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Un nouvel espoir contre le cancer de la prostate

L’hormonothérapie semble donner de grands espoirs dans le domaine du cancer de la prostate, rapporte The Lancet.
 
Apparemment, les hommes qui y ont recours diminuent de moitié les risques de succomber à la maladie. Pour cela, l’hormonothérapie doit toutefois être jumelée à la radiothérapie.
 
Selon la présente étude, cette nouvelle méthode, appelée Neoadjuvant Androgen Deprivation Therapy (NADT), réduit le niveau d’hormones masculines qui peuvent favoriser la croissance des tumeurs.
 
Des essais ont été effectués sur 802 hommes pendant 10 ans. Ceux ayant eu la NADT, donc l’hormonothérapie six mois avant et après le cycle de radiothérapie, avaient un taux de mortalité de 11 %, comparativement à un taux de 22 % chez ceux n’ayant reçu que la radiothérapie.
 
De plus, les effets secondaires comme l’impuissance, l’hypercholestérolémie et les risques de crise cardiaque ont été diminués avec la NADT.
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De faibles doses d’aspirine pour lutter contre le cancer

Une équipe de l’Université d’Oxford affirme que prendre une faible dose d’aspirine tous les jours réduit les risques de décès par cancer. Ils seraient diminués de 20 % en moyenne pour tous les types de cancers.
 
Jusqu’à présent, nous savions que l’aspirine avait des effets protecteurs contre les maladies cardiovasculaires. Maintenant, on lui ajoute une autre utilité.
 
Après avoir analysé des essais cliniques regroupant un total de 25 000 personnes, les chercheurs ajoutent que les effets protecteurs après cinq ans de prise quotidienne d’une faible dose d’aspirine diminuent les risques de mortalité de 34 % pour la majorité des cancers et de 54 % pour les cancers colorectaux.
 
Le plus surprenant est qu’après 20 ans, les effets sont encore présents.
 
Avant de se réjouir, les scientifiques souhaitent faire des études plus approfondies pour confirmer les résultats. L’aspirine n’est pas un médicament anodin, même à faible dose. Elle peut provoquer des hémorragies digestives notamment.
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Un médicament contre le cancer augmente les risques de mortalité

Le Journal of the American Medical Association mentionne que le médicament anticancer Avastine augmenterait les risques de mortalité s’il est combiné à d’autres thérapies.
 
L’Avastine agit en bloquant les vaisseaux sanguins nécessaires au développement des tumeurs. Il est également utilisé en combinaison à la chimiothérapie dans les cas de cancers du côlon, du poumon, du sein et du rein.
 
Même si des cas de décès étaient signalés, aucun lien clair n’avait été établi avec l’Avastine. Toutefois, après une analyse de 16 essais cliniques regroupant 10 217 personnes avec des tumeurs cancéreuses avancées, on conclut que l’Avastine peut en effet augmenter le risque de mortalité.
 
Pour l’Avastine seule, l’incidence de décès est de 2,5 %, mais combinée à la chimiothérapie, on multiplie par 1,5 les risques de mortalité. Par contre, ce taux varie énormément selon les agents utilisés dans la chimiothérapie. Par exemple, avec les taxanes (paclitaxel, docétaxel) ou des agents de chimiothérapie dérivés du platine, le risque se multiplie par 3,5.
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Les petits bébés à risque de maladies cardiaques

Des chercheurs de l’Université de la Floride ont étudié le cas de 100 000 bébés nés avant la 29e semaine et pesant moins de 3,3 livres. 

Parmi eux, 8,9 cas sur 1 000 souffraient d’une malformation cardiaque. De plus, cette haute proportion est associée à de nombreux cas de mortalité. Il est de 44 % chez les bébés atteints d’une telle malformation.

Or, dans la population néonatale en général, seulement 2,4 bébés sur 1 000 auront besoin d’une opération durant leur première année de vie en raison de malformations au cœur.

Dans le cadre de la recherche, le ventricule droit, le canal artioventriculaire et les poumons semblaient les plus touchés chez les poupons atteints d’une malformation

On ne saurait dire pour l’instant quelles sont les causes réelles de mortalité. Comme on n’a pu documenter les traitements et les suivis médicaux reçus, le taux de mortalité actuel serait même sous-évalué.

Les résultats de cette étude sont parus récemment dans Pediatrics.

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Chute du nombre de naissances prématurées

Le nombre de naissances prématurées a chuté après des années d’augmentation, nous apprend USA Today.

Selon une analyse américaine, le taux est passé de 12,8 % en 2006 à 12,3 % en 2008, et ce, après une hausse continue durant 30 ans.

Le nombre de grossesses de 34 à 36 semaines a en effet diminué et cela pourrait être dû en partie à l’état de santé des mamans d’aujourd’hui.

Les facteurs de risque sont intimement liés à la santé de la future mère, comme la haute pression sanguine, tous les types de diabète et les anomalies utérines.

Ces données sont très encourageantes, car la naissance prématurée peut entraîner de nombreux problèmes de santé chez le bébé. Parmi ceux-ci, nous comptons une déficience intellectuelle et des pertes auditives ou visuelles.

De plus, la naissance prématurée demeure la première cause de mortalité chez les bébés.

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Une nouvelle percée dans les naissances prématurées

Des chercheurs de l’Université du Texas ont trouvé une nouvelle piste de solution pour empêcher les naissances prématurées.

Nous pouvons lire sur Futura-Sciences que les gènes seraient en cause. En effet, les chercheurs en question, dirigés par Carole Mendelson, ont tout d’abord observé l’expression des gènes durant les contractions.

Les gènes miR-200, une famille de microARN, seraient en cause. Durant la grossesse et lors de l’accouchement, ces gènes feraient croître les cellules utérines. Bien que ces dernières soient présentes dans le corps de la future maman depuis le début de la grossesse, elles avaient jusque-là été inhibées par d’autres gènes, les ZEB1 et ZEB2.

C’est lorsque la proportion de ces gènes s’inverse que l’accouchement survient. Les miR-200 se multiplient, contractant ainsi le muscle utérin.

Il s’agit maintenant de poursuivre les recherches sur les gènes miR-200 afin de trouver de nouvelles solutions pour réussir à retarder l’accouchement.

Rappelons que les naissances prématurées sont la cause de nombreux cas de mortalité et de handicaps.

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De moins en moins de décès en raison du cancer

Un rapport de l’Institut national du Cancer (INCA) en France mentionne que le taux de mortalité par cancer connaît une baisse depuis les dernières années, surtout chez les hommes.
 
Cela est dû notamment au fait que les hommes fument de moins en moins. Par contre, la baisse est moins significative chez les femmes, car celles-ci fument plus et il y a donc plus de cancers des poumons.
 
Si l’on compare les statistiques entre 1983 et 1987 et entre 2003 et 2007, on note une baisse de mortalité par cancer de l’ordre de 22 % pour les hommes et de 14 % pour les femmes.
 
Les meilleures techniques de dépistage, notamment pour les cancers du sein, du côlon et de l’utérus, expliquent en partie ce phénomène. De plus, il existe maintenant une meilleure prise en charge thérapeutique.
 
La baisse de mortalité s’accélère depuis les dix dernières années, mais le cancer demeure la première cause de décès pour les hommes et la deuxième cause pour les femmes. Les cancers du sein et des poumons sont les deux plus grands responsables de la mortalité des moins de 65 ans.
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Moins de décès en raison des complications de grossesse et d’accouchement

L’Organisation mondiale de la santé (OMS) a fait savoir que les décès qui résultent des complications dues à la grossesse ou l’accouchement sont maintenant moins nombreux dans le monde.
 
Dans les vingt dernières années, le taux de mortalité maternelle a diminué du tiers. Par contre, il y a encore environ 1 000 femmes qui meurent chaque jour en raison de ces complications.
 
Dans les pays pauvres, les risques sont 35 fois plus importants. Seulement en 2008, on a enregistré 358 000 décès maternels dans le monde, dont 99 % étaient dans les pays en voie de développement et plus de la moitié d’entre eux en Afrique subsaharienne.
 
Malgré ce recul de 3 %, les objectifs des Nations Unies ne sont pas atteints. On souhaiterait avoir une baisse de 5,5 % d’ici 2015, alors qu’on note plutôt une chute de 2,3 % par année depuis 1990.
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Les médicaments contre l’insomnie et l’anxiété augmentent les risques de mortalité

Les médicaments contre l’anxiété et l’insomnie augmenteraient de 36 % les risques de mortalité, selon une étude québécoise d’une équipe de chercheurs de l’École de psychologie de l’Université Laval.
 
La Revue canadienne de psychiatrie mentionne que ces médicaments affectent la coordination et la vigilance, augmentant du même coup les risques d’accidents, de chutes ou de fractures chez les personnes âgées et de difficultés respiratoires plus importantes chez les personnes qui ont des problèmes pulmonaires.
 
Les travaux ont été effectués sur 14 000 Canadiens âgés de 18 à 102 ans et suivis de 1994 à 2007.
 
« Les médicaments pour traiter l’insomnie et l’anxiété ne sont pas des bonbons et il ne faut pas croire qu’il est anodin d’en consommer », mentionne la professeure Geneviève Belleville.
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Les mères tristes ont des bébés plus petits

La dépression et l’anxiété des femmes durant leur grossesse peuvent affecter le poids du bébé à la naissance. Ces femmes sont plus susceptibles d’avoir un bébé plus petit, l’exposant ainsi à des risques accrus de mortalité en bas âge.
 
Selon le BMC Public Health, c’est la première fois que l’on établit ce genre de lien et ceci après avoir suivi des femmes des régions rurales du Bangladesh.
 
Les recherches démontrent que les problèmes de santé mentale sont plus susceptibles d’être la première cause de mortalité infantile, de santé précaire, de malnutrition et de faible statut socio-économique.
 
Sur les femmes qui ont été suivies, 18 % avaient reçu un diagnostic de dépression durant leur grossesse et le quart souffrait d’anxiété. Elles ont principalement eu des bébés plus petits que la moyenne.
 
Ce phénomène est préoccupant puisqu’un petit poids à la naissance peut conduire à un décès prématuré. Il est donc important que les femmes affectées aient un suivi de grossesse rigoureux.