Catégories
Uncategorized

Les 5 meilleurs moyens de passer du temps avec votre ado

Comme l’indique ParentingSquad, il faut être ingénieux pour capter l’attention de nos adolescents. Mais il y a plusieurs occasions qui peuvent servir de tremplin.

Dans la voiture

Qu’il soit côté passager ou assez vieux pour conduire avec vous à ses côtés pendant son permis temporaire, ces moments sont privilégiés. Tirez-en profit, mais pas de discussion négative, surtout s’il est au volant.

Arrêtez-vous pour dîner

Profitez d’un arrêt spontané en tête à tête pour discuter, surtout si vous sentez qu’il est un peu distant depuis quelque temps. À vous d’amorcer la conversation.

Pendant que vous magasinez

Un beau moyen détourné pour passer du temps ensemble, même si c’est pour acheter un cadeau à papa. Une belle façon, en faisant du lèche-vitrine, de vous mettre à jour sur ses goûts.

Les devoirs

Vous aimez tous les deux une matière en particulier? Lorsque votre ado a des études ou des devoirs sur ce sujet, participez et profitez-en pour le questionner sur ses connaissances, question d’échanger.

En regardant la télévision

Trouvez une série à écouter ensemble! Une belle occasion de vous assurer une période régulière ensemble. Vous discuterez de vos théories mutuelles sur le dénouement de la saison.  

Catégories
Uncategorized

3 minutes supplémentaires par repas pour diminuer le risque d’obésité

C’est ce qu’explique Barbara H. Fiese, directrice du Family Resiliency Program.

La recherche effectuée vise à aider les familles qui vivent avec peu de moyens. Trop souvent, vu le manque de temps et d’éducation, le fait d’être monoparental ou la facilité d’accès à la malbouffe, les enfants de familles pauvres sont plus à risque d’obésité.

Dans l’étude proposée par Fiese, selon medicalnewstoday, les familles vivant de peu de moyens passent environ 15 à 17 minutes ensemble au repas.

Or, à partir de 20 minutes passées en famille par repas, et ce, au minimum 4 fois par semaine, les enfants du primaire étaient beaucoup moins à risque d’obésité que ceux des autres familles peu aisées.

En résumé, les parents, même monoparentaux, qui affirmaient que le rituel du repas revêtait de l’importance et qu’ils y passaient 20 minutes ou plus pour échanger avec leurs enfants, avaient des jeunes plus en santé.

Plus de 200 familles pauvres ont participé à la recherche. À la suite de ces résultats probants, Barbara H. Fiese doit poursuivre avec la prochaine étape, qui consiste à éduquer les familles en ce sens.

Il demeure que ces résultats peuvent s’appliquer à toutes les familles. Lorsque le repas est considéré comme un moment de qualité à passer en famille, les habitudes alimentaires s’améliorent, et le risque d’obésité chute considérablement.

Un truc facile, mais que l’on doit prendre le temps d’appliquer.

Catégories
Uncategorized

Perdre de l’argent peut affecter notre perception de la réalité

Le Journal of Neuroscience dévoile une étude sur le lien entre une perte d’argent et la perception de la réalité.
 
Selon les chercheurs, les situations financières stressantes affectent notre perception au même titre que les situations qui mettent notre vie en danger ou qui nous conduisent à adopter des comportements totalement irrationnels.
 
Les chercheurs de l’Institut Weizmann ont effectué quelques tests, et après avoir soumis les participants à des conditionnements impliquant de l’argent, tous devaient écouter trois notes différentes.
 
La première indiquait qu’ils avaient gagné une certaine somme d’argent, la seconde qu’ils avaient subi une petite perte, et la troisième que la perte était demeurée la même.
 
C’est seulement avec la première note que les participants avaient une meilleure distinction du son, comparativement aux deux autres notes liées à une perte d’argent.
 
Avec l’imagerie cérébrale, on a pu voir l’activité dans l’amygdale, la zone du cerveau liée aux émotions et à la récompense, ainsi que dans le cortex frontal, lié à la régulation de la réaction émotionnelle.
 
Les personnes qui avaient le plus d’activité dans ces zones demeuraient plus aptes à distinguer les notes que les autres.
 
Cette découverte permet de mieux comprendre le mécanisme neurologique sous-jacent du syndrome de stress post-traumatique, mais également notre simple réflexe de fuite devant des situations plus difficiles de la vie courante, où l’on en vient à manquer de discernement.