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Les leggings, mauvais pour jambes?

Très en vogue en ce moment, les leggings favoriseraient les jambes lourdes, flasques et rendraient les muscles paresseux. Certains experts affirment même que cela peut provoquer des pertes d’équilibre.
 
« Les leggings sont confortables et donnent une belle allure, mais attention au revers de la médaille. Ils soutiennent les quadriceps, les muscles des fesses et du ventre, faisant le travail des muscles à leur place. En conséquence, les muscles se relâchent et lorsque l’on dénude nos jambes la première fois lors des beaux jours, elles ne sont ni sveltes ni fermes comme elles l’auraient été sans ces leggings », affirme au Daily Mail la physiothérapeute Sammy Margo.
 
Les leggings aident à camoufler des parties de nos jambes que l’on n’aime pas, ce qui n’incite pas à faire quelques exercices afin de corriger la situation.
 
Il serait donc judicieux de ne pas trop abuser du port des leggings si vous souhaitez avoir de belles jambes.
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Carences en vitamine D chez les jeunes obèses

Des chercheurs du Hasbro Children’s Hospital mettent en garde contre la carence en vitamine D dont souffrent la majorité des jeunes obèses. Selon eux, un traitement devrait être tenté afin de normaliser ces faibles taux.

Une déficience en vitamine D peut augmenter les risques de maladies comme le diabète, les problèmes cardiovasculaires et le cancer. De plus, un tel manque affecte le pouvoir des muscles, ce qui peut restreindre encore plus la capacité de ces jeunes à faire de l’activité physique.
 
Ce constat a été établi après que des analyses sanguines aient été effectuées auprès de 68 adolescents obèses et que l’impact d’une carence en vitamine D ait été évalué auprès de ces mêmes patients.

Les résultats complets de cette recherche dirigée par le Dr Zeev Harel, un pédiatre spécialiste du Hasbro Children’s Hospital, ont été publiés dernièrement dans le Journal of Adolescent Health.

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Le développement du langage lié au rythme

Une étude de l’Université de Toronto ouvrirait la voie à une meilleure compréhension des capacités sensorimotrices de l’enfant, les muscles liés à l’apprentissage et à la naissance de la parole étant peu connus jusqu’ici.

On a ainsi pu faire un lien entre la capacité à reproduire un rythme en tapant des doigts et la capacité de parler.

L’étude en question portait sur des adultes bègues. On a remarqué que ces adultes qui avaient un trouble du langage avaient autant de difficulté à apprendre un nouveau rythme à taper avec les doigts.

Comme on l’apprend sur Medical News Today, on a ainsi pu reporter ces résultats sur le développement en général afin de mieux comprendre de quelle manière les enfants acquièrent et reproduisent la parole et comment les muscles nécessaires peuvent y être sollicités.

Lors de la recherche, en plus d’observer les adultes tentant d’apprendre de nouveaux rythmes, on a utilisé l’imagerie par résonnance magnétique pour mieux analyser le processus neurologique sous-jacent au développement du langage chez les enfants et les capacités sensorimotrices des adultes bègues.

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Les épinards rendent réellement les muscles plus forts

Popeye avait tout simplement raison : les épinards rendent plus fort. C’est la conclusion à laquelle parviennent les chercheurs, selon le journal Cell Metabolism.
 
Vous vous souvenez, Popeye ouvrait une boîte d’épinards chaque fois qu’il avait besoin de forces pour se sortir du pétrin. L’étude démontre qu’un bol d’épinards tous les jours rend bel et bien les muscles profondément plus efficaces.
 
L’effet est si puissant qu’il fonctionne après seulement trois jours de consommation. Contrairement à ce que l’on croyait jusqu’à présent, ce n’est pas le fer qui est la clé de ce phénomène, mais bien les nitrates qui sont particulièrement abondants dans les épinards.
 
Les nitrates rendent les mitochondries (les usines énergétiques de chaque cellule) plus efficaces, comme si on ajoutait du carburant aux muscles. Ils augmentent également l’oxyde nitrique dans le corps, ce qui ouvre les vaisseaux sanguins, réduit la pression artérielle et favorise une bonne circulation sanguine.
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Le lait maternel fait des ados plus forts

Les bébés qui sont allaités dès la naissance seraient en meilleure santé une fois adolescents.

C’est ce que nous apprend une récente étude de l’Université de Grenade en Espagne. Parue dans le Journal of Nutrition, elle a porté sur 2 567 adolescents.

On a demandé aux participants de quelle manière ils avaient été nourris lorsqu’ils étaient bébés. Leurs capacités cardiovasculaires et leur force musculaire ont aussi été évaluées.

Il en est ressorti que les adolescents qui avaient été nourris au lait maternel avaient les muscles des jambes plus forts.

De plus, la force de ces muscles était plus élevée si le participant avait été allaité sur une plus longue période.

L’allaitement a aussi été associé à de meilleures performances en saut en longueur, et ce, en dehors de facteurs morphologiques comme la grandeur, le taux de gras et la masse musculaire.

Il s’agit de la première étude sur le lien entre l’allaitement et le développement de la force musculaire.

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Les répercussions d’une dépression durant la grossesse

Des chercheurs ont remarqué certaines différences physiques et émotives chez les bébés dont la mère a souffert de dépression durant la grossesse.

L’étude en question de l’Université du Michigan, parue dans l’Infant Behaviour and Development, indique que les cascades d’émotions vécues par la mère pourraient influer sur le développement du cerveau de son enfant.

Une fois venu au monde, celui-ci aurait moins de tonus musculaire et un taux plus élevé d’hormones du stress. Il y serait donc plus sensible et y répondrait de manière plus forte. Il pourrait aussi avoir plus de difficulté à gérer ce stress.

Cette étude et d’autres pourront mener à un meilleur encadrement des femmes enceintes souffrant de dépression et à la mise en place de programmes efficaces dans le traitement du post-partum.

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Les étirements avant la course ne préviendraient pas les blessures

De précédentes études avaient affirmé que les étirements ne permettaient pas de prévenir les blessures et même qu’ils freinaient les performances sportives.
 
Une nouvelle étude dévoilée par le New York Times vient confirmer cette théorie. Selon le chirurgien orthopédique Dan Pereles, s’étirer sur place avant de courir ne permet en aucune façon de prévenir les blessures.
 
C’est la conclusion à laquelle son équipe et lui sont parvenus après avoir étudié 3 000 joggeurs. Un groupe s’est étiré de 3 à 5 minutes avant de courir pendant trois mois, alors que le deuxième groupe n’a fait aucun étirement.
 
Au terme de l’étude, 16 % des coureurs avaient subi des blessures et il y en avait autant dans les deux groupes. Seulement, si vous avez l’habitude de faire des étirements, il ne faut pas arrêter. Les participants à la recherche qui s’étiraient habituellement et ne l’ont pas fait durant les trois mois ont subi plus de blessures que les autres.
 
De plus en plus, on opte maintenant pour les étirements actifs isolés, qui consistent à effectuer des mouvements doux et répétitifs. Selon plusieurs experts, ce type de préparation serait beaucoup plus efficace.
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Vers un traitement de la dystrophie musculaire

Une étude publiée dans The Lancet Neurology nous apprend que des chercheurs britanniques ont mis au point un traitement contre la dystrophie musculaire de Duchenne.

Cette technique consiste à injecter dans les muscles des molécules d’oligonucléotides qui favorisent la production de la dystrophine, une protéine en carence lors de la maladie dégénérative.

Bien que ce traitement ne soit efficace que sur 13 % des patients souffrant de dystrophie musculaire de Duchenne, les chercheurs de l’Institute of Child Health de l’University College London ont espoir que leur découverte puisse s’appliquer à davantage de patients souffrant de cette maladie qui frappe un homme sur 3 500 et entraîne le décès avant l’âge de 30 ans.

Ces derniers ont travaillé avec sept patients atteints de la maladie. Après l’injection des molécules, tous ont connu une hausse de la production de la dystrophine dans leurs muscles.

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Les hormones de croissance contre la perte de masse musculaire

Selon une étude britannique, des hommes âgés ayant reçu une hormone de croissance, connue sous le nom de « facteur de croissance mecano (MGF) », auraient augmenté leur masse musculaire.

Le MGF est produit naturellement lorsque les muscles sont tendus lors d’exercices physiques. Avec l’âge, le niveau de MGF baisse et, combiné à un manque d’exercice, il en résulte de l’atrophie musculaire, donc plus de fragilité.

Cette hormone de croissance aide à conserver la force chez les hommes âgés et est aussi bénéfique pour les gens qui ne peuvent pas faire des exercices intenses parce qu’ils souffrent de dystrophie musculaire, de sclérose en plaques, de maladie rénale ou d’un cancer.

Le MGF aide à ralentir la perte des muscles. Il pourrait même aider les astronautes qui perdent de la masse musculaire lors de voyages dans l’espace en raison de l’apesanteur.

Par contre, le MGF est aussi une source de dopage dans les sports.

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Des problèmes de santé chez les buveurs de boissons gazeuses

Une recherche menée par le Dr Moses Elisaf et son équipe, de l’Université de Ioannina en Grèce, démontre qu’une chute du taux de potassium sanguin causée par une trop grande consommation de boissons gazeuses pourrait augmenter l’incidence de sérieux problèmes musculaires et cardiaques.

Selon les chercheurs, l’hypokaliémie chronique, un niveau de potassium trop faible dans le sang, peut malheureusement amener des complications qui peuvent être mortelles comme des troubles du rythme cardiaque, des faiblesses musculaires, des crampes, des palpitations et des nausées.

Ce phénomène est attribué à trois composants des boissons gazeuses : le glucose, le fructose et la caféine.