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L’arthrite : une question d’alimentation ou de poids?

Un manque de leptine (hormone de la faim) serait associé à l’arthrite, selon une étude de la Duke Université qui a été effectuée sur des souris. Pour combler cette lacune, un apport supplémentaire en acides gras omega-3 (poisson ou huiles de poisson) aiderait à diminuer et stabiliser la progression de l’arthrite.

Les auteurs de l’étude qui est parue dans les Annals of the Rheumatic Diseases démontrent toutefois qu’il ne faudrait pas exagérer sur la quantité ingérée d’omega-3. En grande quantité ou en cas d’exagération, les « mauvaises graisses » peuvent jouer un rôle inverse en favorisant le développement de l’arthrose, en cas d’obésité, écrit Santé Log.

Quant aux personnes qui ont un régime riche en acides gras saturés et en oméga 6 (l’huile de maïs, de soja, noix), elles pourraient, elles aussi, connaître un problème d’arthrite plus grave.

Les facteurs alimentaires seraient donc plus importants que les facteurs mécaniques/osseux ou musculaires dans le lien entre l’obésité et l’arthrose. Il ne serait donc pas nécessairement vrai de croire que le poids élevé qui pèse sur les articulations et les fatigue est la raison principale à l’arthrite.

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Une juste portion de protéines à chaque repas serait bénéfique pour la santé

Une nouvelle étude américaine vient ajouter de l’information concernant les protéines et leurs bienfaits sur la santé, mais vient surtout proposer une posologie à respecter pour des effets bienfaiteurs maximisés.

Ainsi, selon les chercheurs de l’aile médicale de l’Université du Texas à Galveston, les habitudes des Nord-Américains en matière de repas ne permettraient pas d’optimiser le vieillissement en bonne santé.

Trop de protéines au souper, croient les chercheurs, qui estiment à 30 grammes la portion nécessaire (et maximale) par repas, au lieu d’une surabondance de protéines dans un seul repas au cours de la journée. On donne en exemple le déjeuner, qui bénéficierait davantage de la présence d’un œuf ou d’un verre de lait que de celle d’un bol de céréales très sucrées ou d’une pâtisserie.

Le fait d’étirer ses portions de protéines tout au long de la journée favoriserait la santé des muscles et permettrait de vieillir en meilleure santé, explique également Leslie Beck, une spécialiste américaine qui rapporte les conclusions de l’étude.

L’étude texane a été publiée dans le Journal of Nutrition.

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Des muscles reconstruits grâce aux vessies de porc

Des chercheurs américains auraient mis au point une nouvelle méthode de reconstruction et de régénération de muscles humains endommagés grâce à des vessies de porc, rapporte Top Santé.

Le processus, bien que surprenant, s’avère relativement simple. Selon les chercheurs de l’Université de Pittsburgh derrière le projet, il est possible d’implanter des parties de ces vessies préalablement dépouillées de leurs cellules directement dans la structure musculaire visée, et ainsi d’obtenir un résultat satisfaisant.

« Quand un grand volume de muscles est perdu, généralement à cause d’un traumatisme, le corps ne peut pas répondre suffisamment pour les remplacer. Au lieu de cela, du tissu cicatriciel peut se former, ce qui altère de manière significative leur résistance et leur fonction. Cette nouvelle étude est la première à montrer un remplacement de nouveau tissu musculaire fonctionnel chez l’homme. Ce sont les patients qui ne peuvent plus marcher, ne peuvent pas sortir de la voiture, ne peuvent pas monter et descendre d’une chaise, ne peuvent pas prendre des mesures sans tomber. Maintenant, nous avons un moyen de les aider à aller mieux », explique l’auteur de l’étude, Stephen Badlyak.

Une véritable percée qui pourrait changer des vies, comme l’explique M. Baddlyak.

Les conclusions de ce dernier et de son équipe ont été publiées dans le magazine scientifique médical Science Translational Medicine.

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Les étirements avant l’activité physique remis en question

C’est plutôt étonnant de voir les étirements être remis en question dans le cadre d’un programme d’activité physique, mais l’étude dévoilée ici semble pourtant très sérieuse.

Elle est de plus publiée par le New York Times, avant d’être rapportée par Top Santé, ce qui ajoute à l’intérêt de la chose.

Selon cette recherche en provenance de Croatie, donc, les étirements seraient à déconseiller avant le sport, car ils n’auraient que très peu (ou pas) d’impact sur la prévention des blessures et ne feraient qu’enlever de précieuses énergies aux sportifs et athlètes, en fin de compte.

On parle aussi d’une réduction de la force musculaire de 5 %, toujours selon l’étude publiée initialement dans The Journal of Strength and Conditioning Research.

Attention cependant, on tient à rappeler qu’il existe une différence entre étirement et réchauffement, le deuxième conservant l’appui des spécialistes en tête de la recherche.

Or, c’est justement l’une des causes de la confusion, beaucoup de sportifs croyant à tort qu’étirement et réchauffement sont une seule et même chose.

On suggère de garder les étirements pour la fin de l’activité physique, un moment qui serait beaucoup mieux choisi pour étirer ses muscles.

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La thérapie génétique prometteuse en cardiologie

Une étude préliminaire dresse un portrait optimiste d’une nouvelle thérapie génétique, notamment en ce qui concerne les traitements de cardiologie, rapporte The National Library of Medicine.

Ce qui semblait être de la science-fiction il n’y a pas si longtemps serait sur le point de se concrétiser. En effet, les chercheurs sont persuadés de pouvoir bientôt réparer les muscles et les tissus d’un cœur endommagé, et ainsi préparer le terrain à de nouveaux types de traitements de cardiologie.

On cherche à pousser et encourager les capacités de l’organisme à se régénérer de lui-même, grâce à la thérapie génétique. Cette dernière fonctionne de manière à « attirer » les cellules souches déjà existantes chez l’être humain vers le cœur, plus précisément vers les parties endommagées.

Bien que l’étude ne parle que de résultats préliminaires, les chercheurs croient pouvoir atteindre leur objectif dans un avenir rapproché.

Les conclusions de l’étude ont été publiées dans l’édition du 21 février du journal Circulation Research.

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Conseils pratiques pour bien s’échauffer avant l’exercice

Il est bien connu que l’échauffement tient un rôle important dans l’activité physique. Bien s’échauffer, c’est préparer son corps à ce qui l’attend, et ainsi éviter les chocs et les blessures.

Beaucoup de blessures pourraient être évitées simplement par de petits gestes, expliqués ici. D’abord, il est important de préparer son corps par des mouvements simples, qui demandent peu d’efforts, rapporte nlm.nih.gov.

L’American Council on Exercise propose d’inclure des mouvements d’aérobie qui vont aider à réchauffer les muscles que vous utiliserez plus tard lors du véritable exercice physique.

Ensuite, on suggère de pratiquer des exercices de flexibilité, des étirements, mais tout en douceur. Le but est d’étirer vos muscles doucement, pour que ceux-ci soient à leur plein potentiel lors de l’effort. Ainsi, priorisez les membres qui seront sollicités davantage.

Puis, essayez d’effectuer une version plus lente et plus facile de l’exercice que vous allez faire. Par exemple, si vous faites de la bicyclette, roulez très doucement pendant un moment, afin d’habituer votre corps. Il en va de même pour les sports et la course à pied.

Finalement, réchauffez-vous à un niveau qui ne vous fait transpirer que légèrement, sans ressentir de fatigue. Vous serez fin prêt pour la pratique de votre activité physique de prédilection.

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Fait inquiétant concernant un produit chimique courant

Une étude parue dans les Actes de l’Académie américaine des sciences (PNAS) démontre que le triclosan s’attaque aux muscles.

Le triclosan est un produit chimique très courant, utilisé dans de nombreux produits d’hygiène personnelle comme les savons pour les mains, déodorants, bains de bouche, dentifrice, produits de literie, vêtements, tapis, jouets et sacs poubelles. De plus, ce produit chimique est omniprésent dans l’environnement, dans les eaux, les organismes aquatiques, des algues aux poissons et aux dauphins.

Chez l’Homme, on en retrouve aussi dans l’urine, le sang et le lait maternel.

« Le triclosan est un produit chimique antibactérien, présent dans de nombreux produits et omniprésent dans l’environnement », dit l’auteur principal des travaux, Isaac Pessah.

Seulement, des études menées sur des rats sont plutôt préoccupantes, car elles démontrent que le triclosan s’attaque aux muscles et réduit la force, le rythme cardiaque et empêche les muscles de se contracter.

« Les effets du triclosan sur la fonction cardiaque sont dramatiques. Alors que le triclosan n’est pas réglementé comme un médicament, ce composé agit comme un puissant dépresseur cardiaque », ajoute Nipavan Chiamvimonvat, professeur de médecine cardiovasculaire à l’UC Davis.

Des résultats inquiétants qui seront approfondis.

Crédit photo : FreeDigitalPhotos.net

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Une vitamine bienfaitrice cachée dans le lait

Des chercheurs suisses ont mis en évidence les bienfaits d’une vitamine que l’on retrouve notamment dans le lait, la nicotinamide riboside (NR).
 
Celle-ci a la capacité de prévenir l’obésité et le diabète et améliorerait les performances musculaires, indique le Cell Metabolism.
 
Les tests menés sur des souris ont permis de constater que celles ayant reçu la NR avaient pris beaucoup moins de poids que leurs congénères, en plus de ne pas développer le diabète.
 
Ces souris étaient également plus en forme et leurs fonctions métaboliques, comme la combustion des graisses et l’oxydation des cellules, avaient été améliorées après quelques semaines.
 
Avec cette vitamine, on ne note aucun effet secondaire non plus. « Il semble vraiment que les cellules utilisent ce dont elles ont besoin au moment où elles en ont besoin, et que le reste est mis en attente sans se transformer en un quelconque dérivé dangereux pour la santé », explique le chercheur Carles Canto.
 
Maintenant, les scientifiques doivent trouver la quantité à consommer pour pouvoir bénéficier de ces bienfaits.
 
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Les pommes bénéfiques pour la fonction respiratoire

Pour aider le corps à mieux récupérer après un effort physique important, il serait judicieux de choisir de manger une pomme.
 
Une étude dévoilée par l’Association nationale Pomme et Poire, effectuée sur 2512 hommes de 45 à 54 ans, démontre que consommer cinq pommes ou plus par semaine augmente la capacité respiratoire de 138 ml par rapport à un régime alimentaire ne contenant pas de pommes.
 
Après l’effort, les pommes participent à l’apport de sucre et à la réhydratation. Avec 85 % d’eau, elles sont beaucoup plus bénéfiques que les boissons sucrées, car les pommes contiennent des sucres naturels et apportent vitamines et minéraux à l’organisme.
 
Elles renforcent également le système immunitaire, permettant de prévenir certaines maladies et infections.
 
De plus, ce fruit contient des antioxydants qui améliorent la fonction musculaire et permet donc une meilleure récupération après un effort physique intense.
 
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Les piments pour abaisser le cholestérol

En fait, c’est un composé des piments, les capsaïcinoïdes, qui ont cet effet sur l’organisme.
 
Les tests, effectués sur des hamsters en laboratoire, démontrent que les piments peuvent influencer les lipides plasmatiques, la fonction de l’aorte, le développement de la place d’athérome, l’absorption du cholestérol, l’excrétion fécale des stérols et l’expression des gènes récepteurs, enzymes et transporteurs du métabolisme du cholestérol.
 
Le plus étonnant, c’est que les capsaïcinoïdes abaissent le mauvais cholestérol, tout en gardant le bon cholestérol intact. Ainsi, les piments seraient des anticholestérols naturels et efficaces.
 
Les résultats, parus dans l’European Journal of Nutrition, doivent maintenant être validés sur les humains, mais les chercheurs croient qu’ils seront similaires à ceux obtenus sur les rongeurs.
 
Déjà, la consommation de piments est reconnue pour ses nombreux bénéfices sur la santé humaine.