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Le Musée Olympique à nouveau ouvert fin décembre

Une exposition sera consacrée à la métamorphose de l’établissement, situé à Lausanne en Suisse, jusqu’au 15 janvier 2014. Une autre suivra en l’honneur des Jeux olympiques d’hiver 2014 de Sotchi, en Russie, intitulée Les Avants-gardes russes et le sport, du 24 janvier au 11 mai 2014.

Avec une surface totale doublée, passant à quelque 3000 mètres carrés, le musée se compose désormais de trois niveaux pour l’exposition permanente qui retrace toute l’histoire de Jeux olympiques, de l’Antiquité à nos jours.

Une galerie d’exposition gratuite a été aménagée, ainsi qu’un restaurant et une boutique. Pour les enfants, le musée accueillera en avril 2014 deux espaces d’apprentissage pour familiariser les plus jeunes avec l’esprit olympique.

Mais l’attrait du musée est également à l’extérieur. En entrant dans l’enceinte, le visiteur pourra se promener dans un parc réaménagé où se mêlent des oeuvres de Niki de Saint-Phalle, de Botero ou encore de Folon à des installations sportives comme notamment une piste d’athlétisme et un sautoir de saut en longueur.

Pierre de Coubertin est bien évidemment à l’honneur avec sa statue qui trône à l’entrée du Musée, tout comme la fameuse flamme symbole de l’Olympisme, installée dans une vasque.

À ouverture exceptionnelle, célébration exceptionnelle : durant le week-end du 21 et 22 décembre, les visiteurs pourront rencontrer des athlètes « qui ont fait l’histoire olympique », précise le musée. 

Le nouveau site internet du musée, olympic.org/musee, sera quant à lui en ligne le 21 novembre.

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Les secrets de Pixar au musée Art Ludique à partir du 16 novembre

Le studio d’animation inaugurera ce nouveau haut lieu de la culture populaire, situé aux Docks de Paris dans le 13e arrondissement, avec l’exposition Pixar, 25 ans d’animation.

Du 16 novembre 2013 au 2 mars 2014, les fans de Pixar pourront découvrir les coulisses de la firme pionnière en matière d’animation par ordinateur avec l’arrivée en France d’une exposition née à New York en 2006 au musée d’art moderne (MoMA).

Plus de 500 pièces, dont des story-boards, sculptures, dessins rares et autres curiosités, seront visibles au total. 

Pixar, 25 ans d’animation tâchera d’imposer le credo d’Art ludique, entre art contemporain, industries de l’imaginaire et grand public en abordant cinéma, jeux vidéo, manga et bande dessinée.

Une collection permanente riche d’oeuvres d’artistes mariant narration et figuration est aussi visible.

Plus d’infos sur Pixar, 25 ans d’animation : artludique.com/exposition.html.
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Un musée consacré à Diderot et au Siècle des Lumières sera inauguré le 5 octobre à Langres

Ce lieu ouvrira ses portes au public dans la cité natale du philosophe, dont on célèbre cette année le tricentenaire de la naissance. 

La Maison des Lumières Denis Diderot, installée dans l’hôtel du Breuil de Saint-Germain, construit au XVIe siècle et augmenté d’un bâtiment du XVIIIe siècle, proposera entre autres une édition originale de l’Encyclopédie, l’oeuvre la plus célèbre du philosophe, romancier, critique d’art, dramaturge et homme de science qui a vu le jour le 5 octobre 1713 à Langres, et est décédé le 31 juillet 1784 à Paris. 

Une collection exceptionnelle de 250 oeuvres originales constituée d’objets personnels, d’éditions originales des textes de Diderot ou encore des planches de l’Encyclopédie sera exposée dans un espace dédié de 400 m2. Le musée présentera également de nombreux objets représentatifs de l’élan d’ouverture et de découverte du Siècle des Lumières, comme un globe de poche de 1791 ou un planétaire de 1775. 

Le musée, lieu d’échange, de réflexion et de partage, offrira au visiteur un espace pédagogique, un café littéraire et un « laboratoire d’idées ». 

Maison des Lumières Denis Diderot, 1 place Pierre Burrelle, 52 000 Langres. Site : www.maisondeslumieres.org.

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Le musée des Arts Décoratifs consacre une exposition au bijou contemporain

Sous la forme d’un "parcours du bijou contemporain" disséminé dans tout le musée, les visiteurs pourront admirer le travail fascinant et innovant de 55 joailliers français indépendants lors de l’exposition Dans la ligne de mire.

Dans le cadre des Circuits Bijoux à Paris, organisés par les Ateliers d’Art de France de septembre 2013 à mars 2014, le musée des Arts Décoratifs se parera des créations contemporaines françaises de 55 artistes joailliers.

L’exposition propose une scénographie originale sous la forme d’un parcours, non pas exclusivement consacré aux bijoux, mais habilement réparti entre toutes les salles du musée. Les créations seront intégrées aux objets, au mobilier ou encore disposées dans les départements chronologiques, du Moyen Âge à la période contemporaine.

Certaines installations, orchestrées par le designer Arik Levy après sa collaboration avec Swarovski, prendront une ampleur particulière sous forme de grandes sculptures-cages, par exemple.

Dans la ligne de mire présente le travail de créateurs indépendants peu connus du grand public, mais également des bijoux de couture avec la maison Chanel, Lanvin, Camille Lescure ou encore Mouton Collet, ainsi que des pièces de haute bijouterie avec Hermès, Boucheron et Dior.

L’exposition sera mise en place du 19 septembre 2013 au 2 mars 2014.

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Cet automne, le musée d’Orsay déshabille les hommes

L’homme nu « dans tout l’éclat de sa beauté » : le musée d’Orsay ose à la rentrée une exposition « ludique et savante », exclusivement dédiée au mâle non vêtu qui met en avant la charge homoérotique de certaines oeuvres.

Masculin/Masculin, qui présentera 200 oeuvres de 1800 à nos jours, ouvrira ses portes le 24 septembre, mais d’ores et déjà, l’exposition éveille la curiosité. « Il commence à y avoir un petit bruit autour d’elle. Je reçois pas mal d’appels pour savoir ce que c’est exactement », se félicite Guy Cogeval, président du musée d’Orsay, dans un entretien à l’AFP.

Alors que le nu féminin s’expose régulièrement et naturellement, l’homme nu « n’a pas eu la même faveur », relève l’établissement public, qui assure qu’il n’y a pas eu de grande exposition sur ce thème dans un musée avant celle du Leopold Museum de Vienne à l’automne 2012.

« Cela faisait longtemps que j’avais envie de traiter ce thème. Il y a une quinzaine d’années, alors que j’étais directeur du musée des Beaux-arts de Montréal, j’avais envisagé de la faire, mais on m’avait expliqué que ce serait malvenu », raconte M. Cogeval, qui préside Orsay depuis 2008.

Guy Cogeval s’est inspiré de l’exposition Hommes nus du Leopold Museum, mais il souligne qu’elle a été largement repensée. « Sur les 200 oeuvres environ que nous présentons, seulement vingt sont communes à l’exposition de Vienne. »

Orsay n’a pas gardé l’affiche de l’exposition du Leopold Museum, qui avait fait scandale en Autriche. Elle reproduisait une oeuvre des artistes Pierre & Gilles intitulée Vive la France (2006) et montrant trois joueurs de foot aux attributs masculins bien visibles. Face aux protestations, le Leopold Museum avait dû cacher le sexe des modèles avec un rectangle rouge.

Le visiteur français pourra retrouver cette oeuvre dans l’exposition d’Orsay, mais pas dans les couloirs du métro parisien. Comme affiche, Orsay a choisi un autre Pierre & Gilles, un Mercure, de dos, à côté d’un Berger Pâris (1787), montré de face. Cette oeuvre de Jean-Baptiste Desmarais, prêtée par le Musée des Beaux-Arts d’Ottawa, est « une icône apollinienne de la culture gaie canadienne », selon M. Cogeval.

Masculin/Masculin, qui se tiendra jusqu’au 2 janvier, présentera des peintures et des sculptures, mais aussi « beaucoup de photographies, car l’un des thèmes traités est l’homoérotisme, qui parcourt toute l’exposition », déclare M. Cogeval. « Les premiers grands artistes qui ont été ouvertement homosexuels sont généralement des photographes », assure-t-il, en citant notamment le baron allemand von Gloeden et l’Américain Fred Holland Day.

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Le musée Rodin à Paris rend hommage à Camille Claudel

Une vingtaine d’œuvres rares de Camille Claudel seront exposées du 1er au 21 octobre 2013 au musée Rodin, à Paris. L’établissement rend ainsi hommage à la célèbre sculptrice à l’occasion du 70e anniversaire de sa disparition, survenue le 19 octobre 1943, à l’âge de 79 ans. 

Le musée Rodin présentera toutes les œuvres de l’artiste en sa possession. Cette exposition sera accompagnée d’un programme de visites, de médiation et de théâtre. Une journée d’étude sera organisée le vendredi 25 octobre en collaboration avec la Maison des Écrivains et de la Littérature sur le thème « Danger et nécessité de l’œuvre ».

Considérée comme une artiste majeure du XIXe siècle, Camille Claudel entre à 19 ans dans l’atelier d’Auguste Rodin en tant qu’élève. Les deux sculpteurs entretiennent ensuite une relation tumultueuse, amoureuse et artistique.

Après 10 ans de passion, de travail et de déceptions, Camille Claudel s’émancipe de la tutelle de son maître et se consacre exclusivement à sa carrière. À l’apogée de son art, elle livre notamment Les Causeuses et La Vague. Elle est internée pour démence à la demande de sa famille en 1913 et cesse définitivement de sculpter. Elle s’éteint dans la solitude de l’asile de Montdevergues, 30 ans plus tard.

(Hommage à Camille Claudel au musée Rodin, du 1er au 21 octobre 2013, 79 rue de Varenne 75007 Paris. Site web : www.musee-rodin.fr)

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Le musée des costumes de Moulins en piste pour le cirque

De la veste à brandebourgs de Monsieur Loyal aux chaussures déformées du clown : tout le vestiaire du cirque est exposé à Moulins (Allier), au Centre national du costume de scène (CNCS), premier musée voué au patrimoine matériel du spectacle.

Cette ancienne caserne de cavalerie classée monument historique abrite quelque 10 000 pièces — habits, chaussures et couvre-chefs d’opéra, de danse, de théâtre — qui n’en sortent que pour des expositions temporaires, en raison de la fragilité des textiles.

Jusqu’au 5 janvier, l’endroit prend des allures de chapiteau, paré de velours rouge et de broderies or, le temps de l’exposition En piste! qui transporte le visiteur dans l’univers magique et rocambolesque du cirque.

Il s’immisce d’abord dans les coulisses, pour découvrir l’ambiance feutrée de la loge Fratellini, ses masques de cire, faux nez sur mesure et trousses de maquillage. Le visiteur devenu spectateur est ensuite accompagné par les garçons de piste jusqu’à l’entrée du maître de manège, Monsieur Loyal.

Les premiers du genre, tout comme les premières écuyères, portaient des costumes de style très militaire, avec vestes à brandebourgs et stricts képis. Un héritage des origines du cirque moderne, fondé en 1768 par un officier anglais, Philip Astley, à base d’acrobaties à cheval.

Le vestiaire du cirque s’affranchit ensuite de ces influences pour en adopter d’autres : celle de la danse avec le tutu des acrobates féminines ou celui de la commedia dell’arte pour la figure du clown.

Le CNCS consacre deux grandes vitrines à ce personnage incontournable du cirque, dont le costume conditionne le jeu, du clown blanc aux airs de Pierrot rêveur, au clown Auguste ridicule avec ses chaussures difformes, son noeud papillon de guingois et sa veste aux tons criards.

Certaines pièces portent encore des traces de la dure vie des saltimbanques, comme cette veste verte tachée de sang après une griffure de tigre, propriété du dresseur vedette Günther Gebel-Williams du Ringling Bros. and Barnum & Bailey Circus, l’un des plus grands cirques américains.

En piste! est la 16e exposition présentée par le CNCS depuis son ouverture en 2006, après les costumes de pouvoir, les vestiaires de divas ou encore deux expositions consacrées à Christian Lacroix, président du centre.

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Le musée Würth d’Erstein, écrin d’une passion pour l’art

En pleine zone industrielle, au sud de Strasbourg, se dresse un musée d’art contemporain : l’un des quinze édifiés à travers l’Europe par l’entrepreneur allemand Reinhold Würth, surnommé le « roi de la vis », pour qui art et affaires vont de pair.

Le musée Würth d’Erstein est l’un des trois plus grands musées de son groupe, avec ceux de Schwäbisch Hall (Allemagne) et La Rioja (Espagne). Tous sont construits à proximité immédiate d’une filiale de cette multinationale spécialisée dans les vis, écrous et fixations en tous genres.

Le résultat est pour le moins surprenant : le siège administratif de Würth France et son centre logistique côtoient ainsi un parallélépipède de béton brut et de verre, aux éclairages savamment étudiés pour mettre au mieux en valeur sculptures et toiles des plus grands noms de l’art contemporain.

Entre le flanc gauche du musée et le siège administratif un jardin paysager de cinq hectares et son étang où évoluent des carpes ajoutent une touche de nature à l’ensemble.

Ouvert en 2008, le musée d’Erstein a battu cette année ses records de fréquentation avec 42 000 visiteurs à ce jour pour son exposition L’appel de la Forêt, qui présente pêle-mêle un arbre emballé de Christo et des œuvres graphiques du Britannique David Hockney, de l’expressionniste Max Beckmann et du surréaliste Max Ernst, exclusivement tirées de la collection Würth.

Celle-ci compte aujourd’hui 16 000 œuvres de quelque 2500 artistes, dont une importante concentration d’œuvres d’Anselm Kiefer, Beckmann, Ernst et Christo, qui tournent dans les différents musées du groupe. S’y ajoutent depuis peu des peintures de maîtres anciens, comme la Madonne de Darmstadt, de Hans Holbein le jeune (1526/1528).

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À Souillac, l’art qui imite la vie

Le Tout-Paris se pressait jadis devant les grands magasins pour admirer les vitrines animées par des automates, mais aujourd’hui, pour voir la grosse dame tenter d’empêcher un poisson de gober son frêle mari, il faut chercher longtemps.

Le musée de l’automate de Souillac présente au public une collection originale de jouets mécaniques et d’automates datant de la fin du XIXe siècle et de la première moitié du XXe. « Unique en Europe » par sa taille, l’endroit est « représentatif de la grande épopée » de ces objets animés très en vogue à l’heure où le cinéma existait à peine et la télévision encore moins, explique Klaus Lorenz, le conservateur et restaurateur de la collection.

La plupart des centaines d’objets exposés ont été fabriqués à Paris par la famille Roullet-Decamps, dont les ateliers ont fini par fermer leurs portes en 1995, victimes de la concurrence des jouets « made in China ».

Depuis l’Antiquité, « les hommes cherchent à imiter la vie », dit Klaus Lorenz. Mais au XIXe siècle, l’évolution des procédés de fabrication a permis la production en série des automates, qui ont cessé d’être des objets de luxe uniquement destinés à égayer les cours royales et se sont ouverts à un public « plus classe moyenne ».

Outre les jouets, les ateliers se sont mis à produire des automates publicitaires à l’image de la « laveuse » au baquet qui vante le nettoyage du bébé au savon d’une marque aujourd’hui défunte. Des « chorégraphies » entières ont aussi été inventées pour les vitrines de grands magasins parisiens, mais aussi de la Belgique et de l’Angleterre, ajoute le conservateur.

Jazz band et pêche sous-marine

À Paris, ces scènes animées par des automates électriques installés dans les vitrines de Noël drainaient des milliers de personnes. Beaucoup ont disparu, à l’instar du tableau dépeignant en 1909 « l’arrivée de l’amiral Peary au Pôle Nord ».

Mais le public peut encore en admirer certaines à Souillac (d’autres sont exposées au musée des automates de Falaise, dans le Calvados), telle la scène du quai de métro présentant des oies échappées d’un panier de paysannes qui provoquent l’affolement général.

Le jazz band a aussi beaucoup de succès auprès des visiteurs, de même que la « pêche sous-marine », qui vient tout juste de sortir des réserves pour être restaurée. Créée pour les vitrines des Galeries Lafayette en 1948 d’après une œuvre du dessinateur humoristique Albert Dubout, la scène a pour personnages centraux une dame bien en chair qui tente de sauver son minuscule époux de la gueule grande ouverte d’un poisson.

Aujourd’hui, les automates des grands magasins ont quasiment disparu, cédant la place à des marionnettes animées à l’aide de fils.

Si ces scènes animées sont très complexes, la conception des automates, qu’ils soient mécaniques ou électriques, est elle aussi « très élaborée », souligne Klaus Lorenz. Des leviers responsables « d’un seul mouvement » sont actionnés par des roues dentées. « Les créateurs devaient avoir une pensée trois dimensionnelle ».

Le musée a été inauguré en 1988. La maison Roullet-Decamps avait l’habitude d’organiser des expositions temporaires de ses pièces et était venue plusieurs fois à Souillac. De son côté, la commune ne savait que faire du vaste bâtiment laissé en friche par la Seita jouxtant sa très belle abbatiale. L’État a fait le reste en rachetant les pièces, se rappelle Corine Ayat, adjointe à la Culture de cette commune de 4 000 habitants.

L’endroit attire 22 000 visiteurs par an, dont certains viennent de très loin. Mais madame Ayat aimerait faire venir plus de monde dans le petit musée insolite (www.musee-automate.fr). « La région est très attirante pour le tourisme culturel », mais le musée, « ça change des vieilles pierres », dit-elle.

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Lady Gaga, prochaine pensionnaire du Grévin

La chanteuse Lady Gaga va intégrer mardi prochain (2 juillet) le musée Grévin à Paris, à l’occasion de l’inauguration — en son absence — de son double de cire, a annoncé l’institution parisienne.

« L’emploi du temps de l’artiste ne lui a pas permis de suivre la création de son personnage », précise le musée Grévin, dont le sculpteur Jean-Baptiste Seckler et les ateliers ont travaillé à partir de photos et de vidéos.

Le perruquier et créateur français Charlie Le Mindu, qui travaille régulièrement avec Lady Gaga pour ses tenues de scène extravagantes, a toutefois supervisé le processus de création.

Le double de cire de la star portera une tenue qu’il a créée et que Lady Gaga a réellement portée : une robe formée avec de véritables cheveux, et son chapeau assorti.

La statue, qui sera installée dans la salle des Colonnes du musée, aura pour plus proches voisins Céline Dion, Brad Pitt et George Clooney.

« Excentrique, audacieuse et talentueuse, Lady Gaga est l’une des chanteuses les plus emblématiques et les plus adulées dans le monde », estime le musée, soulignant « le parcours brillant d’une star hors normes devenue une icône planétaire ».