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Saviez-vous qu’il existe des aliments bons pour le moral?

Selon amélioretasante.com, certains aliments jouent sur notre humeur. Certains affûtent l’esprit, alors que d’autres le rendent léthargique.

Si vous êtes du type à apprécier les traitements naturels, vous aimerez sans doute cette méthode pour maintenir votre humeur et diminuer par le fait même le stress au quotidien.

Il suffit de maintenir une alimentation riche en nutriments et vitamines et pauvre en graisse, couplée à de l’activité physique régulière, mais surtout, agréable!

Donc, pour maintenir votre optimisme à flot, garnissez vos déjeuners d’amandes. Apparemment, 7 amandes chaque matin vous aideront à garder le moral toute la journée. Ajoutez ensuite du lactose (un yogourt faible en gras) et 3 cuillères de flocons d’avoine.

Vous serez énergisé toute la journée et comblerez votre satiété, ce qui vous empêchera de grignoter.

En contrepartie, évitez les sucres, les graisses et la friture. Ce sont vos pires ennemis pour saper votre moral et votre vivacité. Entre autres, frites, hamburgers, mayonnaise et viennoiseries sont à éviter.

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Comment gérer un enfant porte-panier

Peut-être que vous êtes mal à l’aise, comme le rapporte la mère de Kadyn sur Todays Parent. Que ce soit un autre enfant ou un adulte, connu ou inconnu, Kadyn ne peut s’empêcher de tout rapporter à sa mère, ce qui la met souvent dans l’embarras.

Comme l’indique Kylee Goldman, une thérapeute spécialisée avec les enfants qui exerce en Ontario : « Alors que plusieurs raisons peuvent être associées aux “mouchards”, il y a bien plus qui se cache derrière ce comportement ».

En effet, les jeunes qui agissent de la sorte vous démontrent qu’ils ont déjà un sens aigu de ce qui est moralement bien ou mal. « Ils rapportent quelque chose que les gens font et qu’ils jugent inapproprié ou mal », explique Goldman.

Bien sûr, lorsque votre jeune remet en question les actes de personnes que vous côtoyez, et ce, en leur présence, cela peut devenir problématique. Il faut leur indiquer que ce genre de question peut être réglé entre vous deux, plus tard.

C’est ce que croit Paul McDonnell, psychologue pour enfants de Fredericton. « Nous devons enseigner aux enfants ce qu’il faut rapporter et le moment où le faire. »

Sachez que cette facette de votre enfant, si elle est bien développée, l’aidera à divulguer des comportements inappropriés comme l’intimidation ou le harcèlement, plus tard.

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Méditer rendrait aussi plus enclin à la compassion

La méditation possède de multiples vertus bien connues des spécialistes et des gens qui pratique cette discipline, mais Santé Log rapporte une étude fort intéressante sur le sujet, qui dévoile un nouvel avantage de la méditation.

Selon des chercheurs américains, deux groupes associés de la Northeastern University et à Harvard, le fait de méditer apporte une telle paix intérieure qu’elle aurait aussi un impact sur nos relations et réactions envers autrui.

Des hausses de compassion ont été observées chez les sujets de l’étude, comme l’explique l’auteur principal de cette recherche, David DeSteno : « Nous savons que la méditation améliore le bien-être physique et psychologique, nous montrons qu’elle favorise aussi un comportement de compassion ».

Pour parvenir à cette conclusion, les chercheurs ont simulé une scène se déroulant dans une salle d’attente, qui place le sujet dans une situation où il devra choisir de céder son siège ou non à un patient plus mal en point que lui, qui n’a nulle part où s’assoir.

Les résultats sont éloquents : seuls 15 % des sujets étudiés vont tenter d’aider la tierce personne ou de lui offrir leur place. Cependant, après une formation de huit semaines en méditation, ce chiffre bondit à 50 %.

On peut donc conclure qu’une personne en meilleure santé mentale, bien dans sa peau et calme à souhait sera également une meilleure personne sur le plan moral.

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Emmener son chien au boulot serait bon pour la santé

D’après le professeur à la tête de l’étude, Randolph Barker, emmener un chien au travail « peut faire une différence très positive » dans la vie d’un employé.

L’étude menée par l’École de commerce de la Virginia Commonwealth University de Richmond a évalué le quotidien de 75 personnes divisées en trois groupes. D’abord, celles qui emmenaient leur chien au travail étaient regroupées, puis celles ayant un animal et le laissant à la maison, et finalement celles n’ayant pas d’animal.

Durant la journée, le niveau de stress a diminué chez les employés du premier groupe, tandis qu’il a augmenté pour ceux des deux autres groupes.

En fait, qu’il s’agisse de son propre chien ou de celui d’un collègue, sa présence au bureau réduirait le stress et serait bonne pour le moral des travailleurs.

Les résultats démontrent que les chiens représentent « des solutions de bien être à bas coût et accessibles très facilement pour les entreprises », selon le professeur Barker.

« Avoir un chien dans un environnement de travail peut contribuer aux performances et à la satisfaction des employés », termine-t-il.

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Infertilité : difficile pour l’orgueil?

Une nouvelle thèse de doctorat à l’École nordique de santé publique NHV, réalisée par la travailleuse sociale Helga Sól Ólafsdóttir, affirme également que devant un problème d’infertilité, « les hommes sont plus réticents que les femmes à demander de l’aide spécialisée et même, tout simplement, à accepter l’aide ».

C’est en suivant 22 couples, dès leur premier rendez-vous à une clinique de fertilité et de nouveau trois ans plus tard, que la spécialiste a pu confirmer que le monde du traitement de la reproduction assistée est compliqué sur les plans moral, affectif et physique, en plus d’être une source de confusion.

Toutefois, il est ressorti que la plupart des couples essaient de s’adapter, car le traitement de fécondation in vitro est leur seule possibilité de concevoir un enfant ensemble.

La chercheuse conseille tout de même au personnel de soins de santé qui viennent en aide aux personnes infertiles de les écouter davantage, car « les couples souhaitent être suivis de plus près ».

Elle rappelle que le processus de ces gens est souvent fortement affecté par des facteurs extérieurs, comme les négociations difficiles entre les amoureux, le fait que l’un soit plus prêt que l’autre, la stabilité de la situation sociale, la mise à disposition des diverses options pour procréer, les opinions et l’influence des parents, des amis et du personnel de la santé qui entourent le couple.

Sur les 22 couples qui ont participé à l’étude, 17 sont devenus parents au cours des trois années, et 21 enfants sont nés. Certains ont réussi sans aide, d’autres ont eu recours à la reproduction assistée, au don d’ovules ou à l’adoption.

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Cesser de fumer est bon pour le moral

Une récente étude parue dans Nicotine & Tobacco Research a démontré que l’arrêt du tabagisme avait des effets positifs sur le moral des ex-fumeurs. 

Cesser de fumer aurait donc une portée autre que celle sur la santé en général. Les médecins et scientifiques s’entendent pour dire que les gens se sentent plus heureux qu’ils ne l’ont jamais été.

Pourtant, la croyance populaire voulait que certains fumeurs apaisent leurs symptômes d’anxiété et de dépression avec la cigarette.

Pour tirer ces conclusions, une équipe de chercheurs américains ont suivi 236 hommes et femmes qui souhaitaient cesser de fumer et qui étaient aussi de bons buveurs dans un contexte social.

Ils ont reçu des timbres, des conseils pour l’arrêt du tabagisme et ils ont convenu d’une date d’arrêt. Certains ont même pris quelques trucs pour boire plus modérément.

Parmi ceux qui ont recommencé à fumer après l’arrêt imposé, on a remarqué aux contrôles que leur esprit était plus clair lorsqu’ils ne fumaient pas. En recommençant à fumer, plusieurs symptômes de tristesse et de faible moral sont réapparus.

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Avoir une soeur rend heureux

Une étude irlandaise démontre que grandir auprès d’au moins une sœur rendrait plus heureux.
 
Le professeur de psychologie Tony Cassidy, de l’Université d’Ulster en Irlande, a interrogé 600 personnes de 17 à 25 ans. Il a constaté que peu importe que l’on soit une fille ou un garçon, si nous avons au moins une sœur, cela permettrait de conserver la forme, d’être plus joyeux et épanoui.
 
Les femmes qui ont des sœurs sont également plus indépendantes et accomplies. Par contre, les hommes qui ont des frères vivent plutôt le contraire. Ils auraient tendance à être moins heureux.
 
On croit que ce phénomène s’expliquerait par le fait que les femmes parlent plus en général et maintiennent donc la bonne santé psychologique de tout le monde autour d’elles.
 
Pour ce qui est des enfants uniques, ceux-ci se situeraient dans la moyenne. C’est-à-dire qu’ils se considèrent comme assez heureux et optimistes. Dans leur cas, ils arrivent à compenser l’absence de frères et sœurs par un cercle d’amis proches.
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Le mariage est bon pour le moral

Selon la revue britannique Psychological Medicine, le mariage est bon pour la santé mentale, autant chez les hommes que chez les femmes.

Après une analyse de 35 000 dossiers de personnes provenant de 15 pays, on arrive à la conclusion que le mariage diminue les risques de dépression et d’anxiété.

Par contre, la séparation, le divorce ou même être veuf expose beaucoup plus les hommes à la dépression et les femmes aux abus d’alcool et de médicaments.

En couple, les femmes ont tendance à réduire leur consommation d’alcool durant la grossesse et elles conservent ensuite cette saine habitude avec les jeunes enfants.

De plus, l’étude démontre que les hommes sont moins dépressifs durant leur premier mariage que les femmes. Lors d’une première union, les femmes ont l’habitude de se fondre dans un rôle traditionnel d’épouse, parfois au point d’oublier qui elles sont réellement.

Le mariage représente donc beaucoup de bienfaits sur la santé mentale, mais les perturbations qui surviennent après une séparation nous rendent plus vulnérables aux troubles mentaux.

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L’arthrose affecte le moral des personnes atteintes

Selon une enquête menée par la firme Angus Reid Strategies, 67 % des 45 ans et plus souffrant d’arthrose affirment qu’ils ont l’impression d’être plus vieux. 54 % d’entre eux se sentent déprimés lorsque la maladie les empêche de s’adonner à leurs activités et loisirs préférés, y compris les tâches ménagères simples.

L’arthrose est une forme d’arthrite très répandue. Elle affecte 3 millions de Canadiens. Parmi les 55 ans et plus, 80 % démontrent des signes de la maladie lors des radiographies. Par contre, les symptômes, majoritairement la douleur, se font souvent sentir dès 45 ans.

Toutefois, l’étude révèle également que malgré tout, les patients souhaitent demeurer actifs et ne veulent pas laisser leur état déterminer ce qu’ils sont en mesure de faire ou non.

Pour aider à soulager les symptômes, on recommande de faire des exercices lents et réguliers, de protéger les articulations et à des traitements de chaud ou de froid.