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Votre enfant a-t-il de la difficulté à écrire?

Selon SheKnows, plusieurs problèmes reliés à l’écriture sont liés à des causes sous-jacentes. Entre autres, la thérapeute Amy Baez explique que souvent, il faut regarder au niveau des compétences sensorielles et motrices.

« Si un enfant vit une problématique au niveau sensoriel, il évitera de toucher différents objets ou textures. Ce comportement réduit les occasions de développer la force et l’arche nécessaires pour tenir un crayon et écrire. »

Pour aider les parents à déterminer si l’enfant présente des difficultés d’écriture, voici une liste de facteurs dont on doit tenir compte :

– Une écriture très pâle.
– Les pointes de crayons qui cassent fréquemment.

– Le changement d’une main à l’autre pour écrire et l’incapacité à tenir le crayon correctement.

– Des lettres qui n’atteignent pas le haut ou le bas des lignes dans les cahiers d’écriture.

– Un enfant qui ne pose pas son poignet sur la surface du cahier.

D’autres indices comme l’inversement de chiffres ou de lettres et l’oubli de mots fréquents en retranscription peuvent vous mettre la puce à l’oreille.

Informez-vous auprès de l’école. Des spécialistes sont habituellement sur place pour aider les enfants qui éprouvent des difficultés.

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Discipline chez les 24 mois et moins, mission impossible?

Malheureusement, la discipline et ce sentiment de découvrir le monde ne vont pas toujours de pair, comme le mentionne More4kids.

Tant que les jeunes enfants ne se blessent pas ou ne blessent pas autrui, la curiosité dont ils font preuve devrait être encouragée. Les deux principales raisons qui font qu’il est si difficile de les maintenir en place, c’est qu’ils découvrent leurs capacités motrices (toucher, tenir, manipuler des objets) et, éventuellement, qu’ils sont en mesure de se déplacer seuls. Qu’ils rampent, marchent à 4 pattes ou courent, pour eux, le monde leur appartient.

Ils expérimentent également le son de leur voix. Lorsqu’un bambin découvre sa voix, la force de celle-ci, les différents sons et les intonations, il est en mode découverte. Il mesure l’impact des différents sons auprès de ses parents et des autres. Bien qu’ils puissent être irritants, ces essais font partie du développement.

Finalement, de 12 à 24 mois, les enfants développent aussi leur indépendance. Ils comprennent qu’ils ont leurs propres vision et pensée, bien que celles-ci soient limitées. Ils voudront essayer plusieurs choses, même s’ils n’ont pas encore la capacité ou la motricité pour réussir.

Afin d’éviter les frustrations inutiles, la meilleure solution consiste à les laisser faire des erreurs et à leur faire comprendre par la suite qu’il vaut mieux éviter ceci ou cela. Évidemment, il faut tout de même éviter les situations dangereuses, mais vous ne pourrez pas toujours l’empêcher de se faire mal.

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La motricité serait liée à la performance scolaire

Selon une étude menée en Finlande, une motricité compromise à l’âge de 8 ans serait associée à une mauvaise performance scolaire à l’âge de 16 ans. Les chercheurs ont analysé les données provenant d’une cohorte de 8061 enfants nés en 1985 et 1986, les ont rencontrés à l’âge de 7 ou 8 ans, puis à l’adolescence.

À 8 ans, les garçons avaient beaucoup plus de chances que les filles de souffrir de problèmes de motricité. À 16 ans, la performance scolaire des filles était meilleure que celle des garçons, et ceux-ci risquaient plus de souffrir de surpoids ou d’obésité. Les garçons étaient pourtant plus actifs que les filles, avec en moyenne 3 heures d’activité physique de plus par semaine.

L’activité physique était associée à de meilleurs résultats scolaires, tandis que l’obésité était associée à de moins bons résultats. La motricité durant l’enfance restait toutefois le facteur indirect le plus déterminant, selon les chercheurs cités par MedPageToday.

Les résultats ont été publiés dans Proceedings of the National Academy of Science.

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Des poumons en santé seraient bénéfiques pour le cerveau

Outre les raisons et bénéfices connus de s’occuper de sa santé pulmonaire, il appert que des poumons sains seraient aussi bénéfiques pour le cerveau, selon une étude.

C’est ce que rapporte www.nlm.nih.gov, qui reprend des propos contenus dans une étude produite par des chercheurs suédois. Ceux-ci auraient réussi à tracer un lien entre la santé pulmonaire et la capacité du cerveau à résoudre des problèmes.

Si cela s’avère exact, on peut donc penser qu’il serait possible pour la population de prévenir les problèmes cognitifs et le « ralentissement » du cerveau dû à l’âge.

Les chercheurs suédois ont analysé les cas de 832 patients âgés de 50 à 85 ans, suivis depuis plusieurs années. Les résultats ont été publiés dans le journal Psychology Science.

Voici un extrait des commentaires exprimés par l’équipe, professeur Charles Emery en tête : « La conclusion logique de nos recherches et qu’il est assurément bénéfique pour les performances cognitives et cérébrales de maintenir une bonne santé pulmonaire ».

Il ajoute que, bien sûr, cesser de fumer et faire de l’exercice physique sont les deux premières clés.

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Structure et exercices physiques pour les enfants atteints de TDAH

Les enfants atteints de TDAH sont souvent confrontés à des impulsions d’hyperactivité et ont du mal à maintenir leur attention.

Bien que cela puisse sembler paradoxal, effectuer un programme structuré d’exercices physiques définis aide les enfants souffrant de TDAH à améliorer leur coordination musculaire et leur motricité, de même que leur capacité à traiter l’information.

Dans une étude récemment publiée dans le Journal of Attention Disorders, les chercheurs ont mis en place un programme d’activité physique qui comprend un échauffement, des activités aérobiques, des exercices musculaires, des habiletés motrices et un refroidissement pour 10 enfants atteints de TDAH.

Grâce à un moniteur de fréquence cardiaque, l’intensité de l’activité physique était observée chaque fois (3 séances par semaine). Le but était de maintenir le rythme d’intensité élevé à modéré, tout au long de l’activité.

L’une des principales conclusions de cette étude est que les parents et les enseignants ont observé de meilleurs résultats scolaires, au moment où les enfants ont pratiqué le programme physique.

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Du poisson durant la grossesse donne un enfant plus intelligent

Ceci n’est pas un secret : en plus d’être bon pour la santé, manger du poisson hebdomadairement améliore la mémoire et rend plus intelligent.

Voilà qu’un groupe de chercheurs allemands vient découvrir que ces bienfaits se produisent chez l’humain bien avant la naissance.

Des tests réalisés sur 2000 femmes enceintes ont permis de découvrir que les bébés n’avaient pas tous les mêmes capacités. En effet, ceux dont les mères avaient mangé beaucoup de poisson au cours de la grossesse obtenaient de meilleurs résultats en termes d’intelligence verbale, de motricité et de comportement social.

De plus, la consommation de poisson pendant la grossesse a été associée à un QI plus élevé chez les enfants vers l’âge de huit ans.

Pour arriver à ces résultats, les chercheurs ont observé les échantillons sanguins des femmes à 20 semaines de grossesse et les échantillons du cordon ombilical à la naissance des bébés.

Pour la première fois, les chercheurs se sont également intéressés à la répartition des acides gras oméga-3 et 6 contenus dans le poisson. Les chercheurs n’ont pas encore identifié le lien de cause à effet. Leurs études se poursuivent, afin de comprendre le lien entre le taux d’oméga-3 observé chez la mère, la grossesse et l’intelligence de l’enfant plus tard.

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Un moyen de retarder le vieillissement?

Depuis des lustres, l’homme cherche un moyen d’avoir une éternelle jeunesse. De nombreuses études se penchent sur le sujet.
 
Cette fois, des chercheurs ontariens de l’Université McMaster à Hamilton sont parvenus à « rajeunir » des souris de laboratoire avec un cocktail de suppléments nutritionnels.
 
Des souris qui ont été nourries avec un bagel trempé dans un mélange vitaminé, comportant des vitamines B et D ainsi que du ginseng et de l’ail, ont vécu plus longtemps que les autres, en plus d’améliorer leur motricité et de conserver leurs capacités cognitives.
 
D’autres chercheurs ont doublé la vie de grillons avec une restriction alimentaire et des suppléments, et ils croient obtenir des résultats similaires avec d’autres animaux.
 
Il faut toutefois faire attention avant de se lancer dans un mélange vitaminé dans l’espoir de ralentir le vieillissement. Ce genre de cocktail vitaminé n’a peut-être pas les mêmes effets sur les humains.
 
En effet, les chercheurs insistent sur le fait que l’on ne connaît pas encore les impacts d’un tel mélange sur la santé humaine.
 
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Les causes d’un retard de développement

Nous pouvons lire dans Keep Kids Healthy les différents types de retards de développement de l’enfant ainsi que leurs causes.

Environ 3 % des enfants présentent un tel retard, qu’il soit d’un ordre ou d’un autre. Toutefois, de 15 à 20 % seulement présentent réellement un problème sous-jacent. Les autres enfants complèteront leur développement, mais un peu plus lentement.

Ces retards comprennent tout ce qui touche à la motricité, comme marcher ou ramper, mais aussi au langage et aux aptitudes sociales telles que l’interaction. Certains signes de retard de développement sont reconnaissables.

Il y a, par exemple, ne pas pouvoir se retourner à 6 mois, ne pas s’asseoir et tenir tout seul à 8 mois, ne pas ramper à 12 mois passés, ne pas être capable de marcher après 15 mois.

Les raisons peuvent en être, entre autres, une naissance prématurée, des anormalités au cerveau ou dans les chromosomes, une infection ou une maladie reliée au métabolisme.

D’autre part, un retard peut provenir de faibles stimulus extérieurs. Dans ce cas, on retrouve les rares occasions d’avoir accès à ses jouets, de voir d’autres enfants et de communiquer avec des adultes.

La surprotection peut aussi être en cause, en particulier si l’enfant est continuellement dans les bras après 8 mois, ne pouvant ainsi pas bouger comme il le faudrait.

Bien sûr, ces retards peuvent être réglés si le parent les reconnaît et demande conseil à un médecin.

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Étude québécoise sur l’obésité infantile

Le professeur Olivier Hue, du Département des sciences de l’activité physique de l’Université du Québec à Trois-Rivières (UQTR), va effectuer une recherche afin de mesurer les effets de l’obésité sur le développement des habiletés motrices chez les enfants.

« Selon les quelques observations recensées, le surpoids aurait un effet sur différentes activités chez l’enfant obèse : contrôle de l’équilibre, vitesse de marche, coordination motrice et adoption de certaines postures. Ces observations ne demeurent toutefois que des constats et n’expliquent pas dans quelle mesure le facteur poids influence le contrôle postural et moteur chez les enfants. C’est ce que j’aimerais vérifier », a précisé le chercheur.

700 enfants, âgés de 7 à 8 ans, seront recrutés pour participer à cette étude.