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Le célibat tue, le mariage enlaidit

Deux études différentes se sont penchées sur les effets du mariage sur les gens.
 
La première, effectuée à l’Université de l’Ohio, mentionne que le mariage augmente l’espérance de vie, mais l’étude de l’Université de Louisville affirme que les femmes mariées auraient tendance à se négliger.
 
Le Daily Mail indique aussi que les célibataires, surtout les hommes, ont 32 % plus de risques de mourir que ceux qui sont en couple, notamment en raison de l’isolement social que cela peut entraîner.
 
C’est dans la trentaine que les hommes seraient les plus vulnérables, alors que le taux de mortalité grimpe à 128 % comparativement aux hommes en couple.
 
Quant aux femmes, lorsqu’elles sont mariées, les tâches ménagères et les obligations familiales les rendraient plus sédentaires et elles auraient tendance à se négliger.
 
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Les prématurés sont plus en danger

On lit dans l’American Journal of Obstetrics and Gynecology que les bébés prématurés ont de plus grands risques de mort que ceux dont la naissance s’est rendue à terme. Ils sont aussi plus enclins à souffrir de paralysie cérébrale.

Une revue analytique a permis de confirmer ces risques déjà abordés. Il est donc important de ne pas considérer ces poupons de la même manière que les autres.

Le risque de mortalité est aussi plus grand chez les bébés nés presque à terme, soit avant la 37e semaine de grossesse, même s’il demeure ici plus faible que les bébés très prématurés.

Afin de faire ce constat, pas moins de 22 études sont passées en revue, ce qui correspond à 29 millions de nouveau-nés. Sur ce nombre, on a relevé 2 368 471 bébés prématurés.

On a par ailleurs remarqué que les enfants nés prématurément étaient exposés à de plus grands risques de retard intellectuel, de schizophrénie et de troubles psychologiques que les autres.

Chez les enfants nés presque à terme, selon plusieurs études, on a remarqué un risque plus élevé de retards de développement et de problèmes d’apprentissage durant les cinq premières années de vie.

Par la suite, ces mêmes enfants afficheraient des aptitudes mathématiques et de lecture plus faibles que ceux nés à terme.

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Les prématurés sont plus en danger

On lit dans l’American Journal of Obstetrics and Gynecology que les bébés prématurés ont de plus grands risques de mort que ceux dont la naissance s’est rendue à terme. Ils sont aussi plus enclins à souffrir de paralysie cérébrale.

Une revue analytique a permis de confirmer ces risques déjà abordés. Il est donc important de ne pas considérer ces poupons de la même manière que les autres.

Le risque de mortalité est aussi plus grand chez les bébés nés presque à terme, soit avant la 37e semaine de grossesse, même s’il demeure ici plus faible que les bébés très prématurés.

Afin de faire ce constat, pas moins de 22 études sont passées en revue, ce qui correspond à 29 millions de nouveau-nés. Sur ce nombre, on a relevé 2 368 471 bébés prématurés.

On a par ailleurs remarqué que les enfants nés prématurément étaient exposés à de plus grands risques de retard intellectuel, de schizophrénie et de troubles psychologiques que les autres.

Chez les enfants nés presque à terme, selon plusieurs études, on a remarqué un risque plus élevé de retards de développement et de problèmes d’apprentissage durant les cinq premières années de vie.

Par la suite, ces mêmes enfants afficheraient des aptitudes mathématiques et de lecture plus faibles que ceux nés à terme.

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Le taux de mortalité par cancer est plus élevé pour les hommes

Une nouvelle étude épidémiologique rapporte que le taux de mortalité par cancer est plus élevé chez la gent masculine.
 
« Les hommes ont un risque plus grand de mourir d’un cancer que les femmes dans une majorité de types de tumeurs cancéreuses », explique l’auteur principal de l’étude, Dr Michael Cook, au Cancer Epidemiology, Biomarkers & Prevention.
 
Toutefois, on ignore pourquoi les hommes meurent plus des suites du cancer que les femmes. « Si nous pouvons identifier le principal facteur responsable de cette différence dans la mortalité par cancer entre les hommes et les femmes, nous pourrons alors prendre des mesures préventives permettant de réduire l’impact de cette maladie sur les deux sexes », ajoute le chercheur.
 
Ainsi, après avoir analysé le taux de survie de cinq ans des deux sexes, en tenant compte également de l’âge et de 36 types de cancer, la plus grande différence se note chez le cancer de la lèvre qui tue 5,51 hommes contre une seule femme.
 
Ensuite, 5,37 hommes vont mourir des suites du cancer du larynx contre une femme, le cancer de l’hypopharynx fait 4,47 victimes masculines contre 1 féminine. Pour le cancer de l’œsophage, le taux de mortalité est de 4,08 hommes contre une femme et pour la vessie, il est 3,36 hommes pour une femme.
 
Même pour les cancers plus graves, comme celui des poumons et des bronches, 2,31 hommes en meurent contre une femme.
 
Le cancer colorectal fait 1,42 victime chez les hommes contre une chez les femmes, pour le pancréas, c’est 1,37 contre un, alors que 1,75 homme meurt d’une leucémie contre une femme. Finalement, le cancer du foie tue 2,23 hommes pour une femme.
 
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L’efficacité de la mammographie confirmée

La mammographie réduit considérablement le taux de mortalité du cancer du sein. Dans les dernières années, ce type d’examen ne faisait plus l’unanimité et était même remis en question par certains médecins.
 
La plus vaste étude sur le cancer du sein effectuée à ce jour confirme maintenant l’efficacité des mammographies.
 
Selon ce que rapporte la revue Radiology, ce dépistage systématique réduit de 30 % le taux de mortalité lié à la maladie.
 
Cette étude s’est déroulée sur 29 ans et comptait 130 000 Suédoises de 40 à 74 ans.
 
Durant les sept premières années, la moitié des participantes ont eu des mammographies tous les deux ou trois ans, alors que l’autre moitié n’a reçu que les soins médicaux courants.
 
En conclusion, il y a eu 30 % moins de décès avec les mammographies et cette différence a persisté durant toutes les années de l’étude.

Le rapport affirme également que les méthodes de dépistage et les traitements se sont beaucoup améliorés dans les dernières années.

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Données alarmantes concernant le cancer de l’ovaire

Une étude réalisée par l’Institut américain du cancer (NCI) transmet des données plutôt alarmantes concernant le cancer de l’ovaire.
 
Après avoir suivi des dizaines de milliers de femmes ménopausées pendant 20 ans, on arrive à la conclusion que le taux de mortalité n’est pas abaissé avec les tests de dépistage.
 
La raison est simple : le cancer de l’ovaire est très difficile à détecter, notamment parce qu’il ne présente pas de symptômes à un stade précoce et que les ovaires sont difficiles à examiner en raison de leur emplacement dans le bassin.
 
Les tests de dépistage sanguins et les échographies transvaginales n’influencent guère le taux de mortalité. Certains tests causent plutôt des complications comme des infections, des caillots sanguins et une ablation inutile des tissus ovariens.
 
Les antécédents familiaux, une mutation génétique et une absence de grossesse sont les principaux facteurs de risque pour une femme.
 
Lorsqu’une patiente a un cancer qui se limite à l’ovaire, ses chances de survie de cinq ans sont de 92 %. Malheureusement, rares sont celles qui ont cette chance, car dans la grande majorité des cas, le diagnostic est souvent fait à un stade avancé du cancer.

Le cancer de l’ovaire est le 4e cancer le plus meurtrier et on estime qu’il y aura 2 600 nouveaux cas cette année au Canada. Il est donc important de trouver des moyens de dépister la maladie à des stades plus précoces.

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Le travail routinier et peu rémunéré favorise l’abus d’alcool

Le DailyMail rapporte une nouvelle étude disant que les femmes effectuant un travail routinier et peu rémunéré ont six fois plus de chances de mourir des suites d’abus d’alcool.
 
Par exemple, les femmes de ménage, les serveuses de bar ou les couturières sont parmi les plus à risque. Elles ont 5,7 fois plus de chances d’avoir une maladie du foie mortelle, des troubles mentaux ou un empoissonnement.
 
Pour les hommes, comme les chauffeurs ou les ouvriers, ils ont 3 fois et demie plus de chances de vivre les mêmes risques, comparativement à ceux qui ont des postes de gestion ou à d’autres professionnels avec des emplois plus rémunérateurs.
 
Pourtant, il y a un an environ, des scientifiques affirmaient que les femmes qui avaient des postes de cadre consommaient plus d’alcool que les autres.
 
Selon les chercheurs, bien que ces résultats soient contradictoires, il faudrait aussi tenir compte d’autres facteurs de risques, comme le tabagisme et une mauvaise alimentation, qui influencent grandement la qualité de la santé.
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Le meilleur moment pour accoucher

On peut lire dans Obstetrics & Gynecology qu’un accouchement devrait idéalement être prévu au moins à la 39e ou la 40e semaine de grossesse. Les risques de décès de l’enfant en seraient ainsi réduits de moitié.

C’est la conclusion d’une étude américaine ayant porté sur les données de naissance des dernières années. Elle remet en question la perception courante selon laquelle tous les enfants nés entre 37 et 40 semaines de grossesse sont en parfaite santé.
 
Or, en 2006 par exemple, le taux de mortalité a été de 1,9 pour 1 000 naissances à 40 semaines. Quant aux bébés nés quelques semaines plus tôt, soit vers la 37e semaine, il a été de 3,9 sur 1 000 naissances.

On peut donc comprendre, à la lecture de ces taux, qu’un poupon est exposé à des risques beaucoup plus faibles, voire minimes, si la grossesse se poursuit vraiment jusqu’à terme.

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L’ablation de la prostate réduirait les risques de mortalité après un cancer

Les résultats de travaux rapportés par le New England Journal of Medicine affirment que l’ablation de la prostate serait une voie à envisager sérieusement pour les hommes atteints d’un cancer de cette glande.
 
Après avoir suivi 700 patients pendant 15 ans, des chercheurs suédois constatent qu’il y a moins de décès chez les sexagénaires s’étant fait retirer la prostate.
 
Durant l’étude, 347 hommes malades on eu une ablation de la glande, alors que 348 ont reçu de l’hormonothérapie. Leur âge moyen était de 65 ans lors du diagnostic de cancer et la majorité avait une tumeur maligne.
 
Après 15 ans, 48 % de ceux ayant subi l’ablation de la prostate sont décédés, dont 16 % des suites de leur cancer. Dans le deuxième groupe, le taux de mortalité était de 58 %, dont 23 % des suites du cancer de la prostate.
 
Ce sont les hommes de moins de 65 ans qui ont tiré le plus grand bénéfice de l’ablation de la prostate. De plus, après cette intervention, on note une réduction de 12 % de la propagation du cancer à d’autres organes.
 
Le cancer de la prostate est le plus répandu chez l’homme. Seulement au Canada, on estime qu’il y aura 24 000 nouveaux cas cette année, dont 4 300 mèneront à un décès.
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Les femmes meurent de moins en moins du cancer du poumon

Selon des données publiées dans le Journal of the National Cancer Institute, le taux de mortalité dû au cancer du poumon chez les femmes vient de marquer un recul aux États-Unis, pour la première fois en quarante ans.
 
Depuis dix ans, on remarquait une baisse des décès chez les hommes pour cette maladie, mais cette fois, les femmes viennent également d’emboîter le pas.
 
Par contre, selon la Société canadienne du cancer, la tendance canadienne est plutôt inversée. Le taux de mortalité par cancer du poumon est à la hausse au pays : un homme sur 13 et une femme sur 18 en sont les victimes.
 
Tous types de cancer confondus, on remarque également qu’entre 2003 et 2007, il y a eu une baisse de 0,8 % de nouveaux cas détectés par année, notamment pour certains cancers des plus meurtriers comme le cancer du poumon, du sein, du col de l’utérus, colorectal et oral.