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Le Canadien a l’une des équipes les plus jeunes de toute la LNH

On dit souvent que le futur est prometteur chez le Canadien mais ce ne pourrait être plus vrai que cette saison.

Énormément de jeunes espoirs de l’équipe ont eu leur chance de se faire valoir dans la LNH cette saison en raison du nombre ridicule de blessures au joueurs réguliers. Si bien que le CH possède l’une des équipes les plus jeunes de toute la ligue.

Selon le site Wheelhouse Hockey, qui a procédé aux calculs, le Canadien (26.66 ans) arrive au 6e rang des équipes les plus jeunes de la ligue. Il n’est devancé seulement que par les Canucks de Vancouver (26.55 ans), les Senators d’Ottawa (26.46 ans), les Devils du New Jersey (26.27 ans), les Sabres de Buffalo (25.60 ans) et les Blue Jackets de Columbus (25.58 ans).


Si l’on se fie à ces chiffres, on peut avancer que les Devils du New Jersey, qui ont la troisième équipe la plus jeune de toute la ligue et qui se retrouve présentement dans le Top-5 du classement général de la LNH, sont en superbe posture pour le futur de l’équipe.

À l’inverse, les Penguins de Pittsburgh, qui ne sont même pas certains pour participer aux séries éliminatoires cette année, ont présentement de loin l’équipe la plus vieille de toute la ligue, avec une moyenne de 30.25 ans et bien peu de relève.

Clairement des changements majeurs sont inévitables à Pittsburgh.

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Voici la preuve que Samuel Montembeault impressionne dans la LNH

Vers la fin de la saison l’an dernier, je vous démontrais l’évolution de Samuel Montembeault au fil des matchs qu’il disputait avec le Canadien.

À ce moment, j’avais eu droit à quelques commentaires négatifs sur le numéro 35 et quelques réactions du fameux émoji qui éclate de rire.

Bien évidemment, vous étiez plusieurs à voir son évolution et à comprendre que Montréal était dans une saison catastrophique, ce qui était doublement difficile pour un jeune gardien qui n’avait que 25 ans. 


Un an plus tard, disons que la situation est bien différente. Samuel Montembeault a fait taire la totalité de ses dénigreurs, voyant même certains vouloir maintenant lui confier le filet à temps plein. 

En analysant ses statistiques, on réalise à quel point le natif de Bécancour nous offre du très gros hockey. 

Pour bien comparer, il faut prendre le temps de bien démêler les situations des gardiens. Vous ne pouvez comparer les chiffres d’un gardien d’un club comme Boston ou la Caroline avec celui d’un club qui traine dans les bas-fonds du classement général. 

En d’autres mots plus simples, disons que Montembeault aimerait probablement plus avoir un Hampus Lindholm devant lui qu’un Chris Wideman

En regardant le classement chez les gardiens qui ont disputé un minimum de 25 rencontres avec un club qui n’est pas en séries éliminatoires actuellement, on constate rapidement que le travail du portier du Tricolore est impressionnant. 

Avec un taux de .906 %, il arrive tout juste derrière Juuse Saros, Darcy Kuemper, Carter HartCraig Anderson et Connor Ingram donc au 6e rang. 

TVA Sports

S’il arrive au 12e rang avec une moyenne de 3,29, vous avez seulement Carter Hart des Flyers qui s’aligne avec un club qui est plus près du Canadien au classement. Philadelphie affiche 5 points de plus. 

La totalité des autres gardiens s’alignent avec des équipes qui ont récolté au moins 11 points de plus. 

Tous les gardiens qui sont sous Montréal au classement général figurent plus bas que Samuel Montembeault

Classement des gardiens chez les clubs qui ne font pas les séries éliminatoires 2023 : 

* Minimum 25 matchs 

1. Nashville : Juuse Saros avec 2.76 et .916% 
2. Washington : Darcy Kuemper avec 2.79 et .910% 
3. Ottawa : Cam Talbot avec 2.89 et .900% 
4. Philadelphie : Carter Hart avec 2.90 et .909% 
5. Calgary : Dan Vladar avec 2.91 et .895% 
6. Calgary : Jacob Markstrom avec 2.98 et .890% 
7. Detroit : Ville Husso avec 3.01 et .899% 
8. Washington : Charlie Lindgren avec 3.02 et .898% 
9. Buffalo : Craig Anderson avec 3.07 et .908% 
10. Floride : Sergei Bobrovsky avec 3.07 et .901% 
11. Ottawa : Anton Forsberg avec 3.26 et .902% 
12. Montréal : Samuel Montembeault avec 3.29 et .906% 

13. San Jose : James Reimer avec 3.30 et .895% 
14. Vancouver : Thatcher Demko avec 3.37 et .894% 
15. Arizona : Connor Ingram avec 3.37 et .907%
16. Arizona : Karel Vejmelka avec 3.38 et .901% 
17. St. Louis : Jordan Binnington avec 3.39 et .891% 
18. Montréal : Jake Allen avec 3.55 et .891%

19. Buffalo : Ukko-Pekka Luukkonen avec 3.61 et .892% 
20. Chicago : Petr Mrazek avec 3.63 et .895% 
21. San Jose : Kaapa Kahkonen avec 3.83 et .880% 
22. Vancouver : Spencer Martin avec 3.99 et .871% 
23. Anaheim : John Gibson avec 3.99 et .899%
24. Columbus : Elvis Merzlikins avec 4.23 et .876% 

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Michael Pezzetta et Arber Xhekaj font bonne figure chez les joueurs les plus durs de la LNH

Si la saison 2022-23 du Canadien de Montréal a été difficile par moment, nous pouvons au moins dire qu’Arber Xhekaj et Michael Pezzetta ont souvent trouvé une façon de nous divertir ! 

Chez les joueurs qui ont jeté les gants à 6 reprises ou plus dans la LNH, le duo du Tricolore performe très bien ! 

Xhekaj arrive au 7e rang de la ligue avec 9 combats en 51 matchs tandis que Michael Pezzetta se pointe au 11e rang avec 7 combats. 

Pour le nombre de points amassés, Xhekaj et Pezzetta arrivent au 11e et 12e rang avec 13 points chacun. 

Nous pouvons donc voir que les joueurs contribuent physiquement, mais également sur le plan hockey.

Voyez le classement plus bas :

Joueurs ayant disputé 6 combats ou plus 

1. OTT – Brady Tkachuk / 77 points en 74 matchs / 7 combats 
2. BOS – Trent Frederic / 28 points en 71 matchs / 6 combats 
3. TBL – Corey Perry / 25 points en 74 matchs / 6 combats 
4. MIN – Marcus Foligno / 20 points en 58 matchs / 6 combats 
5. NYI – Matt Martin / 19 points en 75 matchs / 7 combats 
6. NSH – Cole Smith / 17 points en 67 matchs / 6 combats 
7. TBL – Tanner Jeannot / 17 points en 72 matchs / 11 combats 
8. VGK – Keegan Kolesar / 16 points en 66 matchs / 6 combats 
9. CBJ – Mathieu Olivier / 15 points en 66 matchs / 9 combats
10. MIN – Ryan Reaves / 14 points en 54 matchs / 6 combats 
11. MTL – Arber Xhekaj / 13 points en 51 matchs / 9 combats 
12. MTL – Michael Pezzetta / 13 points en 56 matchs / 7 combats 

13. TBL – Pat Maroon / 12 points en 73 matchs / 10 combats 
14. PHI – Nicolas Deslauriers / 11 points en 71 matchs / 11 combats 
15. LAK – Zack MacEwen / 10 points en 51 matchs / 6 combats 
16. OTT – Austin Watson / 10 points en 70 matchs / 11 combats 
17. PHI – Brendan Lemieux / 8 points en 36 matchs / 6 combats 
18. ARI – Liam O’Brien / 8 points en 49 matchs / 6 combats 
19. SJS – Jonah Gadjovich / 7 points en 35 matchs / 9 combats 
20. ARI – Josh Brown / 7 points en 61 matchs / 6 combats 
21. ANH – Sam Carrick / 5 points en 48 matchs / 8 combats 
22. VAN – Kyle Burroughs / 3 points en 40 matchs / 7 combats 

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Les femmes plus rapides à récupérer d’une commotion cérébrale

Alors que le dossier des commotions cérébrales dans le sport professionnel fait beaucoup parler depuis un moment, une nouvelle étude sur le sujet surprend.

L’étude américaine en question, rapportée par TVA Nouvelles, estime que les hommes prennent plus de temps à soigner une commotion cérébrale que les femmes, et que le sexe d’un patient influence vraiment la durée de rétablissement à la suite d’un traumatisme crânien.

Les chercheurs de l’Université de Pittsburgh évaluent en moyenne à 67 jours le temps requis pour un homme afin de se rétablir d’une commotion cérébrale, et à seulement 26 jours pour les femmes. La moyenne générale de rétablissement est donc évaluée à 54 jours.

L’étude analysait les dossiers de 69 patients ayant subi un traumatisme crânien entre 2006 et 2013. Les tests effectués ont révélé que le cerveau des hommes subit des dommages plus importants que celui des femmes, ce qui est une mauvaise nouvelle pour les athlètes de sports professionnels, largement composés d’hommes.

Les résultats de l’étude américaine ont été publiés dans le magazine Radiology.

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L’hiver est aussi la saison du mauvais cholestérol

Une nouvelle étude propose quelques statistiques et facteurs qui indiquent une hausse générale des taux de mauvais cholestérol durant l’hiver, rapporte The National Library of Medicine.

Des chercheurs du Centre Ciccarone de prévention des maladies du coeur de l’Université Johns Hopkins estiment dans leurs travaux que les niveaux de LDL, le « mauvais cholestérol », grimpent en moyenne de 3,5 % chez les hommes et de 1,7 % chez les femmes durant la saison hivernale.

L’alimentation est bien entendue au cœur du problème, alors qu’une bonne partie de la population semble moins disciplinée en matière de choix alimentaires durant l’hiver, en plus de faire moins d’exercice.

Le mauvais temps et le manque de luminosité auraient des effets dévastateurs sur la motivation, un comportement que le Dr Gerard Fletcher compare à une hibernation.

Le Dr Fletcher et son équipe croient qu’il est donc d’autant plus important d’au moins continuer de surveiller son alimentation en hiver, afin de s’assurer que la hausse hivernale des taux de LDL ne soit pas celle qui sera fatale.

Les conclusions de l’étude seront présentées lors de la réunion annuelle de l’American College of Cardiology, du côté de Washington.

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La vitesse de votre ordinateur influence votre taux de stress

Décider d’acheter un nouvel ordinateur plus performant pourrait réduire votre niveau de stress de façon considérable, selon ce que rapporte Top Santé.

Une étude-sondage en provenance des États-Unis propose quelques conclusions étonnantes sur le sujet, notamment qu’une majorité de propriétaires d’ordinateur perdent en moyenne deux heures par semaine de leur temps à attendre après une machine trop lente et désuète.

Ces attentes répétées et ces cassures dans le rythme du travail ou des loisirs feraient grimper les niveaux de stress en flèche, selon l’étude, à un point tel que les chercheurs recommandent de songer sérieusement à acheter un nouvel ordinateur si votre appareil actuel n’arrive plus à suivre la parade.

« La majorité des utilisateurs perdrait deux heures par semaine à cause d’ordinateurs trop lents. Si vous avez utilisé un ordinateur régulièrement ces dix dernières années, vous avez peut-être perdu plus d’un mois complet à attendre que votre ordinateur démarre, que les programmes s’ouvrent, se ferment, ou à effectuer des tâches qui sont normalement simples et rapides », résume Roddy McLean, qui dirige l’étude en question.

« Gagner 20 minutes par jour pourrait avoir des avantages énormes. Ce temps permettrait de mieux s’alimenter, de dormir plus ou de pratiquer une activité sportive », analyse quant à elle Kathy Kaehler, une entraîneuse et auteure.

45 % des 2025 personnes sondées ont avoué que le fait de rester devant un ordinateur trop lent épuisait plus qu’une séance intense de sport, ce qui n’est pas peu dire.

Bien sûr, le conseil vaut également pour les employeurs qui s’obstinent à ne pas renouveler le matériel électronique de leurs employés, et qui y gagneraient pourtant en productivité et en gestion du stress du personnel.

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Une majorité de gens surestime leur degré d’activité physique

Une majorité de gens surestimerait leur degré d’activité physique, selon des informations proposées par le Daily Mail (UK), et ne serait pas tout en fait en phase avec la réalité de leurs véritables réalisations personnelles en matière de sport.

Une équipe d’experts publient d’intéressantes statistiques dans le Medicine & Science in Sports & Exercise, qui révèlent que la plupart des gens se croient bien plus actifs qu’ils ne le sont en réalité.

De plus, les hommes seraient plus fautifs que les femmes, paraît-il, et auraient tendance à largement surestimer leurs efforts, toujours selon les informations rapportées.

Les hommes ajouteraient 56 minutes de trop à leur bilan d’activité physique hebdomadaire, contre 52 pour les femmes. Les deux sexes auraient cependant la tendance égale de sous-estimer le temps passé assis, à ne rien faire et à manger.

C’est en évaluant près de 1800 participants volontaires et leurs habitudes de vie que les chercheurs en sont venus à de telles conclusions, et si ces derniers ne proposent pas de solutions tangibles, on peut comprendre qu’il faudra s’assurer d’être un peu plus durs envers nous-mêmes et nos capacités afin de fournir un véritable effort qui aura de l’impact sur notre santé.

Fait intrigant en conclusion, les chercheurs estiment que les personnes possédant un bagage d’études universitaires auraient moins tendance à mentir ou à gonfler les faits que les autres!

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De meilleures performances cognitives chez les aînés d’aujourd’hui

Les aînés d’aujourd’hui sont-ils plus « performants » que leurs ancêtres des décennies précédentes?

C’est le constat auquel semble arriver des chercheurs européens, qui publient une étude sur le sujet, rapporte The National Library of Medicine.

Les spécialistes en cause dans cette recherche constatent que les personnes présentement âgées de 80 ans et plus possèdent de plus grandes aptitudes cognitives, en moyenne, qu’il y a dix ans.

Ces mêmes personnes afficheraient par ailleurs le même genre de résultats qu’à l’âge de 70 ans, ce qui semble signifier que d’atteindre ce palier vénérable d’âge pourrait devenir une norme, le tout en bonne santé.

« Les gens sont en fait mieux éduqués qu’ils ne l’étaient, et leur situation économique pourrait aussi être meilleure, comparativement aux groupes précédents. Tous ces facteurs combinés travaillent de concert pour une situation améliorée », analyse Dallas Anderson, qui étudie la démence dans le Maryland, mais qui n’a pas pris part à l’étude.

Plusieurs autres facteurs sont cependant à prendre en considération avant de parler d’une tendance mondiale, croient d’autres observateurs en santé, à commencer par exemple par l’accès aux soins de santé offerts dans certains pays.

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Temps des fêtes : Un gain moyen de quatre livres et trois mois pour le perdre

À l’approche de la fête de Noël, le Daily Mail (UK) rapporte une amusante étude sur l’alimentation lors du temps des fêtes, dressant un portrait des habitudes moyennes en termes de nutrition et de gain de poids lors de cette période festive.

Ainsi, grâce à cette étude-sondage réalisée pour le compte d’une compagnie de suppléments alimentaires, on apprend que 52 % des gens doublent leurs apports caloriques, et que 44 % des répondants « se laissent complètement aller lors du temps des fêtes ». Une hilarante affirmation qui se traduit par un gain de poids moyen de quatre livres.

De plus, ce poids pris en l’espace d’une seule semaine, toujours en moyenne, prendrait ensuite trois ou quatre mois pour disparaître!

On peut donc dire que ce poids ajouté lors du temps des fêtes pourrait vous suivre… jusqu’à Pâques.

Les mets traditionnels, les aliments frits, les grignotines et, bien sûr, l’alcool, sont tous à blâmer, mais avouons qu’il n’est pas mauvais de cesser de se donner mauvaise conscience et de prendre une pause d’obsession de la minceur une fois par année.

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Le pain hausserait les risques de cancer du sein chez les femmes en ménopause

Une alimentation comprenant beaucoup de pain serait nuisible à la santé des femmes qui sont en ménopause ou qui s’en approchent, selon une étude rapportée par le Daily Mail (UK).

Des chercheurs de l’Université de Toronto et de Milan qui travaillent conjointement à cette recherche affirment que la consommation de pain lors de cette période peut augmenter les risques de cancer du sein de 60 %, une statistique qui ne peut être négligée.

Ainsi, on suggère plutôt à ces femmes de troquer le pain pour les pâtes, afin d’éviter cette hausse de risque, qui s’avère tout aussi exacte pour d’autres types de cancer et d’autres maladies.

Comme l’expliquent les chercheurs impliqués, les pâtes sont à l’opposé du pain en matière d’effets sur la glycémie, un facteur reconnu du développement du cancer du sein.

À noter, l’effet du pain serait également vérifiable chez les hommes en ce qui concerne le cancer colorectal, avec une hausse moyenne des risques de 22 %.

D’autres études sur le sujet sont à prévoir, conclut l’équipe de spécialistes.