Des chercheurs de l’Université Harvard ont réussi l’exploit d’implanter des cellules souches, prélevées dans le muscle squelettique, chez des rongeurs atteints de dystrophie musculaire afin de réparer les muscles endommagés par la maladie.
L’auteure principale de cette recherche, la Dre Amy Wagers, insiste toutefois sur le fait que des études similaires devront être effectuées sur des humains avant de crier victoire, mais que sa découverte est un pas de plus vers un traitement adéquat de la dystrophie musculaire.
Pour le moment, le traitement le plus efficace consiste à donner des stéroïdes, ce qui ralentit la progression de la maladie. La dystrophie musculaire nécessite souvent un respirateur afin de procurer de l’oxygène aux personnes qui en sont atteintes.