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La carence en vitamine D et les capacités physiques

The National Library of Medicine rapporte une nouvelle étude qui confirme et rappelle l’importance d’un apport suffisant en vitamine D, particulièrement lorsqu’on vieillit.

Selon l’étude, c’est près de 90 % de la population qui se retrouve avec une carence en vitamine D en vieillissant, une statistique alarmante.

Car cette vitamine permet, comme on le sait, d’augmenter la densité osseuse et de solidifier les os et les muscles de façon adéquate. Plusieurs études précédentes avaient également tracé un lien entre une carence en vitamine D et l’ostéoporose, notamment.

L’étude proposée ici base ses conclusions sur l’analyse de plus de 1 300 individus, tous âgés de 55 à 88 ans, suivis durant une période de 6 ans.

Les conclusions, publiées dans l’édition du 17 juillet du Journal of Clinical Endocrinology & Metabolism, démontrent que 70 % des gens qui souffrent d’un problème de limitation physique ont une carence en vitamine D.

he National Library of Medicine rapporte une nouvelle étude qui confirme et rappelle l’importance d’un apport suffisant en vitamine D, particulièrement lorsqu’on vieillit.

Selon l’étude, c’est près de 90 % de la population qui se retrouve avec une carence en vitamine D en vieillissant, une statistique alarmante.

Car cette vitamine permet, comme on le sait, d’augmenter la densité osseuse et de solidifier les os et les muscles de façon adéquate. Plusieurs études précédentes avaient également tracé un lien entre une carence en vitamine D et l’ostéoporose, notamment.

L’étude proposée ici base ses conclusions sur l’analyse de plus de 1 300 individus, tous âgés de 55 à 88 ans, suivis durant une période de 6 ans.

Les conclusions, publiées dans l’édition du 17 juillet du Journal of Clinical Endocrinology & Metabolism, démontrent que 70 % des gens qui souffrent d’un problème de limitation physique ont une carence en vitamine D.

Crédit photo : www.freedigitalphotos.net

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Différences cérébrales reliées au TDAH

On a entendu parler au cours des derniers mois de dissemblances cérébrales chez les enfants autistes. Cette fois, l’expérience a été effectuée auprès d’enfants atteints d’un trouble déficitaire de l’attention avec hyperactivité (TDAH).

Des chercheurs du Kennedy Krieger Institute ont donc pu statuer, selon l’imagerie cérébrale d’enfants d’âge préscolaire, que le TDAH est lui aussi lié à des différences au niveau du cerveau, lisons-nous dans Clinical Neuropsychologist.
 
Les jeunes participants étaient âgés de quatre ou cinq ans. Sur 26 enfants, 13 avaient reçu un diagnostic de TDAH et la seconde moitié suivait un développement habituel.
 
La région du cerveau responsable de la maîtrise cognitive et motrice était plus petite chez les enfants atteints que chez les autres. Cette découverte ouvre bien sûr la porte à de futures interventions pouvant être accomplies le plus tôt possible.

Cette avenue est donc très encourageante, car il a été démontré que les enfants ayant reçu un diagnostic de trouble déficitaire de l’attention en bas âge étaient plus à risque de vivre des difficultés d’apprentissage et sociales.