

On a tous très hâte de voir ce que l’avenir réserve pour le gardien, mais il faudra être patient. Il serait réaliste de le voir passer les deux prochaines années dans la NCAA, avant d’avoir sa chance dans la LAH avec le Rocket.

Fowler a ce qu’il faut pour connaître une bonne carrière dans la LNH. Il doit toutefois continuer son bon travail pour un jour pouvoir porter les couleurs de l’équipe sur son bâton de mini-hockey.

En rafale

– L’ancien du Canadien poursuivra sa carrière en France.

– Ça ne va pas bien à Vancouver.

– C’est l’heure de la retraite pour Stone.

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Ryan O’Reilly : des joueurs du CH ont demandé à Kent Hughes de le signer

Les Canadiens n’ont pas été très agressifs lors de l’ouverture du marché des joueurs autonomes. Certains joueurs de l’équipe auraient toutefois aimé que Kent Hughes fasse une certaine acquisition le 1er juillet : Ryan O’Reilly.

L’information a été rapportée par Jeff Marek de Sportsnet sur son balado 32 Thoughts.

« Je sais qu’il y a des joueurs du CH qui essayaient de convaincre Kent Hughes d’amener Ryan O’Reilly au sein de l’équipe. » – Jeff Marek

C’est assez surprenant comme information. En fait, les Canadiens n’ont pas vraiment besoin de centres présentement. Il y a déjà Nick Suzuki, Kirby Dach, Sean Monahan, Christian Dvorak, Alex Newhook et Jake Evans.

Kent Hughes aurait donc été forcé de conclure une transaction. Hughes doit certainement essayer de se débarrasser de Dvorak, mais ça semble être très difficile à faire.

En fait, Marek dit que la signature n’a pas abouti parce que le CH n’aurait pas assez de place sous le plafond salarial. Toujours selon lui, Kent Hughes aurait dû échanger Brendan Gallagher ou Josh Anderson pour avoir l’espace nécessaire sous le plafond.

Selon le site CapFriendly.com, les Canadiens sont présentement au-dessus du plafond salarial si on ne place pas le contrat de Carey Price sur la liste des blessés à long terme. Ça ne laisse pas beaucoup d’espace pour une nouvelle signature.

Il faut surtout se rappeler qu’Alex Newhook n’est toujours pas sous contrat. C’est la même chose pour Jesse Ylönen.

O’Reilly a finalement signé une entente de quatre ans avec les Predators de Nashville qui lui rapportera en moyenne 4,5 millions $ annuellement.

Les Maple Leafs ont fait son acquisition en février des Blues de Saint-Louis. Il a récolté 30 points, dont 16 buts, en 53 matchs en 2022-23 et 9 points en 11 rencontres pendant les séries éliminatoires de Toronto, aidant l’équipe à remporter sa première série depuis 2004.

En rafale

– Pas facile, mon Vernon.

– On encourage nos Canadiens.

– Une nouvelle signature dans la LNH.

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Owen Beck veut jouer avec le CH cette saison

Owen Beck est présentement au camp de développement du Canadien. Lundi, il a dévoilé aux journalistes son plan en vue de la saison 2023-24. Il ne prévoit pas prendre ça à la légère.

En effet, l’Ontarien de 19 ans aimerait rester avec le grand club.

« J’ai des objectifs à court terme. Je veux essayer de faire l’équipe même si j’ai 19 ans. » – Owen Beck

Comme l’explique Beck, son âge n’affectera pas son parcours. Il croit qu’il a ce qu’il faut pour rester dans l’équipe. Si ce n’est pas à Montréal, il passera sa saison dans la OHL avec les Petes de Peterborough, avec qui il a remporté le championnat la saison dernière.

Il est conscient qu’il a des améliorations à apporter à son jeu. Selon lui, il doit travailler sur son coup de patin ainsi que sa force. C’est bien qu’il ait confiance, mais c’est aussi très bien de savoir qu’il connait ses faiblesses et qu’il est prêt à travailler pour les améliorer.

Selon lui, les membres de l’organisation du CH lui ont dit de rester lui-même et de s’assurer de continuer sur le même chemin qu’il emprunte depuis sa sélection au repêchage en 2022.

Beck est le seul joueur du camp de perfectionnement à avoir de l’expérience dans la LNH, lui qui a été rappelé d’urgence pour affronter les Sénateurs d’Ottawa le 28 janvier dernier. Il n’a peut-être pas récolté de point pendant ce match, mais il a laissé une belle impression.

La bonne nouvelle pour Beck, c’est que les Canadiens aiment laisser des chances à leurs jeunes joueurs. On a seulement besoin de penser à Juraj Slafkovsky, Arber Xhekaj, Kaiden Guhle et Jordan Harris en 2022-23.

Ils ont tous été des joueurs importants qui donnaient cœur et âme pour l’équipe. Ça donne envie de faire jouer plus de jeunes joueurs.

Beck a récolté 66 points en 60 rencontres dans la OHL en 2022-23, lui qui a évolué avec les Steelheads de Mississauga avant d’être échangé aux Petes. Il a laissé sa marque pendant les séries éliminatoires, menant son équipe au championnat.

Il a aussi été un des joueurs les plus importants de son équipe lors du parcours des Petes à la Coupe Memorial. Il a récolté 3 points en 5 matchs pendant le tournoi.

Owen Beck sera donc un joueur à surveiller au camp d’entrainement du Canadien à la fin de l’été. On espère le voir jouer quelques matchs dans l’uniforme du Tricolore.

En rafale

– Les Golden Knights font tout différemment.

– Le retour d’un duo dévastateur.

– Ça travaille fort.

– Lourde perte pour les Marlins.