La « grippe d’homme » pourrait en fait bel et bien exister, si l’on se base sur les conclusions proposées dans une étude rapportée par le Daily Mail (UK).
Par le fait même, l’étude invalide la notion de « sexe faible » attribuée à la femme depuis la nuit des temps, pour remettre le titre à la gent masculine!
Cette récente recherche britannique confirme certaines études précédentes voulant que la testostérone affaiblisse le système immunitaire, rendant ainsi les hommes plus vulnérables que les femmes.
Par conséquent, la fameuse grippe d’homme existerait, puisque selon cette même logique, les mâles humains seraient plus vulnérables à l’influenza et moins aptes à la contrer.
Des révélations qui risquent d’affecter l’égo de plusieurs hommes fiers, mais qui permet d’en comprendre davantage sur le développement et la prévention de certaines maladies.
En contrepartie, le système immunitaire plus performant de la femme la rendrait aussi plus vulnérable à des dommages aux organes découlant de réponses agressives du système. Ce serait d’ailleurs la raison pour laquelle plus de cas de diabète et d’arthrite, notamment, sont recensés chez les femmes, toujours selon cette même étude.