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Les enfants qui jouent dehors moins à risque de devenir myopes

En fait, passer plus de temps dans la lumière naturelle assurerait une meilleure vision à l’adolescence, selon les chercheurs de la Bristol University.

Les enfants qui passent plus de temps à l’extérieur avant l’âge de huit et neuf ans sont à moitié moins à risque de devenir myopes, selon l’étude publiée dans le journal Investigative Ophtalmology & Visual Science.

« Nous ne sommes pas encore certains de la raison pour laquelle le plein air est bon pour les yeux des enfants, mais avec les autres bénéfices qu’on lui connait pour la santé, nous devrions encourager les enfants à passer plus de temps dehors », explique l’auteure principale de la recherche, Cathy Williams.

La myopie est un trouble de la vision très commun auprès des jeunes. Entre 25 % et 50 % des jeunes occidentaux souffrent de la myopie tandis que ce chiffre s’élève à 80 % chez les jeunes du sud-est de l’Asie.

Plus du tiers des adultes dans cette condition doivent porter des lunettes afin de distinguer les objets plus loin d’eux. Ce chiffre a doublé durant les 30 dernières années.

Rappelons que la période de l’année durant laquelle un enfant naît influence les risques de myopie pendant l’adolescence. Ainsi, les enfants nés en été auraient plus de chances d’être myopes que ceux nés en hiver.

Crédit photo : FreeDigitalPhotos.net

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Nouvel espoir pour les myopes

La découverte d’un gène de la myopie permettrait de créer de nouveaux traitements plus simples que la chirurgie au laser, nous apprend 7sur7.be.
 
C’est la conclusion à laquelle parviennent des scientifiques après avoir étudié 13 000 personnes.
 
« Ce n’est pas encore vraiment la fin des lunettes, mais il y a clairement un espoir que l’on puisse bloquer les chemins génétiques qui conduisent à la myopie. Le traitement prendra probablement la forme d’un comprimé ou de gouttes ophtalmiques, mais ce sera un vrai défi et il faudra au moins dix ans avant qu’il existe », explique le Dr Christopher Hammond qui a dirigé les travaux.
 
Cette découverte fait donc naître l’espoir de nouveaux remèdes ou modes de prévention pour la dégradation de la vision de loin. Les éventuels comprimés ou gouttes seraient des procédures beaucoup moins envahissantes que la chirurgie au laser, mais les recherches doivent se poursuivre.