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Troubles alimentaires : les garçons se soucient de plus en plus de leur image

Seulement aux États-Unis, selon Science World Report, c’est 20 millions de femmes et 10 millions d’hommes qui vivent avec un trouble alimentaire de taille durant leur vie. Cela inclut bien sûr l’anorexie et la boulimie, mais également l’hyperphagie boulimique, moins connue, ainsi que d’autres troubles non spécifiques.

Une récente étude spécifie que bien qu’il soit plus fréquent chez les femmes d’être aux prises avec ces troubles, les jeunes hommes (adolescents) ont de plus en plus de difficulté avec leur image corporelle.

Sur les 5527 adolescents interrogés, près de 18 % étaient soucieux de leur image, surtout au niveau de la corpulence de leurs muscles.

Comme l’indique la responsable de la recherche, Alison Field, du Children’s Hospital Adolescent Medicine Division de Boston, dans un communiqué : « Les hommes et les femmes n’ont pas du tout les mêmes préoccupations quant à leur image ». Alors que les filles recherchent la minceur, les garçons veulent des muscles développés.

Ainsi, lorsqu’on parle de troubles de l’alimentation chez les garçons, il faut plutôt regarder du côté des suppléments protéinés, des hormones de croissance ou des stéroïdes consommés par ceux-ci.

Field met les parents en garde. Regardez ce que votre adolescent consomme!

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Lueur d’espoir pour les enfants atteints de paralysie cérébrale

Dre Kuschmann, travaillant à la Strathclyde’s School of Psychological Sciences and Health, souhaite découvrir à quel niveau la parole est affectée par les dommages au cerveau dans les cas de paralysie cérébrale infantile. Mais elle doit également comprendre en quoi ces dommages affectent les mouvements musculaires responsables de l’élocution.

Selon MedicalXpress, elle est convaincue qu’au terme de cette recherche, les spécialistes seront en mesure de déterminer des thérapies mieux adaptées à ces enfants, puisque la paralysie cérébrale affecte chacun de façon différente. Cependant, dans tous les cas, les difficultés prosodiques, soit de l’intonation et des mouvements de la langue pour émettre des sons distincts, sont conséquentes de la maladie.

« Cette analyse se fera auprès de 40 enfants âgés de 7 à 16 ans, relativement aux modèles de discours qu’ils utilisent, informe Kushmann. La paralysie cérébrale peut affecter le langage, puisqu’on a besoin de nos muscles pour contrôler notre langue et nos lèvres, pour prononcer les sons adéquatement. Cela influence notre façon d’articuler chaque intonation et nous permet, entre autres, de faire des affirmations et de donner de l’émotion à nos paroles. »

Dre Kuschmann a très à cœur cette recherche qui s’étendra sur une période de 3 ans, puisqu’elle conçoit que l’expression individuelle et la communication sont les plus gros obstacles au développement des jeunes atteints de paralysie cérébrale.

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Des jouets qui causent l’anorexie chez les garçons

G.I. Joe, Superman et tous les autres sont un exemple de courage pour plusieurs petits garçons, mais aussi de corps parfait.

Sculptés avec leurs multiples abdominaux, ils sont minces et bien musclés, avec un visage bien structuré agrémenté d’une chevelure cirée, volumineuse et bien coiffée.

Très jeunes, les garçons, tout comme les fillettes avec leurs poupées Barbie, ont pour modèles leurs jouets favoris.

À ce sujet, la thérapeute américaine Niquie Dworkin explique sur le site 7sur7.be que les garçons pensent que le corps de leurs personnages préférés en plastique est la norme.

« Les petits garçons sont aussi exposés à des images d’hommes surréalistes », dit-elle.

Ainsi, en vieillissant, si plusieurs filles sont portées à se priver de nourriture ou à se rendre malades pour garder la ligne, les garçons sont extrémistes en salles de sport et tentent à tout prix d’avoir une belle carrure avec de gros muscles. Plusieurs se tournent même trop souvent vers les stéroïdes.

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La caféine permet de conserver le tonus musculaire

Selon les observations d’une équipe de l’Université de Convetry, la caféine stimule la puissance des muscles et aide les personnes âgées à conserver un bon tonus musculaire, ce qui permet de réduire les risques de chutes et de blessures.
 
Ces résultats ont été présentés à la réunion de la Society for Experimental Biology.
 
Naturellement, avec l’âge, les muscles deviennent plus faibles, mais cela pourrait être réduit avec la caféine.
 
Des tests menés sur des souris démontrent que chez les rongeurs plus âgés, on note une amélioration du tonus musculaire sur deux muscles qui ont été sélectionnés, soit le diaphragme à la base de la respiration et le muscle long extenseur des orteils utilisé pour la locomotion.
 
Chez les souris adultes en pleine fleur de l’âge, on observe même une force musculaire accrue. Par contre, pour les jeunes souris, on n’observe aucun effet de la caféine sur les muscles en développement.
 
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Une carence en vitamine D liée à une faiblesse musculaire

Deux nouvelles études confirment qu’une carence en vitamine D est non seulement liée à une faiblesse osseuse, mais aussi musculaire, rapporte Le Quotidien du médecin.
 
La vitamine D est primordiale pour maintenir une bonne santé. Malheureusement, il y a une carence chez de nombreuses personnes, car la principale source de vitamine D est le soleil.
 
Les études présentées au congrès de l’Académie des chirurgiens orthopédiques américains mentionnent qu’un manque en vitamine D est lié à une faiblesse musculaire, des fractures plus fréquentes et un retard de la consolidation des os.
 
Chez 1830 personnes ayant eu un traumatisme orthopédique, on a noté une carence chez 39 % d’entre elles et une insuffisance chez 38,4 %.
 
« Les praticiens devraient vérifier le taux de vitamine D chez les patients ayant subi un traumatisme afin d’optimiser leurs chances de récupération osseuse », disent les auteurs.
 
La deuxième étude réalisée sur 104 femmes ménopausées ayant eu des fractures et 107 personnes formant un groupe témoin démontre également que le groupe des fractures marquait de nettes carences en vitamine D.
 
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Une carence en vitamine D liée à une faiblesse musculaire

Deux nouvelles études confirment qu’une carence en vitamine D est non seulement liée à une faiblesse osseuse, mais aussi musculaire, rapporte Le Quotidien du médecin.
 
La vitamine D est primordiale pour maintenir une bonne santé. Malheureusement, il y a une carence chez de nombreuses personnes, car la principale source de vitamine D est le soleil.
 
Les études présentées au congrès de l’Académie des chirurgiens orthopédiques américains mentionnent qu’un manque en vitamine D est lié à une faiblesse musculaire, des fractures plus fréquentes et un retard de la consolidation des os.
 
Chez 1830 personnes ayant eu un traumatisme orthopédique, on a noté une carence chez 39 % d’entre elles et une insuffisance chez 38,4 %.
 
« Les praticiens devraient vérifier le taux de vitamine D chez les patients ayant subi un traumatisme afin d’optimiser leurs chances de récupération osseuse », disent les auteurs.
 
La deuxième étude réalisée sur 104 femmes ménopausées ayant eu des fractures et 107 personnes formant un groupe témoin démontre également que le groupe des fractures marquait de nettes carences en vitamine D.
 
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Une hormone de grossesse aux grands espoirs

Des chercheurs de l’Université d’Ottawa ont récemment présenté leurs conclusions quant à l’effet d’une hormone de grossesse, la prolactine, sur la santé des bébés atteints d’amyotrophie spinale.

Ce type de maladie génétique consiste principalement en l’atrophie et la faiblesse des muscles ainsi qu’une perte du contrôle moteur. Plus de 1 000 enfants canadiens en sont atteints. Ceux qui en sont le plus sérieusement atteints survivent rarement au-delà de leurs 5 ans.

Comme lu dans le Journal of Clinical Investigation, on cherche depuis longtemps à activer le gène perdu en raison de l’amyotrophie musculaire. Les chercheurs d’Ottawa ont ainsi présenté la forte activation remarquée jusqu’ici.

Dans l’expérimentation menée par le Children’s Hospital of Eastern Ontario Research Institute, laquelle a porté sur des souris, la prolactine a non seulement activé le gène en question, mais elle a aussi prolongé de 60 % la vie d’un sujet atteint. Une amélioration a aussi été relevée quant au contrôle moteur.

On s’attend à ce que des essais précliniques et des essais cliniques sur l’effet de la prolactine sur des patients humains atteints d’amyotrophie spinale suivent à court ou moyen terme.

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De l’espoir quant à une maladie héréditaire

Il serait possible qu’un traitement voie le jour pour soigner l’amyotrophie spinale, laquelle représente la première cause génétique de décès chez les bébés de moins de deux ans.

Rappelons que l’amyotrophie spinale, parfois appelée maladie de Lou Gehrig, est en fait un regroupement de maladies héréditaires. Elle se reconnaît par l’atrophie des muscles, ce qui les affaiblit.
 
Or, on apprend dans Proceedings of the National Academy of Sciences que des chercheurs du Children’s Hospital de Boston auraient ciblé un gène qui détiendrait peut-être la réponse à ce mal.
 
Il semble qu’une mutation ou une perte dans le gène de la maladie (le SMA, pour spinal muscular aptrophy) causerait une dégénérescence progressive et une faiblesse des muscles. La maladie de Lou Gehrig sera donc comprise d’une tout autre façon et on envisage déjà un traitement futur.

Pour l’instant, cette affection n’est pas traitable; ses symptômes ne peuvent qu’être soulagés. L’amyotrophie musculaire touche 1 enfant sur 6 000 à 10 000. Les spécialistes soutiennent toutefois que 1 personne sur 35 à 40 en serait porteuse.

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Les étirements ne préviennent pas les blessures

Allant à contre-courant des croyances populaires, une étude américaine a démontré que les étirements que nous faisons avant d’aller courir ne préviennent pas les blessures, lisons-nous sur Mail Online.

Toutefois, si une période d’échauffement est déjà incluse dans vos entraînements sportifs, ne changez pas vos habitudes, car vous pourriez vous blesser en changeant de routine.

L’étude dont il est question ici a porté sur 2 729 coureurs qui courent au moins 16 kilomètres (10 miles) par semaine. Parmi eux, avant d’aller courir, 1 366 faisaient partie d’un groupe d’étirements et 1 363 n’en faisaient pas. La période d’échauffement, s’il y en avait une, durait de trois à cinq minutes.

Aucune différence quant aux blessures n’a été observée d’un groupe à l’autre. C’est qu’en réalité, les véritables facteurs résideraient en les blessures chroniques ou celles survenues dans les quatre mois précédents, car elles entraînent souvent une augmentation de l’indice de masse corporelle et des changements dans la routine d’étirements.

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Une meilleure récupération avec du jus de cerise

Le Telegraph rapporte une étude sur les bienfaits du jus de cerise. Des athlètes se sont prêtés à l’exercice : pendant une semaine, certains ont reçu du jus de cerise avant et après un entraînement musculaire intense, deux fois par jour.
 
Le concentré de jus de cerise permettait une récupération beaucoup plus rapide qu’avec tout autre jus.
 
Les participants ayant bu le jus de cerise avaient retrouvé 90 % de leur force musculaire normale après seulement 24 heures, comparativement à 84 % chez ceux qui n’avaient pas eu de jus de cerise. Cet écart peut avoir une influence sur les performances des athlètes.
 
On croit que les antioxydants du jus de cerise permettent de réduire les dommages aux tissus musculaires en plus de l’inflammation reliée aux maladies cardiaques et à l’arthrite.