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Moins regarder la télévision pour vivre plus longtemps

Selon les résultats publiés dans le Journal of the American Heart Association, trop de temps passé devant la télévision, au volant d’une voiture ou sur l’ordinateur augmenterait considérablement le risque de développer des problèmes de santé reliés à la sédentarité. C’est du moins ce qu’a conclu une équipe de chercheurs de l’Université de Navarra, en Espagne.

Parmi les 13 284 sujets étudiés, ceux qui disaient regarder la télévision plus de trois heures par jour couraient davantage de risques de mourir de façon prématurée que ceux qui regardaient la télévision une heure ou moins par jour.

Cela a de quoi inquiéter les chercheurs, puisqu’aux États-Unis, plus de 50 % des adultes affirment ne pas être assez actifs. De plus, de nombreuses études ont déjà prouvé qu’un mode de vie sédentaire pouvait être relié à un risque plus élevé de troubles cardiaques.

Rappelons que regarder la télévision est une activité sédentaire qui est considérée comme un facteur de risque aux accidents cardiovasculaires, au même titre que le tabagisme et le manque d’activité physique. 

Dans les faits, un adulte qui regarde la télévision environ six heures par semaine réduirait son espérance de vie de cinq ans, comparativement aux personnes qui ne regardent pas la télévision, selon une étude australienne parue dans le British Journal of Sports Medicine.

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L’optimisme pour vivre vieux

Selon des chercheurs de l’Université de Pittsburgh, les femmes optimistes ont moins de risque de développer des maladies cardiovasculaires que celles qui sont déprimées. Elles sont également moins nombreuses à mourir prématurément que celles au tempérament hostile et cynique.

Pour arriver à ces conclusions, les chercheurs américains ont suivi 97 252 femmes postménopausées, âgées de 50 à 79 ans, sur une période de huit ans.

Au début de l’étude, les participantes ont répondu à un questionnaire afin de mesurer leur niveau d’optimisme. Aucune n’avait de maladies cardiovasculaires.

Après des suivis annuels au cours des huit années, les femmes optimistes étaient 9 % moins nombreuses à avoir développé des maladies cardiovasculaires et 14 % moins nombreuses à avoir connu une mort prématurée.