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Abus de prescriptions d’opioïdes au Canada

Ce n’est plus uniquement aux États-Unis que la quantité de prescriptions d’opioïdes représente un danger croissant.

Désormais, c’est partout en Amérique, rapporte Science World Report. Récemment, la revue Canadian Family Physician présentait de nouvelles données faisant état de l’abus de ces drogues et de la quantité prescrite. Uniquement de 2006 à 2011, la quantité de prescriptions a grimpé de 23 %.

Pis encore, le taux d’incidence est passé de 781 unités par 1000 patients à 961 unités par 1000 patients.

« Nous avons réalisé que la prescription de doses élevées s’est répandue à travers tout le pays, mais la prévalence diffère considérablement d’une province à l’autre », a expliqué l’auteure de la recherche, la scientifique Tara Gomes.

Il faut donc instaurer des mesures stratégiques préventives différentes selon la province touchée, par exemple à Terre-Neuve et en Saskatchewan. Le taux d’opioïdes, dans leur cas, a explosé à 85 % et 54 % respectivement. Il est donc urgent d’intervenir.

La raison pour laquelle il est impossible de faire fi de la situation est que le risque de surdose d’oxycodone ou de morphine croît lui aussi.

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Des antidouleurs qui causent la mort

Medical News Today fait état d’une nouvelle recherche concernant les antidouleurs de type opioïdes, qui créent une forte dépendance et des effets similaires à l’opium et la morphine.

Les résultats de cette étude ont été publiés par les chercheurs de l’Université McGill de Montréal dans la revue American Journal of Public Health.

Les États-Unis et le Canada sont numéro 1 et 2 des pays qui prescrivent en plus grande quantité ce type de médication. Les morts reliées aux opioïdes arrivent souvent aux gens qui les utilisent sans prescription ou qui les combinent à d’autres drogues ou à de l’alcool.

En 2010, uniquement aux États-Unis, les antidouleurs sous prescription ont été responsables de plus de 16 000 décès, et 12 millions d’Américains en utilisaient sans prescription.

Pour Nicholas King, l’auteur de la recherche à la faculté de médecine de McGill, il s’agissait de « trouver des preuves solides » de ce qu’avançaient les différents ouvrages littéraires et les médias.

« Nous n’avons pas trouvé de preuve concrète concernant des ventes sur Internet ou de la part de pharmaciens ou d’erreurs de prescription, comme le laissent croire les médias. »

En sensibilisant le corps médical, King espère que les autres pays éviteront cette épidémie.

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Des antidouleurs qui causent la mort

Medical News Today fait état d’une nouvelle recherche concernant les antidouleurs de type opioïdes, qui créent une forte dépendance et des effets similaires à l’opium et la morphine.

Les résultats de cette étude ont été publiés par les chercheurs de l’Université McGill de Montréal dans la revue American Journal of Public Health.

Les États-Unis et le Canada sont numéro 1 et 2 des pays qui prescrivent en plus grande quantité ce type de médication. Les morts reliées aux opioïdes arrivent souvent aux gens qui les utilisent sans prescription ou qui les combinent à d’autres drogues ou à de l’alcool.

En 2010, uniquement aux États-Unis, les antidouleurs sous prescription ont été responsables de plus de 16 000 décès, et 12 millions d’Américains en utilisaient sans prescription.

Pour Nicholas King, l’auteur de la recherche à la faculté de médecine de McGill, il s’agissait de « trouver des preuves solides » de ce qu’avançaient les différents ouvrages littéraires et les médias.

« Nous n’avons pas trouvé de preuve concrète concernant des ventes sur Internet ou de la part de pharmaciens ou d’erreurs de prescription, comme le laissent croire les médias. »

En sensibilisant le corps médical, King espère que les autres pays éviteront cette épidémie.

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L’acétaminophène peut soulager la douleur des bébés qui subissent une chirurgie

Lorsque les nouveau-nés et bébés doivent subir une chirurgie, les médecins utilisent souvent des opiacés pour contrôler la douleur, mais ceux-ci peuvent avoir des effets secondaires très néfastes chez cette population de patients, par exemple la détresse respiratoire.

Des chercheurs néerlandais ont donc testé l’efficacité de l’acétaminophène comme analgésique de remplacement sur 71 bébés de moins d’un an qui ont subi une chirurgie thoracique ou abdominale majeure.

Tous ces petits patients ont reçu une dose de morphine à la fin de leur chirurgie, puis ils ont reçu soit plus de morphine, soit de l’acétaminophène par intraveineuse. Si les bébés semblaient trop souffrir, ils recevaient une dose de morphine « compassionnelle ».

Deux jours après la chirurgie, les bébés du groupe de l’acétaminophène avaient pris en moyenne 121 microgrammes de morphine par kilogramme de poids, comparativement à 357 microgrammes pour ceux dans le groupe de la morphine. Les marqueurs de douleur et les effets secondaires étaient similaires dans les deux groupes.

L’auteure de l’étude, la Dre Saskia De Wildt, a affirmé dans un article du Journal of the American Medical Association que « l’acétaminophène par intraveineuse est une solution intéressante en tant qu’analgésique de première ligne pour les nouveau-nés et les bébés », selon Med Page Today.

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La méditation plus efficace que la morphine contre la douleur

Méditer, même au niveau débutant, permettrait de réduire considérablement la douleur et l’inconfort. En fait, les chercheurs croient que la méditation serait même plus efficace que la morphine et d’autres analgésiques.
 
Alors que la morphine réduirait l’intensité de la douleur de 25 %, la méditation ferait mieux en l’abaissant de 40 % et en réduisant l’inconfort de 57 %, selon l’étude publiée dans le Journal of Neuroscience.
 
« Il s’agit de la première recherche montrant qu’un peu plus d’une heure d’entraînement peut fortement réduire la douleur ainsi que l’activation des centres cérébraux qui en sont responsables. Nous avons constaté un important effet de la méditation sur les sujets de l’étude avec une diminution d’environ 40 % de l’intensité de la douleur et de 57 % de l’inconfort lié à la douleur », explique l’auteur principal de l’étude Fadel Zeidan.
 
Même les débutants peuvent pleinement profiter des bienfaits de la méditation. Les 15 participants de la recherche n’avaient jamais médité auparavant. Ils ont eu quatre séances de 20 minutes et on leur a placé un élément chauffant sur la jambe.
 
Habituellement, après cinq minutes, les personnes ressentent de la douleur. Durant l’exercice, on a toutefois remarqué que l’activité cérébrale était moindre dans leur cortex somatosensoriel primaire, qui localise la douleur dans le corps et en mesure son intensité. Cela a donné comme résultat que la douleur était beaucoup moins ressentie.
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Les graines de pavot pour soulager la douleur

Une équipe de l’Université de Calgary a fait une découverte importante. Elle a trouvé un des secrets génétiques des graines de pavot qui faisait l’objet de recherches depuis des années.
 
Cela fait plus de 20 ans que les chercheurs se penchent sur les secrets génétiques des graines de pavot. Après avoir étudié 23 000 gènes différents, les scientifiques ont trouvé ce qui est à l’origine de la codéine et de la morphine.
 
On a finalement mis en évidence un enzyme de la plante qui transforme la codéine en morphine.
 
Cette découverte, dirigée par le professeur en sciences biologiques Peter Facchini, pourrait mener à la fabrication de nouveaux médicaments antidouleur qui seraient moins coûteux à créer et plus facilement accessibles.
 
La découverte a été faite en réalité l’année dernière, mais les chercheurs ont voulu contre-vérifier plusieurs fois avant de dévoiler leurs résultats, surtout parce que les travaux se sont échelonnés sur de nombreuses années et que cela devait être une recherche très minutieuse.
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Le venin de scorpion pour soulager la douleur

TopSanté rapporte qu’une nouvelle étude, dirigée par le professeur Michael Gurevitz de l’Université de Tel-Aviv en Israël, mentionne que le venin de scorpion pourrait servir à soulager les douleurs. L’idée n’est peut-être pas emballante pour le commun des mortels, mais elle est pourtant bien sérieuse.
 
Jusqu’ici, le venin de scorpion était considéré comme un puissant poison. Maintenant, il pourrait être une alternative à la morphine et autres analgésiques qui provoquent de fortes dépendances.
 
« Les toxines de peptide trouvées dans le venin de scorpion interagissent avec les canaux de sodium présents dans les systèmes nerveux et musculaire, dont certains communiquent la douleur. Si nous parvenons à comprendre comment ils interagissent, nous serons capables de modifier ces toxines et de les rendre plus puissantes en fonction de la douleur. Il serait ainsi possible de créer de nouveaux analgésiques n’ayant aucun effet secondaire », déclare le professeur Gurevitz.
 
Ce dernier travaille avec une équipe de scientifiques afin de développer ce nouveau genre d’analgésique afin de soulager les patients avec un produit ne causant pas de dépendance.
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Le venin de scorpion pour soulager la douleur

TopSanté rapporte qu’une nouvelle étude, dirigée par le professeur Michael Gurevitz de l’Université de Tel-Aviv en Israël, mentionne que le venin de scorpion pourrait servir à soulager les douleurs. L’idée n’est peut-être pas emballante pour le commun des mortels, mais elle est pourtant bien sérieuse.
 
Jusqu’ici, le venin de scorpion était considéré comme un puissant poison. Maintenant, il pourrait être une alternative à la morphine et autres analgésiques qui provoquent de fortes dépendances.
 
« Les toxines de peptide trouvées dans le venin de scorpion interagissent avec les canaux de sodium présents dans les systèmes nerveux et musculaire, dont certains communiquent la douleur. Si nous parvenons à comprendre comment ils interagissent, nous serons capables de modifier ces toxines et de les rendre plus puissantes en fonction de la douleur. Il serait ainsi possible de créer de nouveaux analgésiques n’ayant aucun effet secondaire », déclare le professeur Gurevitz.
 
Ce dernier travaille avec une équipe de scientifiques afin de développer ce nouveau genre d’analgésique afin de soulager les patients avec un produit ne causant pas de dépendance.
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La morphine stimule la propagation du cancer

Découverte il y a plus de 200 ans (en 1804), la morphine est sans doute l’une des substances analgésiques les plus utilisées pour soulager les douleurs postopératoires ou encore celles causées par le cancer.

Des chercheurs de l’Université de Chicago, aux États-Unis, viennent toutefois de découvrir que la morphine favorise la propagation du cancer dans le corps. Elle stimule en fait la croissance des vaisseaux sanguins qui nourrissent les tumeurs cancéreuses.

Plus encore, la morphine favorise la propagation du cancer entre les tissus, selon le Dr Patrick Singleton.

Par contre, son équipe et lui ont fait des tests sur des souris de laboratoires ayant un cancer du poumon et ils ont constaté que la méthylnaltrexone neutralise cet effet indésirable de la morphine et réduit de 90 % la propagation de la maladie.

Ces résultats devront maintenant être confirmés par d’autres études.

Nous savions déjà que la morphine avait quelques effets secondaires tels qu’une constipation, des nausées et des vomissements. Si elle est administrée à long terme, elle peut aussi affecter le système nerveux central.

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De la morphine dans le lait maternel

Une recherche publiée dans le Clinical Pharmacology & Therapeutics, menée auprès de 72 femmes ayant donné naissance récemment, démontre que le lait maternel contient de la morphine lorsque l’on prescrit de la codéine aux mères après l’accouchement afin d’atténuer la douleur à la suite d’une césarienne ou d’une épisiotomie.

Environ une femme sur vingt présente une anomalie au gène qui contrôle la façon dont le corps métabolise la codéine. La proportion de morphine transmise par le lait maternel au bébé est plus importante chez ces femmes que chez les autres, ce qui n’est pas sans risque pour l’enfant.

Selon le coauteur de cette étude, Dr Koren, les médecins et gynécologues devraient plutôt prescrire aux nouvelles mamans de l’ibuprofène.