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Risques pour les bébés malades du coeur

Selon Circulation, on pourra mieux cibler quels sont les enfants atteints de cardiomyopathie pouvant accéder à la transplantation. Mentionnons au passage, en résumé, que ce type de maladie altère le fonctionnement du muscle cardiaque.

Les principaux problèmes de santé encourus par la cardiomyopathie sont les troubles du rythme cardiaque, l’insuffisance cardiaque ainsi que la mort subite du nourrisson.

En ayant établi les principaux risques dont nous parlons ici, on sera mieux équipé pour décider quels sont les enfants pouvant bénéficier d’une transplantation. En ce moment, les critères utilisés font en sorte que plusieurs pourraient bénéficier d’une greffe, mais n’y accèdent pas.

Parmi ces risques, on note l’insuffisance cardiaque, une maladie plus grave (laquelle est prouvée par échographie) ainsi que la dilation et la hauteur du ventricule gauche. Finalement, les chercheurs soutiennent que le diagnostic hâtif de la cause de la maladie est très important.

À l’heure actuelle toutefois, la cause de la cardiomyopathie demeure inconnue chez 57 % des enfants atteints.

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Moins de morts par la varicelle

Selon Pediatrics, le nombre de cas de mortalité liés au virus de la varicelle a chuté radicalement depuis que l’on vaccine les enfants. Depuis le début du programme de vaccination, en 1995, le nombre de morts aurait baissé de 97 % chez les enfants et les adolescents.

Les données sur le sujet, de 1990 à 2007, ont été analysées afin d’en arriver à ce constat. Par le fait même, on a remarqué que durant la période avant la vaccination, de trois à quatre millions de cas étaient diagnostiqués.

Chaque année, on comptait environ 105 morts dues à la varicelle; la moitié de celles-ci étaient d’enfants. Ces derniers comptaient aussi de 11 000 à 12 000 hospitalisations en raison de complications sévères.

On recommande finalement aux adultes de recevoir aussi le vaccin, car ces derniers courraient 20 fois plus de risques de mourir de la varicelle que les enfants. Pour la même période d’analyse, le nombre de décès chez les adultes de moins de 50 ans a chuté de 96 % à la suite du programme de vaccination.

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Un nouveau test néonatal pour une maladie rare, mais fatale

Sur femmesmag.com, on apprend que le Plan national des maladies rares de la Haute Autorité de Santé (HAS) inclura fort probablement le dépistage du déficit en MCAD. Cette maladie rare affecte le métabolisme, qui est incapable d’utiliser les graisses à titre de source énergétique.
 
Le dépistage néonatal est déjà en vigueur et réglementé pour les 5 maladies rares suivantes : la phénylcétonurie, l’hypothyroïdie congénitale, l’hyperplasie congénitale des surrénales, la drépanocytose et la mucoviscidose. Il s’agit d’un prélèvement d’une goutte de sang au talon du nouveau-né, dès le 4e jour de naissance.
 
Le MCAD est la plupart du temps mortel en l’absence de traitement, bien que ce dernier soit fort simple, ne nécessitant que quelques règles alimentaires spécifiques. La problématique réside dans le fait que les symptômes sont complètement absents chez le nouveau-né et se déclarent toujours lors du jeûne, qui indique un manque énergétique à l’organisme.
 
En ajoutant cette maladie rare au dépistage néonatal, c’est plus de 75 % des décès qui seraient évités. Plusieurs associations françaises ont pris d’assaut la HAS afin d’encourager l’inclusion du déficit en MCAD. La méthode nécessite néanmoins une expertise et un investissement important en matériel médical, en plus de la formation des intervenants.
 
Il s’agit d’un premier volet d’évaluation pour améliorer l’étendue du test néonatal. Un second volet d’analyse sera également proposé bientôt.
 
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Attention aux bords des fenêtres

Bien que l’on y pense peu, le rebord des fenêtres peut être dangereux pour les tout-petits. Les parents sont souvent portés à placer la table à langer près des fenêtres ou même à poser un banc devant elles pour que leur enfant puisse regarder dehors. Cependant, il ne devrait pas en être ainsi.

C’est que les fenêtres entraînent un grand nombre de chutes responsables de blessures importantes et on compte aussi des morts. Il semble également, comme on peut le lire sur Medical News Today, que le nombre d’hospitalisations liées aux fenêtres augmente en fonction du retour des beaux jours.

Selon les recommandations d’un médecin, on suggère quelques règles simples à respecter. En premier lieu, on rappelle qu’une moustiquaire ne constitue pas une protection.

Aussi, lorsqu’on ouvre la fenêtre, on ne la laisse pas béante de plus que quelques pouces, de sorte qu’un enfant ne pourra pas la traverser. Il faut aussi éviter de laisser des meubles ou des accessoires qui permettraient aux plus jeunes d’y grimper. Finalement, quand on ne sert pas d’une fenêtre, on la laisse barrée.

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Plus de 2 heures de télévision peuvent conduire à une mort prématurée

Regarder la télévision plus de deux heures par jour peut conduire à un décès précoce, selon une nouvelle étude dévoilée par le Journal of the American Medical Association.
 
Après avoir analysé huit études regroupant un total de 235 000 personnes, les chercheurs estiment que chaque tranche de deux heures passée devant la télévision quotidiennement augmente de 20 % les risques de diabète de type 2, de 15 % les risques de maladies cardiaques mortelles et de 13 % les décès, toutes causes confondues.
 
Ceci est notamment dû au mode sédentaire de la télévision, qui conduit à un manque d’exercice.
 
De plus, il est fréquent de manger en regardant son émission ou son film préféré et on consomme majoritairement de la malbouffe et des grignotines comme des croustilles, du maïs soufflé, des boissons sucrées et autres aliments mauvais pour la santé.

Il est donc préférable de limiter ses heures d’écoute de la télévision. Avec la belle saison, pourquoi ne pas profiter de l’extérieur au maximum!

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De l’espoir quant à une maladie héréditaire

Il serait possible qu’un traitement voie le jour pour soigner l’amyotrophie spinale, laquelle représente la première cause génétique de décès chez les bébés de moins de deux ans.

Rappelons que l’amyotrophie spinale, parfois appelée maladie de Lou Gehrig, est en fait un regroupement de maladies héréditaires. Elle se reconnaît par l’atrophie des muscles, ce qui les affaiblit.
 
Or, on apprend dans Proceedings of the National Academy of Sciences que des chercheurs du Children’s Hospital de Boston auraient ciblé un gène qui détiendrait peut-être la réponse à ce mal.
 
Il semble qu’une mutation ou une perte dans le gène de la maladie (le SMA, pour spinal muscular aptrophy) causerait une dégénérescence progressive et une faiblesse des muscles. La maladie de Lou Gehrig sera donc comprise d’une tout autre façon et on envisage déjà un traitement futur.

Pour l’instant, cette affection n’est pas traitable; ses symptômes ne peuvent qu’être soulagés. L’amyotrophie musculaire touche 1 enfant sur 6 000 à 10 000. Les spécialistes soutiennent toutefois que 1 personne sur 35 à 40 en serait porteuse.

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La peur de mourir aggrave les problèmes cardiaques

Après une crise cardiaque, de nombreuses personnes ont peur de mourir, mais cela affectera grandement leur guérison.
 
En fait, lorsqu’une personne a des problèmes cardiaques, sa peur de mourir peut aggraver son état.
 
Selon l’European Heart Journal, des chercheurs de Londres ont analysé le cas de 208 personnes avec des maladies cardiaques. Ils ont noté qu’un niveau élevé de crainte de la mort aggravait leur condition.
 
Cela est causé par le stress provoqué par cette peur, qui augmente les composés chimiques THF-alpha. Ces derniers sont reconnus pour endommager le cœur et augmentent donc les risques de problèmes cardiaques.
 
Les personnes devraient à tout prix essayer d’éliminer cette peur de subir une crise cardiaque si elles ne veulent pas en avoir une.
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Pour mieux soigner les tout petits bébés

On peut lire dans The Lancet qu’un groupe international de scientifiques a statué qu’une évaluation générique du poids fœtal ainsi que du poids de naissance est la meilleure façon de prévoir les problèmes périnataux.

Rappelons qu’un petit poids fœtal peut entraîner plusieurs risques pour la santé de l’enfant à naître. La mort à la naissance est plus fréquente chez ces bébés, par exemple. Ils présenteraient aussi des problèmes de comportement dans une plus grande proportion.
 
Plus tard dans leur vie, ils sont finalement plus enclins à souffrir de diabète, d’hypertension et de maladies cardiaques.
 
Les méthodes les plus courantes pour déterminer le poids fœtal consistent entre autres à l’analyse d’ultrasons et à la compréhension de caractéristiques de la mère et du bébé à naître.

Les chercheurs soulignent toutefois que les méthodes actuelles ne sont pas toutes accessibles au sein des pays en voie de développement. Établir une charte mondiale du poids fœtal constitue donc un réel défi.

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Pouvoir déterminer le moment de notre mort

Des scientifiques sont parvenus à inventer une technologie capable de déterminer combien de temps une personne vivra.
 
Il s’agit d’un test génétique. Selon les chercheurs, la longueur de la structure des chromosomes, les télomères, serait en cause.
 
Ainsi, plus les télomères sont petits et plus la vie de la personne sera de courte durée.
 
Selon MedicMagic, ce test d’ADN ne peut être garanti à 100 % et pourrait même avoir une marge d’erreur de 50 ans. Tout comme les scientifiques ne peuvent garantir qu’une personne avec de longs télomères aura une longue vie.
Par contre, ce test d’ADN devrait être offert sur le marché britannique d’ici la fin de l’année. Cela soulève d’ailleurs l’indignation de certains scientifiques qui remettent en cause l’éthique en voyant arriver ce genre de test. Une histoire à suivre au cours des prochains mois.
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Les enfants très joyeux vivront moins longtemps

Des chercheurs affirment que les résultats d’une étude démontrent que les enfants « très joyeux » ont une vie plus courte que leurs compagnons plus calmes. Le Telegraph rapporte que la principale raison à cela réside au niveau des choix effectués plus tard dans leur vie adulte.

En effet, les enfants anormalement heureux, et ce, à des moments inappropriés, seraient plus enclin à développer une bipolarité ou à effectuer des choix de vie dangereux ou nocifs pour leur santé.

L’analyse, provenant de plusieurs universités, remonte aux années 1920, les enfants choisis ayant été suivis jusqu’à leurs vieux jours. En outre, les chercheurs ont découvert que le fait de tenter d’être heureux se soldait par un comportement d’autant plus dépressif.

La professeure June Gruber, coauteure du département de psychologie de l’Université Yale, explique : « Lorsque l’on tente les exercices proposés par nos lectures et que ceux-ci ne fonctionnent pas, nous éprouvons de la déception et la joie s’en trouve diminuée, contrairement à l’effet escompté. »

En résumé, la clé du bonheur consiste à entretenir des relations sociales gratifiantes avec nos proches et nos amis. Le reste n’est qu’illusion.