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Le taux de mortalité infantile aux États-Unis est alarmant

Le plus alarmant, dans ce rapport des CDC (Centers for Disease Control and Prevention), indique livescience.com, c’est que la majeure contribution de ces décès provient de bébés nés à terme.

Les résultats ont laissé le Dr Edward McCabe perplexe, puisque la croyance populaire dicte que la mortalité infantile provient des bébés nés prématurément.

En tout, 28 pays industrialisés ont fait partie de la collecte de données. En 2010, le taux de mortalité avant 1 an était de 6,1 décès sur 1000 naissances aux États-Unis. Ce qui représente un ratio plus élevé que 25 autres pays développés, incluant l’Australie, le Royaume-Uni et la Hongrie.

En contrepartie, en Finlande et au Japon, le taux de mortalité avant le premier anniversaire se situe à 2,3 pour 1000 naissances.

Selon McCabe, le fait que les décès se produisent principalement chez des bébés nés à terme attirera l’attention. « Les gens voudront aller au fond de la question pour comprendre », insiste-t-il, mentionnant que même les chercheurs ne connaissent pas la raison.

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S’endormir au volant : une cause de mortalité plus féroce que l’alcool

Une nouvelle étude ou plutôt un nouveau bilan de la part de l’ASFA démontre que la principale cause d’accidents mortels sur les routes serait la fatigue, et non l’alcool comme il serait permis de le croire.

C’est Santé Log qui rapporte ces conclusions, basées sur des statistiques recueillies au cours de l’année 2012. On note d’abord une certaine amélioration en termes de nombres de décès sur les routes, globalement.

Malheureusement, il semble que la fatigue soit la cause d’un accident mortel sur trois, s’appropriant ainsi le triste titre de cause principale des décès routiers.

Les vacances sont encore une fois une période faste pour les accidents, le mois de juillet s’avérant le pire de tous à ce chapitre.

Même si les accidents mortels reliés à la drogue et à l’alcool arrivent plus loin dans ce bilan, il n’en demeure pas moins que, toujours selon l’ASFA, ils continuent d’être en hausse progressive depuis 15 ans.

Encore une fois, on appelle à la vigilance et à l’intelligence des conducteurs.

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Être inactif est plus dangereux que de fumer?

Les fumeurs et amateurs des produits du tabac sont séquestrés dans une catégorie peu enviable depuis quelques années, reclus et méprisés par une population de plus en plus anti-tabac.

Voilà un phénomène qui pourrait aussi frapper les plus paresseux et sédentaires d’entre nous, alors qu’une étude rapportée par Santé Log fait état de risques cardiovasculaires plus importants chez ces individus que chez les fumeurs.

Mondialement, on rapporte que c’est facilement le tiers de la population qui ne pratique aucune activité physique, donc qualifié de sédentaire. Du lot, on associe 5,3 millions de décès reliés à cette procrastination physique, contre 5,1 millions liés au tabagisme.

Le fait de ne pas bouger ou de ne pas pratiquer d’activités physiques est donc devenu un facteur de risque de troubles cardiovasculaires mortels plus important que la cigarette, ce qui inquiète plusieurs observateurs.

C’est d’ailleurs pourquoi l’International Chair on Cardiometabolic Risk (ICCR) publie un rapport qui dévoile ces chiffres, afin de sensibiliser la population à cet état de fait et tenter d’en convaincre une partie de retrouver ses chaussures de sport.

De plus, ces personnes associent souvent ce comportement de farniente à un régime alimentaire trop gras, trop salé et pauvre en nutriments et minéraux. Un cocktail visiblement mortel.

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Prendre son coeur en main

La Presse publie des statistiques inquiétantes en matière de santé cardiaque au Canada, mais ajoute qu’il est possible de renverser la situation.

Selon les chiffres proposés par Statistique Canada, les maladies cardiovasculaires talonnent de près le cancer, qui demeure en première place dans le classement des causes de mortalité au pays.

Les Canadiens sont eux-mêmes responsables, selon ce que l’on comprend des données avancées, puisque ces statistiques sont directement liées au style de vie de citoyens canadiens.

Ces derniers ont donc l’occasion de corriger le tir et de faire baisser significativement les risques de développer une maladie cardiovasculaire ou de faire une crise cardiaque, en devenant plus responsables envers leurs corps et leur santé.

Malgré toutes les campagnes et les informations sur le sujet, les spécialistes se désolent que les Canadiens ne prennent pas au sérieux les recommandations. Ceux-ci rappellent du même coup que les femmes sont aussi à risque que les hommes.

Au Canada, neuf personnes sur dix présenteraient des comportements qualifiés de facteurs de risque en ce qui concerne les troubles cardiovasculaires. Une situation qu’il faudra rapidement corriger.

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Moins de cancers en Alberta

Une nouvelle aussi bonne qu’intrigante nous arrive de l’Alberta, alors que l’on constate des taux de cancer en chute libre au sein de la population de la province canadienne.

Selon Radio-Canada, qui rapporte la nouvelle, il appert que le phénomène n’est pas tout nouveau dans la région, puisque les taux de mortalité et de diagnostic de cancer en Alberta sont en baisse depuis 2004.

Pour Paul Grundy, vice-président affecté aux soins de santé liés au cancer et directeur médical en chef, il s’agit d’une preuve concrète du succès de certaines des mesures implantées dans la province depuis quelques années. Notamment, les campagnes anti-tabac, de prévention des rayons UV et celles qui prônent le dépistage régulier contre le cancer semblent toutes avoir porté des fruits.

On souligne aussi la qualité des soins de santé offerts en Alberta, en plus du travail exceptionnel des oncologues de la province.

Pour M. Grundy, il s’agit d’une bonne nouvelle, mais encore beaucoup de travail reste à faire. Le cancer demeure un fléau même en Alberta, et on doit poursuivre la lutte.

Le taux de diagnostic de cancer a chuté de 1 % annuellement depuis 2002 en Alberta, et le nombre de décès liés à la maladie est en baisse de 2,8 % depuis 2004.

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Une décennie de perdue pour les fumeurs chroniques

Les gens qui auront fumé tout au long de leur vie de façon chronique perdront l’équivalent d’une décennie en durée de vie, rapporte The National Library of Medicine.

Ces statistiques proviennent d’une profonde étude américaine qui se penchait sur le sujet. On avance donc que les fumeurs peuvent perdre jusqu’à dix ans de leur vie, à moins qu’ils ne cessent au bon moment…

Ce bon moment serait évalué à environ 35 ans. Donc, il serait possible de « récupérer » ces dix ans de vie si une personne décide d’arrêter de fumer avant d’atteindre la mi-trentaine.

Il y a donc de l’espoir pour plusieurs personnes, et on souligne aussi qu’il n’y a pas d’âge pour profiter des bienfaits de l’arrêt du tabagisme.

L’étude massive analysait les données de plus de 200 000 personnes et conclut que les taux de mortalité chez les fumeurs sont trois fois plus élevés que chez les non-fumeurs.

« Il s’agit d’une bonne nouvelle pour les non-fumeurs, et d’une moins bonne pour les fumeurs. Même chose pour les femmes, qui affichent des statistiques comparables. Les femmes fument comme les hommes… et meurent comme les hommes », termine le Dr Jha, de l’hôpital St Michaels de Toronto.

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Un nouveau programme médical fait chuter la mortalité infantile

Le programme a été instauré par l’American Academy of Pediatrics (AAP) et s’intitule Helping Babies Breathe (HBB) ou « aider les nouveau-nés à respirer ». Les résultats de ce programme, selon deux recherches, sont très concluants.

Pendant les soixante premières secondes après la naissance, les intervenants mettent l’accent sur la respiration spontanée de l’enfant, en appliquant des mesures d’urgence lorsque celle-ci n’intervient pas immédiatement.

On nettoie rapidement les voies respiratoires par succion, puis on procède à une stimulation cutanée en asséchant l’enfant, notamment pour le réchauffer. On procède également à une respiration assistée à l’aide d’un sac et d’un masque.

Selon medpagetoday, dans un groupe d’hôpitaux de l’Inde, dirigé par le Dr Shivaprasad Goudar du Collège médical à Belgaum, le taux de mortalité infantile a baissé de 3 à 2,3 % en 2010.

Quant aux hôpitaux participants en Tanzanie, le programme a permis une baisse spectaculaire de 47 % des décès néonataux dans les 24 premières heures de vie du nourrisson.

Le programme, selon les chercheurs, n’est ni plus ni moins qu’une mesure de réanimation simple, mais très efficace. La prochaine étape, selon les responsables de l’étude, c’est que « le travail se fasse ». Tous les intervenants en santé doivent connaître la méthode, ce qui est encore loin d’être la réalité.

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Les relations sérieuses augmenteraient l’espérance de vie

Célibataires, vous voudrez peut-être réviser votre style de vie à la suite de la parution d’une nouvelle étude qui traite de longévité et de relations amoureuses et sociales.

En fait, l’étude américaine propose le constat suivant : entretenir une relation amoureuse sérieuse et à long terme permettrait de vivre plus longtemps.

Ce sont des chercheurs de l’Université de Caroline du Nord, rapporte Santé Log, qui proposent ce constat, après avoir analysé les dossiers de près de 5000 personnes nées dans les années 40.

Ces sujets ont répondu aux questions des chercheurs, et ces derniers ont aisément remarqué que les gens qui vivaient en couple jouissaient d’une longévité supérieure.

Ceci serait particulièrement vrai à partir de 40 ans, souligne l’équipe de spécialistes. Être seul passé la quarantaine pourrait augmenter les risques de mortalité par trois fois, croient-ils.

Après avoir analysé les variables et les autres paramètres qui pouvaient influencer la santé des sujets en question, ils concluent que le concubinage a un réel impact, et un impact majeur.

Ceci pourrait s’expliquer par les réactions émotionnelles ressenties en couple, en plus des styles de vie plus sains qui accompagneraient ce choix de vie.

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Le cancer fait moins de morts en Amérique du Nord

C’est un constat rempli d’optimisme que publie www.cancer.org, alors que les taux de mortalité dus au cancer seraient encore en baisse en Amérique du Nord, notamment aux États-Unis.

Ces résultats proviennent du rapport annuel sur le sujet (Annual Report to the Nation on the Status of Cancer), publié cette année dans le Journal of the National Cancer Institute.

On remarque que les décès à la suite d’un cancer sont en baisse, malgré une hausse des diagnostics. Il s’agit d’un déclin constant depuis les années 90, affirment les spécialistes, ce qui a de quoi surprendre.

Ainsi, on note des baisses respectives de 1,8 % et 1,4 % de mortalité chez les hommes et les femmes atteints d’un cancer. De plus, ces statistiques touchent la plupart des cancers connus, comme ceux du poumon, du sein et de la prostate, pour ne nommer que ceux-là.

« La continuité de la baisse de la mortalité par cancer depuis deux décennies est certainement une raison de célébrer. Le défi auquel nous faisons maintenant face est de continuer cette progression malgré l’apparition de nouveaux problèmes comme l’obésité et le VPH, entre autres. »

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La malbouffe serait plus dévastatrice que la faim dans le monde

C’est tout un constat que rapporte topsante.com, qui devrait franchement nous porter à réfléchir sur nos habitudes alimentaires en tant que Nord-Américains surgâtés.

Une étude internationale dévoile des statistiques étonnantes indiquant que la malbouffe et les comportements alimentaires des pays développés sont à l’origine de plus de décès que la malnutrition.

Véritable paradoxe alimentaire, cette situation est d’autant plus inacceptable qu’il est facile de penser que les deux situations pourraient sans doute s’améliorer si on « coupait dans le gras » en donnant nos surplus alimentaires aux pays affamés.

Selon l’étude, intitulée Global Burden of Disease, c’est plus de trois millions de décès dans le monde en 2012 qui sont liés à de mauvaises habitudes alimentaires. La faim, elle, est en cause dans près d’un million de morts.

Trois fois plus de décès pour trois fois plus de bouffe, il y a de quoi faire un sérieux bilan social.

L’étude compilait aussi les taux de mortalité impliquant d’autres facteurs, comme le tabagisme (1re place du lugubre décompte) et le cancer (qui est en progression de 38 % par rapport à 2011).

Les maladies et problèmes cardiovasculaires sont en baisse, avec un taux d’un décès sur quatre mondialement, contrairement à un sur cinq il y a 20 ans.