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La viande rouge réduit l’espérance de vie

Une étude parue dans les Archives of Internal Medicine mentionne que d’augmenter sa consommation quotidienne de viande rouge d’une portion (100 g) hausse les risques de décès jusqu’à 20 %.
 
L’équipe de la Harvard School of Public Health dit qu’il serait bénéfique de remplacer la viande rouge par des poissons ou de la volaille, ce qui réduirait les risques de décès.
 
Selon la recherche, augmenter la consommation de viande rouge d’une portion par jour hausse de 12 % les risques de mortalité, toutes causes confondues. Cela passe à 13 % pour les viandes rouges non transformées et à 20 % pour les viandes rouges transformées.
 
« Nous constatons qu’un apport plus élevé de viande rouge est associé à un risque significativement plus élevé de mortalité, de décès en raison de maladies cardiovasculaires et de cancer, et cette association est observée pour la viande rouge non transformée et transformée, avec un risque relativement plus élevé pour la viande rouge transformée. Consommer plutôt du poisson, de la volaille, des noix, des légumes, des produits laitiers allégés et des grains entiers en remplacement de la viande rouge est associée à un risque significativement moindre de mortalité », expliquent les auteurs des travaux.
 
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La viande rouge réduit l’espérance de vie

Une étude parue dans les Archives of Internal Medicine mentionne que d’augmenter sa consommation quotidienne de viande rouge d’une portion (100 g) hausse les risques de décès jusqu’à 20 %.
 
L’équipe de la Harvard School of Public Health dit qu’il serait bénéfique de remplacer la viande rouge par des poissons ou de la volaille, ce qui réduirait les risques de décès.
 
Selon la recherche, augmenter la consommation de viande rouge d’une portion par jour hausse de 12 % les risques de mortalité, toutes causes confondues. Cela passe à 13 % pour les viandes rouges non transformées et à 20 % pour les viandes rouges transformées.
 
« Nous constatons qu’un apport plus élevé de viande rouge est associé à un risque significativement plus élevé de mortalité, de décès en raison de maladies cardiovasculaires et de cancer, et cette association est observée pour la viande rouge non transformée et transformée, avec un risque relativement plus élevé pour la viande rouge transformée. Consommer plutôt du poisson, de la volaille, des noix, des légumes, des produits laitiers allégés et des grains entiers en remplacement de la viande rouge est associée à un risque significativement moindre de mortalité », expliquent les auteurs des travaux.
 
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Ensembles de naissance : chute de la mortalité chez les nouveau-nés

Des trousses hygiéniques utilisées avec des pratiques saines d’accouchement conduisent à une baisse de la mortalité chez les nourrissons nés à la maison, rapporte une nouvelle étude publiée cette semaine par PLoS Medicine.

Les chercheurs, dirigés par Nadine Seward et Audrey Prost de l’Institute of Child Health de l’University College London, ont analysé les données provenant de trois études précédentes pour enquêter sur les liens entre la mortalité néonatale, l’utilisation d’ensembles d’accouchement et les pratiques individuelles de naissance.

Les chercheurs ont constaté que l’utilisation de ces ensembles de naissance était liée à une chute spectaculaire (48 %) de la mortalité néonatale.

Ces résultats renforcent l’importance de l’hygiène lors d’un accouchement. Les coûts de ces ensembles sont faibles : 0,44 $ US en Inde, 0,40 $ US au Népal et 0,27 $ US au Bangladesh.

Près de 20 000 accouchements à domicile ont été suivis dans les zones rurales de l’Inde, du Népal et du Bangladesh pour arriver à ces conclusions.

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Risque de mortalité avec certains somnifères

Le journal BMJ Open rapporte que plusieurs médicaments de type somnifères, prescrits pour mieux dormir, augmentent les risques de décès de quatre fois pour les utilisateurs, comparativement à ceux qui n’en prennent pas.
 
On avait déjà constaté que les somnifères faisaient croître les risques de cancer de 35 %.
 
Les chercheurs ont suivi 10 529 adultes âgés en moyenne 54 ans qui avaient eu des prescriptions de somnifères entre 2002 et 2007. Ils ont comparé les données à celles de 23 676 adultes qui n’avaient pas pris de somnifères.
 
Ceux qui en prenaient avaient quatre fois plus de risques de mourir. Même les petits consommateurs (18 cachets et moins par année) voyaient leur risque de mourir être triplé comparativement aux groupes non utilisateurs.
 
Les médicaments concernés sont ceux de la famille des benzodiazépines, comme le Temazepan, des non-benzodiazépines, comme de Zalpidem, des barbituriques et des sédatifs antihistaminiques.
 
Ces résultats sonnent donc l’alarme auprès des experts, qui effectueront des études complémentaires pour valider les données.
 
Des études précédentes avaient déjà associé les somnifères à des risques accrus d’accident de voiture, de chute, de problème de régurgitation dans l’œsophage et d’ulcères.
 
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Cancers infantiles : il y a du progrès

Selon la Dre Dominique Valteau-Couanet, chef du département de cancérologie de l’Enfant et de l’Adolescent à l’Institut Gustave Roussy-Villejuif, cette diminution de mortalité importante, remarquée depuis le début des années 70, est notamment due à la prise en charge efficace et souvent hâtive des enfants porteurs de cancer.
 
Le santelog.com rapporte que Valteau-Couanet a affirmé lors d’une conférence : « Ces améliorations sont liées à la prise en charge des enfants dans des centres spécialisés et au travail coopératif des oncopédiatres regroupés en sociétés savantes spécifiques nationales, la SFOP puis la SFCE, et internationales, la SIOP ».
 
La spécialiste, comme plusieurs autres, a participé à une première conférence nationale sur les cancers et leucémies des enfants, organisée par le ministre de la Santé et par l’Association Enfants et Santé à Paris, le 11 février dernier. Celle-ci a servi à faire le point sur les progrès effectués dans la prise en charge des enfants atteints de cancers.
 
Selon ce qui a été révélé, l’élaboration de protocoles prospectifs multicentriques a permis de mieux progresser en ce qui concerne la prise en charge, le contrôle et la prévention des complications aiguës, comme la mise en place d’un protocole en 1981 qui a permis d’augmenter la guérison du lymphome de Burkitt de 35 à 75 %.
Pour l’Association Enfant et Santé, « les clés du progrès sont l’enthousiasme et l’expertise des médecins, leur coopération à l’échelon national et international, le fort soutien académique et le soutien financier et humain des associations ».
 
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Bébés en Alaska : le taux de mortalité ne diminue pas

Pour les nourrissons de l’Alaska, le taux de mortalité postnéonatale a chuté de 4,9 pour 1000 naissances en 1989 à 3,9 pour mille en 2009.

En 2007, le taux de mortalité postnéonatale chez les autochtones de l’Alaska et d’autres Amérindiens était de 4,67 pour 1000, contre 2,33 chez le reste des enfants américains.

Cette étude a révélé que le taux de mortalité reste élevé en Alaska, même si bien des décès pourraient être évités.

Les facteurs de risque de décès chez les nourrissons autochtones de l’Alaska les plus fréquents sont la naissance avant 34 semaines, la naissance entre 34 et 36 semaines, le faible poids à la naissance, le tabagisme prénatal maternel, la consommation d’alcool pendant la grossesse et le fait que la mère est célibataire et/ou le père ne figure pas sur le certificat de naissance.

Le rapport souligne également le manque de ressources dans le domaine de la santé pour cet État américain.

Cependant, depuis 1996, l’instauration du programme d’éducation publique Back to Sleep en Alaska aurait permis de faire diminuer la mortalité associée au syndrome de mort subite.

Le rapport affirme que les infections et les anomalies congénitales n’ont pas diminué au cours des dernières années.

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Cancer de la prostate : examens systématiques inutiles?

De nouvelles données confirment une étude dévoilée en 209. Les examens systématiques du cancer de la prostate ne réduisent pas le taux de mortalité.
 
Les premiers résultats, dévoilés en 2009, avaient été obtenus sur 76 000 hommes. Cette fois, leur suivi a été plus long, soit de 10 à 13 ans.
 
Encore une fois, on constate que bien que les tests annuels permettent de faire plus de diagnostics de cancer, cela ne réduit pas le nombre de décès.
 
« Ces données confirment que, pour la plupart des hommes, il n’est pas nécessaire de se faire dépister chaque année du cancer de la prostate. La majeure partie des cancers que nous avons trouvés évoluent lentement et il est peu probable qu’ils soient mortels », mentionne l’auteur principal des travaux, Gerald Andriole, au Journal of the National Cancer Institute.
 
Pour l’étude, certains hommes devaient avoir un test sanguin et un toucher rectal tous les ans, alors que d’autres n’ont eu des examens que lorsque leur médecin le jugeait nécessaire.
 
On a diagnostiqué 4250 cas de cancer de la prostate dans le premier groupe et 3815 dans le second, mais le nombre de décès n’avait pas de différence significative, soit 158 contre 145 cas.
 
« Avec ces nouvelles données, nous découvrons que seuls les hommes les plus jeunes, ceux dont l’espérance de vie est la plus longue, sont susceptibles de tirer profit des examens systématiques », ajoute M. Andriole.
 
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Les radiographies ne préviennent pas la mortalité due au cancer des poumons

Une étude américaine publiée dans le Journal of the American Medical Association (JAMA),démontre que les radiographies annuelles de la cage thoracique ne permettent pas de réduire le nombre de décès reliés au cancer du poumon.
 
« Ces résultats constituent une solide preuve qu’il n’y a pas de gain substantiel de survie pour les personnes atteintes d’un cancer pulmonaire avec une radiographie annuelle de leurs poumons », mentionnent les auteurs.
 
154 901 personnes âgées de 55 à 74 ans ont participé à l’étude. On a sélectionné au hasard la moitié de ces personnes qui devaient avoir des radiographies annuelles, en prenant soin de séparer également le nombre de femmes et d’hommes dans chacun des groupes, de même que le nombre de personnes n’ayant jamais fumé, les ex-fumeurs et les fumeurs.
 
Au cours de l’étude de 13 ans, on a diagnostiqué 1696 cancers du poumon dans le groupe ayant eu des radiographies annuelles, et 1620 dans celui ayant reçu les soins de routine.
 
Le nombre de décès était similaire dans les deux groupes, soit 1213 dans le premier et 1230 dans le second, démontrant que les radiographies annuelles n’ont aucun impact.
 
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Les cas de rougeole en baisse dans le monde

Il semblerait que la vaccination systématique des enfants et les campagnes de vaccination dans le monde portent leurs fruits en ce qui concerne la rougeole.
 
Entre 2001 et 2011, près d’un milliard d’enfants âgés de 9 mois à 14 ans ont été vaccinés contre la maladie. Selon l’Organisation mondiale de la santé (OMS), ces vaccins ont fait reculer le taux de mortalité de 78 % dans le monde.
 
La rougeole touche surtout les pays en voie de développement en Afrique et en Asie, même si certains cas sont recensés ailleurs.
 
La rougeole est une maladie virale contagieuse. Seulement en 2008, 164 000 personnes étaient décédées après l’avoir contractée.
 
Les vaccins systématiques et les campagnes de vaccination sont les seules méthodes réellement efficaces pour éradiquer la maladie.
 
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Danger avec les compléments de vitamines

De récentes études révélaient que la prise de compléments vitaminés s’avérait être totalement inutile pour la majorité des gens. Une étude parue dans les Archives of Internal Medecine dévoile que certains compléments pourraient même être dangereux, voire mortels, pour les femmes âgées.
 
38 772 femmes âgées en moyenne de 62 ans ont participé à cette recherche. Les spécialistes s’inquiètent surtout de la prise de compléments de fer qui seraient liés à une augmentation du taux de mortalité.
 
« Nous avons découvert que plusieurs compléments vitaminés ou minéraux fréquemment utilisés, comme les produits multivitaminés, les vitamines B6, l’acide folique, le fer, le magnésium, le zinc et le cuivre, sont liés à des risques plus élevés de mortalité », déclarent les auteurs des travaux.
 
Toutefois, des études complémentaires doivent être faites pour trouver la raison exacte de ce phénomène. Le taux accru de mortalité pourrait plutôt être lié aux raisons qui ont poussé les femmes à prendre ce type de compléments de vitamines.
 
D’un autre côté, les suppléments de calcium, eux, seraient liés à une diminution de la mortalité chez les femmes.
 
Il est donc fortement recommandé de demander l’avis d’un spécialiste de la santé avant de prendre tout complément vitaminé.