Catégories
Nouvelles quotidiennes

L’Oratoire Saint-Joseph invite les Montréalais à redécouvrir ce site unique

Presque chaque grande ville possède sa cathédrale ou son temple religieux qui la définit. Montréal, ville où l’écrivain Mark Twain avait déjà affirmé que l’on pouvait lancer un caillou n’importe où et inévitablement toucher une église tant leur nombre était grand à une époque, peut se targuer de compter au moins 2 de ces édifices construits pour les rituels catholiques et qui sont reconnaissables d’entre tous.

En plus de l’Église Notre-Dame sur la rue du même nom en plein centre-ville, Montréal compte également sur l’Oratoire Saint-Joseph pour attirer une foule de touristes, qu’ils aient ou non la foi. Les nombreuses marches qui mènent à sa grande porte sont également devenues une façon pour les chrétiens de demander une grande faveur à Dieu en les montant à genoux, récitant un chapelet sur chacune de celles-ci.

Qui plus est, l’enceinte a été marquée à tout jamais par le passage d’un petit homme, le frère André, qui a, selon la légende, aidé bien des gens à obtenir un miracle lors de plusieurs guérisons inexpliquées. De vieilles cannes et béquilles devenues soudainement inutiles sont d’ailleurs accrochées un peu partout à l’intérieur de l’Oratoire.

Le frère André sera finalement canonisé par l’Église romaine en octobre prochain et, pour souligner cet événement, le temple du boulevard de la Reine-Marie à Montréal invite les citoyens à redécouvrir cette basilique coiffée du 2e plus grand dôme au monde après la Basilique Saint-Pierre de Rome.

Encore une fois, l’exposition Le chemin de foi du frère André sera présentée cet été tous les jours de 10 h à 16 h 30 et le mois d’août entier sera consacré au religieux qui a fait de l’Oratoire un lieu de pèlerinage connu mondialement.

Le samedi 30 octobre, lors de la canonisation, le Stade olympique recevra les gens pour une grande célébration.