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La circonférence des cuisses et le risque cardiaque

Une étude menée par le Dr Berit Heitmann et ses collègues démontre l’association entre la circonférence des jambes et le risque de maladies cardiovasculaires.

Lors des travaux menés auprès de 1 436 hommes et 1 380 femmes pendant plus de 12 ans, 400 d’entre eux sont morts et 540 autres ont souffert de maladies coronariennes.

Pour les scientifiques danois, la cuisse fine est synonyme d’un risque trois fois plus élevé de mort prématurée et du double pour celui des maladies cardiaques.

Avec cette découverte, publiée dans le British Medical Journal, la minceur pourrait devenir un facteur de risque lié aux maladies cardiovasculaires, tout comme le surplus de poids peut l’être, croient les auteurs de cette recherche.

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Lien entre l’apnée du sommeil et la mortalité

Une étude menée par le Dr Naresh Punjabi, de l’Université Johns Hopkins à Baltimore, démontre que les personnes qui souffrent d’apnée du sommeil sévère sont 46 % plus à risque de décéder que les sujets qui ne sont pas atteints de ce trouble du sommeil.

Pendant 8 ans, M. Punjabi et ses collègues ont travaillé avec plus de 6 400 adultes et concluent qu’un stade sévère d’apnée du sommeil est associé à un risque accru de mortalité de toutes sortes, peu importe l’âge, le sexe, le poids et le tabagisme chez les participants.

Pour le chercheur David Rapoport, qui a aussi travaillé à cette étude, les patients qui souffrent de ce trouble du sommeil devraient envisager de perdre du poids et aussi de dormir avec un appareil qui permet de combler les manques d’oxygène durant le sommeil.

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Oui au chocolat après un infarctus!

Une recherche publiée dans le Journal of Internal Medicine nous apprend que le chocolat, à raison de plus de deux fois par semaine, fait diminuer d’environ 33 % le risque de mortalité cardiaque à la suite d’un premier infarctus.

Pendant huit ans, le Dr Imre Janszky et son équipe, de l’Institut Karolinska en Suède, ont surveillé le risque de mortalité cardiaque auprès de 1 169 adultes âgés entre 45 à 70 ans et ayant déjà fait un infarctus.
 
Selon les chercheurs, la diminution du risque de décès chez les patients est attribuée aux flavonoïdes, des antioxydants que l’on retrouve dans les fèves de cacao, particulièrement dans le chocolat noir.
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La sieste et le taux de mortalité

Une recherche, dont les résultats sont publiés dans le Journal of the American Geriatrics Society, nous apprend que les femmes âgées de 69 ans et plus qui font une sieste au cours de la journée sont plus à risque de mourir que les autres.

Ces résultats, basés sur des travaux après de 8 000 femmes, démontrent que le taux de mortalité général a augmenté de 44 % quand les participantes dormaient plus de trois heures dans la journée.

Les chercheurs du California Pacific Medical Center Research Institute ont également découvert que le taux de décès augmentait si les sujets avaient cumulé de neuf à dix heures de sommeil pendant la nuit, comparativement à ceux qui dormaient de sept à huit heures quotidiennement.

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Une autre raison de devenir végétarien?

Le Dr Rashmi Sinha, de l’Institut National du Cancer aux États-Unis, conclut qu’un menu riche en viande rouge peut augmenter les incidences de cancer et de maladies cardiovasculaires, faisant ainsi croître le taux de mortalité.

À titre d’exemple, manger un hamburger quotidiennement fait hausser le risque de cancer chez l’homme de 22 %, tandis que celui de crise cardiaque augmente de 27 %. Ce taux varie chez les femmes pour atteindre 20 % pour l’incidence de cancer et 50 % pour les maladies coronariennes.

L’équipe de chercheurs a donc comparé, pendant 10 ans, le taux de mortalité chez 545 000 adultes, âgés de 50 à 71 ans, en fonction de leur consommation de viandes rouges et blanches, de poissons et de fruits de mer.

Dans l’éditorial accompagnant les résultats de la recherche, l’auteur Barry Popkin mentionne également que consommer moins de viande rouge a des bienfaits pour réduire les émissions de gaz carbonique.

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Des gènes associés à la mortalité

L’équipe de Dan Arking, de la Faculté de médecine de l’Université Johns Hopkins aux États-Unis, a identifié neuf nouvelles mutations génétiques qui augmentent l’incidence de crise cardiaque.

Rappelons que le mois dernier, le scientifique avait annoncé avoir découvert une variation génétique associée à l’infarctus. Avec ces neuf autres, il y a maintenant dix gènes liés à la mortalité cardiaque.

Pour en arriver à ces conclusions, le chercheur a mesuré les variations du rythme cardiaque de 15 842 patients.

« La mort par crise cardiaque est un réel problème et on n’a pas de seconde chance. Le problème est que plusieurs patients ignorent qu’ils sont à risque. Ils n’ont pas un taux élevé de cholestérol. Ils ne sont pas obèses. Alors, la génétique est sans doute leur seul espoir de le savoir », a conclu M. Arking.

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Le QI lié au taux de mortalité

Le Dr Finn Rasmussen de l’Institut Karolinska en Suède affirme que plus les hommes ont un quotient intellectuel faible, plus ils risquent de mourir jeunes, même en tenant compte de plusieurs autres facteurs de risque comme l’obésité et le tabagisme.

Afin d’en arriver à ces conclusions, le Dr Rasmussen et son équipe ont analysé 994 262 dossiers médicaux.

Le chercheur avance comme hypothèse que les sujets plus intelligents avaient probablement plus d’années de scolarité et un meilleur emploi, ce qui les rendait plus aptes à prendre soin d’eux, en cessant de fumer par exemple, ou en étant moins sédentaires.

Le risque de mortalité lié au QI diminuait à mesure que les participants de l’étude avançaient en âge.

Tous les détails de l’étude se retrouvent dans la revue scientifique Epidemiology.

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Le cancer, première cause de mortalité en 2010

Un rapport publié par le Centre International de Recherche sur le Cancer (CIRC), une agence de l’Organisation mondiale de la santé, nous apprend que le cancer va devancer les maladies cardio-vasculaires et deviendra la principale cause de mortalité à l’échelle mondiale dès 2010.

Ce sont particulièrement les pays à faibles ou moyens revenus qui sont frappés par la maladie, à raison de plus de 66 % des décès par cancer.

Ce phénomène s’explique, entre autres, par le tabagisme et une alimentation riche en gras saturé.

Les experts prévoient que 17 millions de personnes perdront le combat contre la maladie chaque année vers 2030, comparativement à 7,6 millions en 2007.

Le rapport rappelle également qu’entre 1975 et 2000, les diagnostics de cancer avaient doublé et qu’ils devraient tripler en 2030. « Cette augmentation rapide des cas de cancers représente un véritable défi pour les systèmes de santé dans le monde », a souligné Peter Boyle, directeur du CIRC.

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Les effets du Vioxx… un an plus tard

Selon une étude, publiée dans la version en ligne de The Lancet, le risque d’infarctus, d’accident vasculaire cérébral et de mortalité demeure inchangé, même lorsque le patient a cessé de consommer depuis un an du Vioxx, un anti-inflammatoire fabriqué par Merck.

Ces résultats ont été observés pour 79% des participants à cette recherche, menée par le Dr Robert Bresalier, du Anderson Cancer Center à Houston.

Le retrait, en 2004, du médicament sur le marché n’aura donc pas eu de conséquences bénéfiques sur la santé des consommateurs à qui l’on avait prescrit du Vioxx.

L’auteur principal de cette recherche tient toutefois à préciser que les effets indésirables du Vioxx s’estompent un an après avoir cessé d’en prendre.

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L’infidélité pour gagner quelques années

Selon des chercheurs de l’Université de Sheffield, en Grande-Bretagne, avoir plusieurs partenaires sexuelles aurait l’avantage d’augmenter de 12 % la longévité des hommes.

Ce phénomène pourrait s’expliquer par le fait que les hommes polygames seraient en meilleure forme physique et psychologique et feraient plus attention à eux.

« Je ne suis pas surprise par cette étude sur les bienfaits de la polygamie. Quand ça fait longtemps qu’on est avec la même personne, l’habitude et la routine s’installent, le désir pour l’autre diminue, il y a moins de complicité sexuelle, on prend l’autre pour acquis et on fait moins d’initiatives. Résultat : on fait moins attention à soi. Lorsqu’on rencontre quelqu’un d’autre, c’est un renouveau, ça nous rend de bonne humeur et on a plus envie de faire attention à soi », a conclu la sexologue Geneviève Parent à la lumière de ses résultats.