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S’amuser avec les mots pour susciter l’intérêt des jeunes

Psycho Enfants propose de jouer avec les mots pour réconcilier les enfants avec le vocabulaire, la grammaire et la communication. Si vous êtes créatif, vous trouverez encore plus d’idées en vous inspirant de celles-ci.

Combat des mots : Les virées en voiture sont souvent longues et pénibles, sans compter qu’on parle plus ou moins fréquemment. Pourquoi ne pas entamer une bataille de mots? Des noms de fruits, des métiers ou, comme on le suggère, des mots commençant par la même lettre ou se terminant par le même son. Celui qui hésite perd son tour!

De la suite dans les idées : Basez-vous sur une lecture que vous venez de faire et demandez à vos enfants qu’elle est la fin de l’histoire (ou la suite) selon eux, et pourquoi. Échangez avec eux, questionnez-les, félicitez-les. Un exercice simple qui, pourtant, les préparera à des activités similaires à l’école.

Pour vos plus grands : Autour de la table, au souper, demandez aux plus vieux (vous y compris) de faire des phrases contenant le plus d’homonymes possible. Ex : vers, verre, vert, ou serre, sert, cerf. « Rien ne sert de courir, j’ai vu le cerf près de la serre! »

Textos humoristiques : Lancez le bal des textos qui riment. « Ce soir, produits du terroir, n’oublie pas de rentrer tôt, j’ai fait ta crème de poireaux. » Avec un peu d’humour, vos ados y prendront peut-être même goût.

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Des gros mots avant trois ans

Avant d’entrer à la garderie, plus de 90 % des enfants auront prononcé leur premier juron, selon un sondage en ligne de News Ltd.

Les gros mots commençant par F et S, aux États-Unis, seraient les plus communément utilisés par les tout-petits. En fait, 28 % de ces enfants utilisent ces mots.

« Ils apprennent rapidement qu’ils reçoivent beaucoup d’attention en jurant », explique la professeure de la Monash University, Kate Burridge.

Plus de 53 % des parents questionnés ont admis que leurs enfants avaient entendu leur premier juron à la maison. Pourtant, plus de 79 % de ces mêmes parents n’encouragent pas un tel vocabulaire.

Aussi, 48 % des parents soutiennent que les enfants entendent ce type de mots au terrain de jeux de l’école ou encore à la maternelle. Trente et un pour cent des parents prétendent que c’est la télévision qui inculque ce mauvais vocabulaire à leur tout-petit.

Rappelons que bien qu’ils ne savent pas vraiment ce que signifient ces blasphèmes, les enfants répètent les mots qu’ils entendent. Malheureusement, les chercheurs ont constaté lors d’une précédente recherche que les deux tiers des adultes utilisent des mots grossiers à la maison.

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Problème de langage chez l’enfant : le LDS est un outil efficace

Saviez-vous que les enfants âgés de plus de 2 ans doivent normalement maîtriser de 75 à 225 mots, et qu’un enfant sur quatre connaîtrait un retard de développement en ne disant qu’une cinquantaine de mots?
 
C’est ce qu’a confirmé Leslie Rescorla, chercheuse américaine qui a mis au point dans les années 80 le Language Development Survey (LDS) qui permet aux parents et aux professionnels de la santé de détecter des retards de langage chez l’enfant.
 
Selon Nan Bernstein Ratner, chercheur à l’université du Maryland aux États-Unis, quand un enfant ne maîtrise pas assez de vocabulaire, l’autisme ou un problème de développement mental ou d’audition serait à l’origine la plupart du temps.
 
Plus tôt le problème est découvert, plus tôt il pourra y avoir une intervention, conviennent les spécialistes qui se sont réunis en février dernier à Vancouver pour la conférence scientifique de l’Association américaine pour l’avancement des sciences (AAAS).
 
C’est d’ailleurs lors de cette conférence annuelle que le LDS a été élu à nouveau comme excellent outil de détection des troubles de l’apprentissage du langage.
Le LDS est traduit en plusieurs langues, mais pas encore en français. Il contient 14 catégories (nourriture, personnes, animaux, etc.) qui rassemblent 310 mots (oui, non, bonjour, chat, banane, etc.).
 
Il semblerait qu’en moyenne, les enfants âgés de 24 à 30 mois utilisent 150 des mots présentés. Les parents sont invités à noter les mots spontanément utilisés et à travailler avec leurs enfants ceux qui semblent plus « compliqués ».
 
Le site CogniSciences est également une autre option pour mieux suivre le développement des enfants à différents âges.
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Problème de langage chez l’enfant : le LDS est un outil efficace

Saviez-vous que les enfants âgés de plus de 2 ans doivent normalement maîtriser de 75 à 225 mots, et qu’un enfant sur quatre connaîtrait un retard de développement en ne disant qu’une cinquantaine de mots?
 
C’est ce qu’a confirmé Leslie Rescorla, chercheuse américaine qui a mis au point dans les années 80 le Language Development Survey (LDS) qui permet aux parents et aux professionnels de la santé de détecter des retards de langage chez l’enfant.
 
Selon Nan Bernstein Ratner, chercheur à l’université du Maryland aux États-Unis, quand un enfant ne maîtrise pas assez de vocabulaire, l’autisme ou un problème de développement mental ou d’audition serait à l’origine la plupart du temps.
 
Plus tôt le problème est découvert, plus tôt il pourra y avoir une intervention, conviennent les spécialistes qui se sont réunis en février dernier à Vancouver pour la conférence scientifique de l’Association américaine pour l’avancement des sciences (AAAS).
 
C’est d’ailleurs lors de cette conférence annuelle que le LDS a été élu à nouveau comme excellent outil de détection des troubles de l’apprentissage du langage.
Le LDS est traduit en plusieurs langues, mais pas encore en français. Il contient 14 catégories (nourriture, personnes, animaux, etc.) qui rassemblent 310 mots (oui, non, bonjour, chat, banane, etc.).
 
Il semblerait qu’en moyenne, les enfants âgés de 24 à 30 mois utilisent 150 des mots présentés. Les parents sont invités à noter les mots spontanément utilisés et à travailler avec leurs enfants ceux qui semblent plus « compliqués ».
 
Le site CogniSciences est également une autre option pour mieux suivre le développement des enfants à différents âges.
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Nouvelle théorie sur l’apprentissage du langage

Une nouvelle étude du Dr Ewan MacDonald de l’Université du Danemark, en collaboration avec les universités de Toronto et Queen, suggère que les enfants de deux ans apprennent à parler en utilisant des indices sociaux et en écoutant les gens leur répéter les mots de la bonne façon.

Cette conclusion va à l’encontre de précédentes croyances voulant que les enfants écoutent leur propre voix pour vérifier s’ils parlent correctement.

Pour l’étude, les chercheurs ont d’abord fait dire un mot à des adultes, le modifiant immédiatement dans les écouteurs de sorte que les sujets entendaient autre chose. Les participants forçaient alors leur prononciation pour compenser la distorsion du mot afin de s’entendre dire la bonne chose.

Cependant, l’équipe du Dr MacDonald a été surprise de constater que les enfants qui se prêtaient au même jeu n’ajustaient pas leur prononciation, suggérant ainsi que les petits n’utilisent pas le son de leur propre voix pour apprendre à parler.

On croit donc que les enfants s’inspirent davantage des réactions de leurs interlocuteurs et de leurs interactions sociales pour s’assurer qu’ils parlent bien, avec les mots exacts.

Cette étude représente un premier pas vers la compréhension de la façon dont on apprend à parler, et elle pourrait mener à l’élaboration de nouvelles stratégies pour aider les enfants ayant des difficultés d’apprentissage de langage.

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Découverte sur la dyslexie

Des chercheurs de Cambridge viennent non seulement de prouver que la dyslexie aurait un fort lien avec la perception du rythme, mais aussi que des jeux musicaux aideraient grandement des enfants dyslexiques à progresser.

Publiée dans Cortex, l’étude a porté sur des enfants de 10 ans, dont certains étaient atteints de dyslexie. Les jeunes participants étaient invités à jouer à un jeu utilisant des pièces musicales de structure métrique simple et l’accent avait été mis sur certaines notes.

Les enfants devaient dire si les pièces écoutées se ressemblaient ou non. Les enfants dyslexiques ont trouvé l’exercice plus difficile. On a ainsi pu démontrer qu’il y a un lien entre l’aptitude à percevoir une structure métrique musicale et celle de la lecture.

Parallèlement, les enfants atteints de dyslexie ont souvent des difficultés quant à la reconnaissance du compte de syllabes des mots parlés ou encore à reconnaître les mots qui riment. Ainsi, le cerveau dyslexique analyse moins facilement la manière dont les sons sont structurés dans le langage.

Un jeu basé sur la musique et la structure métrique pourrait donc aider les jeunes dyslexiques à améliorer leurs compétences de lecture et du langage en général.

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La prématernelle pourrait être améliorée

Il semble que les enfants auraient tout avantage à fréquenter la prématernelle pendant deux ans au lieu de l’année habituelle. De plus, les éducateurs devraient consacrer leurs plus grands efforts sur le vocabulaire, la lecture et la maîtrise de soi.

Ce sont là les plus grands bienfaits qu’un enfant retire de ses années en milieu préscolaire, selon des chercheurs de l’Université de l’État du Michigan.

En fait, c’est à cet âge que les enfants vont jeter les bases de leur éducation à venir. Leurs notions de lecture, par exemple, seront mises en place par l’apprentissage de l’alphabet et la compréhension de la formation des mots.

On pourrait donc bonifier ce passage pour les tout-petits, car un programme d’apprentissage établi selon les trois paramètres cités (lecture, vocabulaire, maîtrise de soi) pourrait avoir des répercussions directes sur la réussite scolaire future.

Cette étude, parue dans Early Childhood Research Quarterly, est l’une des premières à évaluer la maîtrise de soi chez des enfants de cet âge. Les enfants observés avaient de trois à quatre ans. Ils étaient donc à leur première ou deuxième année de prématernelle.

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Parler aux bébés les stimule

Bien avant que les petits commencent à parler, les mots jouent un rôle important dans leur développement cérébral. Même à trois mois, les mots ont plus d’impact sur leur esprit que tous les autres sons qu’ils peuvent entendre, y compris la musique.
 
Selon une étude publiée dans le journal Child Development, 50 bébés de trois mois ont été séparés en deux groupes. Certains visionnaient des photos de poissons avec des mots, alors que d’autres voyaient les photos avec seulement un signal sonore.
 
Par la suite, on leur a montré les photos des poissons avec des images de dinosaures afin de voir combien de temps ils regarderaient les photographies. Les bébés qui avaient eu les photos avec les mots ont regardé plus longtemps les images de poissons, démontrant ainsi qu’ils les avaient classées dans leur esprit.
 
Les capacités du cerveau des bébés ne s’arrêtent toutefois pas là et continuent de fasciner. Des études précédentes ont démontré que même à 12 mois, les bébés arrivent à comprendre des pensées complexes des adultes.
 
Il semblerait que même dans l’utérus de la mère, les bébés écoutent les conversations et arrivent à reconnaître les accents de leurs parents.
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Papa est plus souvent le premier mot des bébés

Un sondage relaté dans le Daily Telegraph de Londres révèle que dans 15 % des cas, c’est le mot « papa » que les bébés prononcent en premier.

« Maman » est le premier mot dans 10 % des cas, mais on retrouve certains mots plutôt insolites parfois pour les premières paroles de bébés. Certains parents disent que leur enfant a dit soit « chat » ou « bière ».

95 % des parents disent se souvenir du premier mot que leur enfant a dit et en moyenne, c’est entre l’âge de 10 et 11 mois que cela se produit. Apparemment, les petites filles sont souvent plus rapides et ont moins de difficulté à apprendre à parler. De plus, ce sont les premières à arriver à assembler deux mots. 22 % des filles y parviennent pour leur premier anniversaire comparativement à 16 % des garçons.

Selon le sondage, 6 parents sur 10 croient que parler, comprendre et écouter sont les compétences les plus importantes que les jeunes enfants devraient développer, bien avant de savoir interagir avec les autres (26 %), lire (11 %), compter (2 %) ou écrire (1 %). Cela s’explique par le fait que de savoir s’exprimer est fondamental dans notre société et que tout le reste en découle.

Afin d’aider leur enfant à développer ses capacités de communication, les parents regardent des livres d’images avec lui, jouent à des jeux de mots, lui racontent des histoires ou encore récitent des comptines.