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Des ITS pourraient causer le cancer de la prostate

Le développement du cancer de la prostate pourrait être encouragé dans certains cas par une ITS, une infection transmissible sexuellement, selon ce que rapporte Top Santé.

La nouvelle découle d’une découverte effectuée par des chercheurs californiens, qui auraient trouvé un lien entre le développement du cancer de la prostate et la présence dans l’organisme d’un parasite appelé trichomonas.

Comme la présence de ce dernier n’est souvent assortie d’aucun symptôme, il est facile pour les hommes de ne pas s’en soucier, et ainsi laisser la porte grande ouverte aux risques de développer un cancer de la prostate.

Les conclusions de la recherche en provenance de l’Université de Californie rappellent un peu celles observées en ce qui concerne le VPH chez la femme, qui peut mener au cancer du col de l’utérus.

Les chercheurs américains estiment donc que les hommes devraient se faire dépister même sans symptômes apparents, afin d’avoir le cœur net quant à leur état de santé et ainsi prévenir toute détérioration de leur état.

Un homme sur dix développerait un cancer de la prostate d’ici l’âge de 80 ans, selon plusieurs spécialistes.

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Les infections transmises sexuellement avant 13 ans, le fruit d’agressions sexuelles

Il s’agit d’une première recherche du genre. Bien que les cas soient rares, soit moins d’un enfant sur 1 million, la majorité des ITS chez les enfants de moins de 13 ans sont susceptibles d’être le résultat d’une agression sexuelle.

Medical News Today rapporte les données de l’étude effectuée par le Dr Richard Reading de la British Peadiatric Surveillance Unit  (BPSU).

– 15 nouveaux cas d’ITS chez les moins de 13 ans ont été rapportés dans les 2 dernières années;

– 3 des cas ont été confirmés en cour (agression sexuelle);

– 7 autres cas font l’objet d’une enquête, puisque d’autres facteurs (clinique, familial) sont en cause.

Dr Reading se fait cependant rassurant, en spécifiant que les cas de maladie transmise sexuellement avant 13 ans sont habituellement soumis à une enquête.

Cependant, il insiste pour informer les médecins, travailleurs sociaux, intervenants scolaires, policiers et avocats de l’importance de considérer la possibilité d’agression sexuelle avant toute autre hypothèse.

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Les infections transmises sexuellement avant 13 ans, le fruit d’agressions sexuelles

Il s’agit d’une première recherche du genre. Bien que les cas soient rares, soit moins d’un enfant sur 1 million, la majorité des ITS chez les enfants de moins de 13 ans sont susceptibles d’être le résultat d’une agression sexuelle.

Medical News Today rapporte les données de l’étude effectuée par le Dr Richard Reading de la British Peadiatric Surveillance Unit  (BPSU).

– 15 nouveaux cas d’ITS chez les moins de 13 ans ont été rapportés dans les 2 dernières années;

– 3 des cas ont été confirmés en cour (agression sexuelle);

– 7 autres cas font l’objet d’une enquête, puisque d’autres facteurs (clinique, familial) sont en cause.

Dr Reading se fait cependant rassurant, en spécifiant que les cas de maladie transmise sexuellement avant 13 ans sont habituellement soumis à une enquête.

Cependant, il insiste pour informer les médecins, travailleurs sociaux, intervenants scolaires, policiers et avocats de l’importance de considérer la possibilité d’agression sexuelle avant toute autre hypothèse.

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Une nouvelle méthode contraceptive qui protège aussi du VIH

Top Santé rapporte la mise à l’essai d’une nouvelle méthode de contraception féminine, capable non seulement de prévenir les grossesses, mais aussi de certaines infections transmissibles sexuellement comme le VIH.

Il s’agit d’un anneau féminin qui possèderait de multiples vertus protectrices, grâce à un principe de diffusion moléculaire des plus fascinants. Une fois installé, l’anneau relâcherait en effet deux types de molécules, le lévonorgestrel et le ténofovir, respectivement utilisés en contraception et dans la lutte au VIH.

On vante également la souplesse et la facilité d’utilisation de l’anneau, sans compter ses nombreuses applications possibles.

« Dans la communauté scientifique, tous ceux qui luttent pour la prévention du sida cherchent depuis longtemps à développer un anneau de ce type. Combiner l’effet contraceptif avec un effet protecteur contre les infections par le VIH serait un grand pas dans la prévention du sida dans les pays aux bas revenus », estime Rowena Johnson, la vice-présidente de la Fondation américaine contre le sida.

Les essais cliniques doivent maintenant se poursuivre, et on souhaite pouvoir commercialiser le produit au cours des cinq prochaines années.

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Les condoms contre les infections vaginales

C’est une étude chinoise, dont les résultats sont publiés dans la revue médicale PLoS ONE, qui fait le lien entre l’utilisation du condom et un taux supérieur de bactéries lactobacilles, protectrices contre l’infection.

Cependant, il est spécifié que bien que le lien soit fait, la causalité n’est toujours pas prouvée. La vaginose bactérienne est une infection se développant lorsque l’équilibre bactérien du vagin est déstabilisé.

Plus de 165 femmes sexuellement actives et âgées de 18 à 45 ans ont participé à la recherche. Elles ont toutes subi un frottis vaginal afin de déterminer le score de Nugent (nombre de bactéries), ainsi que la prévalence et l’influence des bonnes bactéries sur leur organisme.

Contrairement aux femmes portant le stérilet, en favorisant la présence de bonnes bactéries, celles utilisant le condom comme moyen de protection sexuel se seraient montrées moins à risque de contracter une vaginose bactérienne. Ces bonnes bactéries protègent également contre l’apparition de celles responsables, entre autres, du VIH.

Elles s’y prennent en rendant l’environnement vaginal quelque peu acide, et donc inhospitalier à ces mauvaises bactéries.

Mesdames, à vos condoms! Non seulement vous vous protègerez contre les grossesses et les maladies sexuellement transmissibles, mais vous aurez moins de chance de contracter ces désagréables infections ô combien inconfortables.

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Le vaccin contre le VPH s’avère efficace

Bonne nouvelle dans le dossier du VPH (virus du papillome humain), qui prend de plus en plus de place dans l’actualité depuis l’an dernier.

Surtout après que des spécialistes aient établi que le virus transmissible sexuellement pouvait aussi contribuer fortement au développement du cancer, un fait propulsé aux quatre coins du monde par l’histoire contradictoire de l’acteur Michael Douglas, récemment.

Les nouvelles sombres concernant le VPH font maintenant place à de l’optimisme, alors que Santé Log rapporte une étude publiée dans le Journal of Infectious Diseases qui confirme l’efficacité du vaccin.

Ce dernier avait passé les phases d’essais cliniques traditionnels il y a quelques années, mais encore faillait-il que la population adopte le vaccin, ce qui semble chose faite.

En effet, on rapporte une réduction du VPH chez les jeunes Américaines, après des hausses constantes enregistrées année après année.

On constate que les campagnes de sensibilisation et le bouche-à-oreille pourraient finalement avoir porté des fruits, et ainsi permettre de sauver des milliers de vies à moyen et long terme.

Même s’il reste encore beaucoup de travail à faire, les spécialistes des Centers for Disease Control and Prevention se réjouissent de ce pas dans la bonne direction. 

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Michael Douglas reprend ses propos

Hier (3 juin), alors que les commentaires de Michael Douglas sur la cause de son cancer ont beaucoup fait parler, nous apprenons aujourd’hui sur People que l’acteur aurait été mal cité.

En effet, Douglas, en parlant du cancer dont il a été victime, avait suggéré que le virus du papillome humain (VPH) était en cause et qu’il l’aurait contracté en faisant des cunnilingus.

Or, le porte-parole de la star a publié un communiqué afin de remettre les pendules à l’heure : « Michael Douglas n’a pas dit que le cunnilingus était la cause de son cancer. Il a cependant été mentionné pendant la discussion que, comme mentionné par un médecin, le sexe oral était une possible cause de certains cancers oraux, mais il n’a pas dit qu’il s’agissait de la cause de son cancer à lui ».

Plus tard dans la journée d’hier, alors qu’il participait à un évènement de la Société américaine du cancer, il s’est mis à plaisanter sur le sujet en se qualifiant du nouveau visage du sexe oral. Il a de plus expliqué que son but avait été de conscientiser les gens sur le sujet, en parlant de cette infection transmissible sexuellement et des dangers encourus. En effet, si non traité, le VPH peut se développer en cancer.

Il finit en disant qu’heureusement, il existe maintenant un vaccin contre cette ITS qui peut être administré aux jeunes.

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Le cancer de Michael Douglas causé par le sexe oral?

Selon lui, l’acteur Michael Douglas aurait contracté une maladie transmissible sexuellement, le virus du papillome humain, qui aurait également été la cause de son cancer de la gorge, dont il est maintenant libéré depuis 2 ans.

C’est en 2010 que le cancer de stade 4 de Douglas avait été diagnostiqué. Alors que l’on aurait pu croire que la cigarette et l’alcool étaient en cause, il n’en serait rien.

Dimanche dernier (2 juin), l’acteur de 68 ans a révélé au journal Guardian que le type de cancer qu’il avait contracté était causé par le virus du papillome humain (VPH), qui lui aurait été transmis par le biais de sexe oral.

Alors qu’il a un fils en prison à la suite de problèmes liés à la drogue, Douglas a d’abord cru que le stress pouvait avoir déclenché sa maladie.

Il a expliqué : « Je me suis questionné à savoir si le stress causé par l’incarcération de mon fil n’en était pas le déclencheur. Mais finalement, c’est une ITS qui cause le cancer. Si vous l’avez, le cunnilingus est aussi le meilleur moyen de le guérir ».

À noter qu’il s’agit là d’une cure selon Michael Douglas, et non d’une donnée scientifique.

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Les cas de gonorrhées en hausse au Québec

Depuis un peu plus d’un an, les cas de gonorrhées diagnostiquées sont en hausse au Québec, ce qui inquiète grandement les autorités de la santé du Québec.

C’est le constat alarmant que rapporte La Presse, alors que des experts croient qu’il est temps d’agir. Surtout que si la tendance se maintient, on pourrait voir apparaître sur notre territoire une souche de la maladie qui s’avère incurable.

« On voit apparaître des souches de gonorrhée qui ont une sensibilité réduite aux céphalosporines… On s’approche du seuil où ce sera préoccupant. Il n’y a pas beaucoup d’autres options », lance Brigitte Lefebvre, du Laboratoire de santé publique du Québec (LSPQ).

En chiffre, la hausse des cas de gonorrhées se traduirait par une augmentation de 407 % depuis 1997!

« C’est clair que le nombre est sous-estimé, parce qu’on ne teste pas tout le monde », déclare quant à lui le Dr Côté.

La maladie touche beaucoup les 20-29 ans, et les autorités rappellent l’importance de se protéger lors des rapports sexuels. Il reste manifestement encore beaucoup de travail en prévention et en sensibilisation au Québec…

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De plus en plus de cas d’infections transmissibles sexuellement sont observés

The National Library of Medicine rapporte que les statistiques concernant les cas de maladies et d’infections transmissibles sexuellement (ITS) sont encore en hausse et prennent des proportions alarmantes, selon plusieurs spécialistes.

C’est notamment le cas aux États-Unis, alors qu’un nouveau rapport publié dans le journal Sexually Transmitted Diseases fait état de la montée de ces problèmes de santé au sein de la population.

On estime maintenant à 110 millions le nombre d’Américains qui souffrent en ce moment de l’un ou l’autre de ces troubles reliés à la sexualité, un chiffre qui augmente si on ajoute les cas répertoriés au Canada.

De plus, cette explosion de cas d’ITS a des coûts. Aux États-Unis seulement, on fait état de 20 millions d’infections soignées, pour une facture globale de 16 milliards de dollars!

Et il ne faudrait pas croire que ceci ne s’applique qu’aux adolescents.

« Les infections transmissibles sexuellement forment un risque pour les personnes de tous âges qui sont sexuellement actives. Certaines sont même transmissibles par le simple contact de la peau », met en garde Kaitlin Doyle du Long Island Jewish Medical Center, qui s’inquiète de ces statistiques grimpantes.