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Un gros ventre augmente les risques de mortalité

Des chercheurs américains ont découvert qu’un tour de taille important était lié à un risque accru de décès par maladie, comme des maladies cardiovasculaires, inflammatoires, le diabète, un haut taux de cholestérol ou une intolérance à l’insuline.

Les hommes ayant un tour de taille de plus de 120 cm et les femmes plus de 110 cm ont deux fois plus de risques de mourir d’une maladie et ce, peu importe qu’ils soient en surpoids ou maigres avec un gros ventre, les risques sont les mêmes.

On croit que cela aurait un lien avec le fait que cette graisse entoure les organes de l’abdomen et qu’elle est considérée comme la plus dangereuse des graisses corporelles.

Après avoir étudié 48 500 hommes et 56 343 femmes de plus de 50 ans, on constate également que les personnes ayant un tour de taille plus important ont tendance à avoir moins d’instruction, faire moins d’activités physiques, sont d’anciens fumeurs et ont plus de maladies cardiovasculaires, respiratoires ou des cancers, rapporte l’American Medical Association Archives of Internal Medicine.

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Les produits laitiers auraient des effets bénéfiques pour le cœur

Après avoir suivi 1 500 personnes de 25 à 78 ans pendant 15 ans, et évalué l’état de leur santé et leurs habitudes de consommation de produits laitiers, des chercheurs australiens mentionnent que le lait n’augmente pas le risque de mortalité, en général, ni les risques de décès par cancer.

 

En fait, il y aurait plutôt des effets bénéfiques sur la santé cardiaque. Les participants qui ont consommé le plus de produits laitiers avaient un taux de mortalité moindre que chez les autres.

Comme produits laitiers, on parle ici de lait entier, de crème, de fromages, de yaourt, de crèmes desserts et de crèmes glacées.

Les bénéfices ne seraient pas liés au calcium uniquement, mais aussi à d’autres composants, dont les acides gras, mentionne l’European Journal of Clinical Nutrition.

Des études plus approfondies sont en cours pour déterminer les réels bénéfices de ces produits.

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Le taux de mortalité infantile à la baisse surprend les chercheurs

Les chercheurs sont surpris de constater que le taux de mortalité infantile dans le monde a reculé de 35 % depuis vingt ans.
 
Bien que ce taux continue de baisser, il reste encore du chemin à faire, selon une étude d’une équipe de l’Université de Washington qui paraît dans The Lancet.
 
En 1990, on notait 11,9 millions de décès chez les moins de cinq ans dans le monde. Dans la dernière année, on a enregistré 7,7 millions de décès pour ce groupe d’âge.
 
Si la tendance générale s’améliore dans les pays en développement comme le Brésil, le Mexique, l’Éthiopie ou la Malaisie, les chercheurs mettent en garde des pays comme le Canada et les États-Unis.
 
Il y a vingt ans, le Canada se classait au 9e rang des 187 pays comptant le moins de mortalité infantile. Depuis les vingt dernières années, il a glissé au 28e rang. Ce phénomène se produit aussi aux États-Unis qui sont passés du 29e rang au 42e rang. Ces pays doivent donc demeurer vigilants.
 
L’un des objectifs du millénaire était de réduire des deux tiers le nombre de décès chez les moins de cinq ans d’ici 2015. Bien que la situation s’améliore, nous en sommes encore loin.
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Plus de femmes meurent du cancer du poumon

Le cancer du poumon atteint de plus en plus les femmes. Les risques de décès ont été multipliés par quatre pour les femmes de 35 à 44 ans entre 1984 et 1999. Pourtant, chez les hommes, le risque de décès pour ce cancer a été réduit de moitié pour le même groupe d’âge.
 
« Ces variations résultent respectivement de la diminution du nombre moyen de cigarettes fumées chez les hommes de 15 à 44 ans au cours des 10 dernières années et de son augmentation chez les femmes », mentionnent les auteurs de l’étude publiée dans le Bulletin épidémiologique.
 
En 1980, les hommes consommaient en moyenne neuf cigarettes par jour et les femmes en fumaient 3,5 en 1991. Ce sont les sommets enregistrés.
 
Le taux de mortalité a atteint son plus haut niveau chez les hommes en 1993, mais il a considérablement reculé depuis, alors que chez les femmes, il ne cesse de croître.
 
Bien qu’il existe d’autres facteurs, le cancer du poumon est principalement lié au tabagisme.
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La mortalité infantile en baisse dans le monde

Note encourageante dévoilée par les statistiques sanitaires mondiales de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), la mortalité infantile est à la baisse dans le monde.
 
En fait, on note un recul de 30 % des décès d’enfants de moins de cinq ans entre 1990 et 2008, passant de 12,5 millions à 8,8 millions de morts.
 
On explique ce phénomène par le fait que le taux d’insuffisance pondérale a diminué, les vaccins sont plus accessibles, l’utilisation de moustiquaires avec insecticide offre une excellente protection contre le paludisme, une infection transmise par un moustique, et 87 % de la population mondiale a maintenant accès à de l’eau potable.
 
Toutefois, il reste encore place à l’amélioration, car on note encore 40 % de mortalité infantile. La grande majorité des enfants meurent avant d’avoir atteint leur premier mois de vie, pire encore, une grande parie d’entre eux meurent dans la première semaine de leur existence.
 
« Le défi consiste à aider les pays de l’Afrique Subsaharienne et de certaines parties de l’Asie du Sud-Est à avoir accès à des interventions afin de prévenir le paludisme et lutter contre la dénutrition qui est la cause sous-jacente d’un tiers des décès infantiles », explique le Dr Boerma, directeur du département Statistiques sanitaires et informatique de l’OMS.
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Encore trop de mortalités maternelles et infantiles dans le monde

500 000 femmes meurent en donnant naissance à leur enfant chaque année dans le monde et plus de trois millions de nouveau-nés décèdent également, et ce, malgré les progrès de la science.
 
Selon le rapport du Partenariat pour la santé maternelle, du nouveau-né et de l’enfant (PMNCH) publié par l’Organisation mondiale de la santé (OMS), il y a encore trop de mortalités maternelles et infantiles.
 
On souhaite encore abaisser le taux de mortalité dans les pays en développement d’ici 2015, comme l’objectif qui avait été fixé en 2000 par l’ONU parmi les huit objectifs du millénaire. Les efforts sont surtout concentrés sur 68 pays, particulièrement en Afrique. Malgré d’énormes progrès, les efforts ont besoin d’être renouvelés.
 
Pour le moment, 135 pays ont un taux de mortalité infantile de moins de 40 pour 1000 naissances, mais 39 nations n’ont pas fait suffisamment de progrès. Pire encore, 18 pays ont plutôt régressé.
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Encore 9 millions d’enfants de moins de cinq ans meurent chaque année

Encore aujourd’hui, plus de neuf millions d’enfants meurent chaque année dans le monde. 6,2 millions de ces décès surviennent avant l’âge d’un an.
 
Selon le bulletin scientifique Population & Sociétés, le taux de mortalité infantile est de 0,5 % dans les pays les plus développés, mais demeure à plus de 10 % dans les pays plus au sud et surtout sur le continent africain, qui compte le plus de décès d’enfants de moins de cinq ans.
 
Le taux de mortalité a grandement diminué au cours des années. En France par exemple, il est passé de 275 pour 1 000 bambins au 18e siècle à 3,6 pour 1 000 en 2009. Ceci s’explique notamment en raison de la vaccination contre la variole, mais aussi des politiques de protection de l’enfance.
 
C’est sur le continent africain que l’on retrouve le plus haut taux de mortalité infantile, soit 4,68 millions de décès. L’Asie, avec 4,23 millions de morts, et l’Amérique latine, avec 280 000 décès, viennent ensuite. L’Europe, l’Amérique du Nord et l’Océanie sont les endroits les moins concernés par le phénomène.
 
Le fait que l’Afrique soit le continent le plus touché pourrait s’expliquer par le fait que c’est aussi à cet endroit que l’on retrouve le plus haut taux d’infection au sida, en plus du manque de prévention et de traitements contre les maladies infectieuses.
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La vitamine D protège le coeur

Des chercheurs américains de l’Institut de cardiologie du centre médical Intermountain dans l’Utah ont démontré le rôle que joue la vitamine D sur l’organisme.

Pour l’étude, on a suivi pendant un an un groupe de 28 000 personnes de 50 ans sans antécédents.

Les résultats démontrent que ceux qui ont un taux anormalement bas de vitamine D ont 77 % plus de risques de mourir que ceux qui un taux normal de la vitamine.

On a noté qu’une carence en vitamine D augmente les risques de maladies coronariennes de 45 % et les attaques cérébrales de 78 %. De plus, les personnes carencées, même modérément, ont deux fois plus de risques de souffrir d’une insuffisance cardiaque.

La vitamine D joue également un rôle dans d’autres fonctions biologiques du corps humain, comme la tension artérielle, le contrôle du glucose et l’inflammation.

Récemment, on mentionnait qu’un manque de vitamine D augmentait les risques de développer certains cancers, comme celui du sein et de la prostate. On l’associe également au surpoids, à l’obésité et à la sclérose en plaques.

Maintenant, on souhaite procéder à des essais cliniques avec des compléments de vitamines D afin de mesurer scientifiquement l’incidence de la vitamine sur les problèmes de santé mentionnés précédemment.

Notons qu’en plus des capsules vitaminées, on retrouve la vitamine D dans la lumière du soleil et dans le poisson.

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La vitamine D protège le coeur

Des chercheurs américains de l’Institut de cardiologie du centre médical Intermountain dans l’Utah ont démontré le rôle que joue la vitamine D sur l’organisme.

Pour l’étude, on a suivi pendant un an un groupe de 28 000 personnes de 50 ans sans antécédents.

Les résultats démontrent que ceux qui ont un taux anormalement bas de vitamine D ont 77 % plus de risques de mourir que ceux qui un taux normal de la vitamine.

On a noté qu’une carence en vitamine D augmente les risques de maladies coronariennes de 45 % et les attaques cérébrales de 78 %. De plus, les personnes carencées, même modérément, ont deux fois plus de risques de souffrir d’une insuffisance cardiaque.

La vitamine D joue également un rôle dans d’autres fonctions biologiques du corps humain, comme la tension artérielle, le contrôle du glucose et l’inflammation.

Récemment, on mentionnait qu’un manque de vitamine D augmentait les risques de développer certains cancers, comme celui du sein et de la prostate. On l’associe également au surpoids, à l’obésité et à la sclérose en plaques.

Maintenant, on souhaite procéder à des essais cliniques avec des compléments de vitamines D afin de mesurer scientifiquement l’incidence de la vitamine sur les problèmes de santé mentionnés précédemment.

Notons qu’en plus des capsules vitaminées, on retrouve la vitamine D dans la lumière du soleil et dans le poisson.

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Prévenir les mortalités dues aux grippes sévères

Les statines utilisées pour abaisser le taux de cholestérol pourraient aussi prévenir la mortalité dans les cas de grippes sévères.

Selon les chercheurs, de plus en plus de preuves tendent à démontrer que les statines (Lipitor, Crestor, Zocor) réduiraient le nombre de décès dans les cas d’infections graves. Toutefois, les résultats obtenus ne justifient pas encore l’utilisation des statines à grande échelle sans confirmer les données avec des essais contrôlés.

On sait que les statines seraient bénéfiques avec un vaccin ou des antiviraux, sans doute parce qu’elles diminuent l’inflammation de l’organisme lors d’une infection grippale.

Pour le moment, on ignore si les mêmes résultats seraient obtenus pour la grippe A (H1N1), même si cela porte à croire que ce serait possible de prévenir les mortalités avec cette maladie.

Les présentes données ont été obtenues avant que la grippe porcine ne fasse son apparition, soit pour les saisons grippales de 2007 et 2008.