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Une découverte pour le traitement des cancers pédiatriques

Cette découverte peut avoir des conséquences importantes sur le traitement de cancers infantiles, notamment sur celui du cerveau, un cancer mortel qui est insensible à la chimiothérapie et la radiothérapie.

Pour une première fois, les chercheurs ont identifié deux mutations génétiques qui sont responsables, jusqu’à 40 %, des glioblastomes chez les enfants.

L’un de ces gènes est gardien du patrimoine génétique. Il est un élément clé dans la modulation de l’expression de nos gènes. Lors de mutations, celles-ci empêchent les cellules de différencier normalement et d’aider à protéger l’information génétique de la tumeur, ce qui la rend moins sensible à la radiothérapie et la chimiothérapie.

Publiée dans la revue Nature, l’étude révèle qu’une équipe de recherche internationale, dirigée par l’Institut de recherche du Centre universitaire de santé McGill (IR CUSM), a fait une percée majeure génétique qui pourrait changer la façon dont les cancers pédiatriques sont traités à l’avenir.

La réglementation inappropriée de ce gène a aussi été observée pour d’autres cancers tels que du colon, du pancréas, le lymphome et la leucémie. Des recherches futures pourraient donc révéler des traitements améliorés pour ces maladies.

Les tumeurs cérébrales sont la principale cause de décès chez les enfants atteints de cancer en Europe et en Amérique du Nord. Le diagnostic de glioblastome chez un enfant ou un adolescent demeure une condamnation à mort, et environ 200 enfants au Canada meurent chaque année de ce cancer. La plupart des enfants vont mourir dans les deux ans suivant leur diagnostic, indépendamment du traitement.

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Une découverte pour le traitement des cancers pédiatriques

Cette découverte peut avoir des conséquences importantes sur le traitement de cancers infantiles, notamment sur celui du cerveau, un cancer mortel qui est insensible à la chimiothérapie et la radiothérapie.

Pour une première fois, les chercheurs ont identifié deux mutations génétiques qui sont responsables, jusqu’à 40 %, des glioblastomes chez les enfants.

L’un de ces gènes est gardien du patrimoine génétique. Il est un élément clé dans la modulation de l’expression de nos gènes. Lors de mutations, celles-ci empêchent les cellules de différencier normalement et d’aider à protéger l’information génétique de la tumeur, ce qui la rend moins sensible à la radiothérapie et la chimiothérapie.

Publiée dans la revue Nature, l’étude révèle qu’une équipe de recherche internationale, dirigée par l’Institut de recherche du Centre universitaire de santé McGill (IR CUSM), a fait une percée majeure génétique qui pourrait changer la façon dont les cancers pédiatriques sont traités à l’avenir.

La réglementation inappropriée de ce gène a aussi été observée pour d’autres cancers tels que du colon, du pancréas, le lymphome et la leucémie. Des recherches futures pourraient donc révéler des traitements améliorés pour ces maladies.

Les tumeurs cérébrales sont la principale cause de décès chez les enfants atteints de cancer en Europe et en Amérique du Nord. Le diagnostic de glioblastome chez un enfant ou un adolescent demeure une condamnation à mort, et environ 200 enfants au Canada meurent chaque année de ce cancer. La plupart des enfants vont mourir dans les deux ans suivant leur diagnostic, indépendamment du traitement.

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Le diabète de type 2 lié aux troubles de sommeil?

Les troubles du sommeil pourraient, dans certains cas, favoriser le développement du diabète de type 2. Ce problème serait dû à un gène qui joue un rôle clé sur notre horloge biologique.
 
Selon le Nature Genetics, les chercheurs ont finalement découvert pourquoi certaines personnes avec des troubles du sommeil étaient plus à risque de développer la forme la plus répandue du diabète.
 
C’est en effectuant des recherches sur le récepteur de la mélatonine, l’hormone de la nuit, que les scientifiques ont trouvé une explication. La mélatonine est produite par le cerveau lorsque la lumière du jour décroît. On a séquencé le gène MT2 qui commande la synthèse de ce récepteur sur 7600 personnes.
Les chercheurs ont alors découvert 40 mutations rares qui modifient la structure protéique du récepteur, et 14 le rendent même totalement inopérant.
 
Les personnes porteuses de cette mutation sont insensibles à la mélatonine et sept fois plus à risque de développer le diabète de type 2. Toutefois, cela ne représenterait que 1 à 2 % des cas de diabète de type 2.
 
Cette découverte pourrait tout de même mener à de meilleurs traitements pour certaines personnes.
 
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Une mutation génétique augmente les risques de cancer de la prostate

Des chercheurs ont découvert que chez les hommes ayant des antécédents familiaux de cancer de la prostate, un gène défectueux multiplie de 10 à 20 fois les risques de développer un cancer également.
 
Cette découverte pourrait mener à la création d’un test qui permettrait de voir si les hommes avec des membres de leur famille ayant reçu un diagnostic défavorable ont ce gène qui augmente leur chance de développer la maladie.
 
C’est la première fois qu’une étude identifie une mutation génétique pour les cancers de la prostate héréditaires.
 
Moins de deux pour cent des cas de cancer de la prostate seraient liés à cette mutation génétique, mais la présence de ce gène défectueux augmente les risques de développement la maladie de 10 à 20 fois.
 
Les chercheurs ont travaillé pendant 20 ans sur la génétique de ce type de cancer, indique le New England Journal of Medicine.
 
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Un lien entre le cancer de la peau et celui des reins

Il n’est pas rare qu’un cancer des reins soit diagnostiqué après avoir décelé un cancer de la peau.
 
Les chercheurs se sont penchés sur le phénomène, et une équipe française a découvert qu’une mutation génétique prédisposait au mélanome (cancer de la peau) et au carcinome (cancer des reins).
 
Cette mutation se trouve sur le gène MITF et provoque une suractivité du gène, augmentant ainsi les risques de maladie.
 
À l’Institut de cancérologie Gustave Roussy, on mentionne que 8 % des personnes étudiées possédaient cette anomalie.
 
Cette découverte ouvre la voie à des tests qui pourraient être effectués afin de surveiller les personnes à risque qui possèdent cette mutation. Ainsi, la maladie pourrait être diagnostiquée très tôt, augmentant les chances de guérison.
 
Cette année seulement, on a enregistré 5100 nouveaux cas de cancer de la peau au Canada et 5500 cas de cancer des reins.
 
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Déjà une mutation du virus A (H1N1)

En Norvège, deux personnes sont mortes du virus H1N1 ayant subi une mutation et une autre est gravement malade.

Selon les rapports, ce virus mutant pénètre plus profondément dans les voies respiratoires. L’Organisation mondiale de la santé précise, vu le manque d’information, qu’il est difficile d’évaluer la signification de cette découverte.

Par contre, on mentionne que la mutation du virus répond aux antiviraux et que le vaccin actuel protège également contre celle-ci.

En Norvège, le virus H1N1 a infecté 680 000 personnes et a fait 23 victimes. Dans d’autres laboratoires du monde, au Brésil, en Chine, au Japon, au Mexique, en Ukraine et aux États-Unis, on a aussi constaté une mutation du virus chez des cas mortels et bénins.

On rapporte également qu’au Royaume-Uni, le pays européen le plus touché par la pandémie, cinq patients sont porteurs du virus qui résiste aux antiviraux comme le Tamiflu. Il semblerait toutefois que ce ne soit pas surprenant puisque c’est une chose qui peut arriver chez les personnes ayant déjà des problèmes de santé et un système immunitaire affaibli.

Pour le moment, il semble que le virus mutant apparaît sporadiquement et spontanément. Le dernier bilan concernant la grippe A (H1N1) fait état de 6 750 morts. Le continent américain est le plus touché avec 4 806 décès.

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Des gènes associés à la mortalité

L’équipe de Dan Arking, de la Faculté de médecine de l’Université Johns Hopkins aux États-Unis, a identifié neuf nouvelles mutations génétiques qui augmentent l’incidence de crise cardiaque.

Rappelons que le mois dernier, le scientifique avait annoncé avoir découvert une variation génétique associée à l’infarctus. Avec ces neuf autres, il y a maintenant dix gènes liés à la mortalité cardiaque.

Pour en arriver à ces conclusions, le chercheur a mesuré les variations du rythme cardiaque de 15 842 patients.

« La mort par crise cardiaque est un réel problème et on n’a pas de seconde chance. Le problème est que plusieurs patients ignorent qu’ils sont à risque. Ils n’ont pas un taux élevé de cholestérol. Ils ne sont pas obèses. Alors, la génétique est sans doute leur seul espoir de le savoir », a conclu M. Arking.

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26 gènes derrière le cancer du poumon

Une vaste étude, menée par des chercheurs américains et allemands, a permis d’identifier 26 gènes qui pourraient augmenter l’incidence du cancer du poumon lorsqu’ils présentent des mutations.

Pour arriver à ces conclusions, les scientifiques ont analysé 188 types de tumeurs et 623 gènes qui pouvaient être potentiellement liés au cancer du poumon.

Grâce à leurs découvertes, ils espèrent maintenant trouver un traitement pour les personnes qui présentent ces variations génétiques et qui sont touchées par ce type de cancer, le plus meurtrier à l’échelle mondiale.

Tous les détails de cette recherche sont publiés dans la revue scientifique Nature.