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L’iode dans le pain est insuffisant pendant la grossesse

Publiée sur le site MedicalXpress, une étude menée par l’Institut Robinson de l’Université d’Adélaïde en Australie a démontré que la consommation de pain iodé n’empêchait pas les carences en iode auprès des femmes enceintes et leur bébé à naître.

L’auteure de la recherche, la professeure Vicki Clifton, mentionne que malgré que ce ne soit pas largement connu, l’iode est un élément nécessaire pour le bon développement du cerveau humain ainsi que pour celui des fonctions thyroïdiennes.

Elle explique : « En 2009, les producteurs de pain australiens ont mis en place un programme obligatoire exigeant l’utilisation de supplément d’iode dans le pain afin de renforcer son apport à la communauté. Notre étude visait à déterminer s’il y avait un impact positif sur les femmes enceintes ».

Malgré l’effort des producteurs, les résultats ont dévoilé une carence de l’élément chimique chez les participantes. Ceci dit, les chercheurs insistent auprès des futures mamans pour qu’elles ne se fient pas qu’à ce produit, qui leur donne l’impression d’obtenir les doses nécessaires.

Il est recommandé de prendre des suppléments d’iode afin d’éviter des problèmes de développement du cerveau du foetus, en plus de maintenir un niveau suffisant pour sa propre santé.

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Accoucher à la maison est moins risqué

Selon une récente étude publiée sur le site Medical Xpress, les femmes présentant un accouchement à faible risque qui décident de donner naissance à la maison courent un moins grand danger de complications graves que celles planifiant de faire de même à l’hôpital.

Les résultats sont basés sur les femmes qui en étaient au moins à leur deuxième accouchement, et les compétences des sages-femmes pourraient faire varier les données. Certains autres facteurs ont aussi été pris en considération, comme l’âge de la mère, le statut socio-économique, l’ethnie et la période de gestation.

Ainsi, une équipe de chercheurs néerlandais a décidé de vérifier si les femmes à faible risque en début de travail avec accouchement à domicile avaient un taux plus élevé d’effets rares, mais graves que lors des accouchements planifiés à l’hôpital. Les effets sont surtout les ruptures utérines, l’éclampsie ou une hémorragie majeure obstétrique nécessitant une grande transfusion sanguine.

D’autres complications indésirables comprenaient des hémorragies post-partum (perte considérable de sang après l’accouchement) et l’extraction manuelle du placenta. 146 752 femmes ont été suivies, dont 63 % ont donné naissance à la maison, contre 37 % en centre hospitalier.

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La petite soeur de Selena Gomez est née!

La chanteuse a accueilli sa nouvelle petite soeur hier (13 juin) à l’hôpital de Northridge à Los Angeles.

Mandy Cornett et son mari, Brian Teefy, ont maintenant la joie de regarder leur bébé dans les yeux. Il s’agit du premier enfant du couple, malgré qu’il s’agisse d’une deuxième grossesse.

En effet, la productrice, réalisatrice et ancienne actrice de théâtre a subi une fausse couche le 18 décembre 2011. Gomez avait annoncé la triste nouvelle sur son compte Twitter, où elle avait précédemment annoncé la grossesse, disant que sa mère attendait une fille et qu’elle devait se nommer Scarlett.

À ce moment, la jeune chanteuse avait annulé ses concerts prévus pour Chicago et Seattle afin de rester auprès de sa mère dévastée.

Cette fois-ci, tout semble s’être bien déroulé. Plusieurs membres de la famille ont été vus à l’hôpital pour visiter la nouvelle venue.

Mandy Cornett, 37 ans, et son premier son conjoint, Ricardo Joel Gomez, ont eu Selena Gomez alors que Cornett venait à peine d’avoir 16 ans. Le couple s’est séparé en 1997, alors que la chanteuse et actrice n’avait que 5 ans.

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La capacité d’empathie chez les bébés

Sur le site Medical Xpress, les résultats d’une récente recherche viennent démontrer la capacité d’empathie dès l’âge de 10 mois.

L’empathie est la capacité d’un individu à se mettre à la place d’autrui afin de comprendre leurs sentiments.

Il était précédemment dit qu’on ne pouvait pas démontrer ce type de sentiments chez les enfants de moins de 4 ans. En effet, une étude publiée en 2005, conduite par des neurobiologistes et des psychologues, prétendait que bien qu’ils puissent percevoir nos émotions, nous ne possédions aucune façon de déterminer le niveau d’empathie chez les enfants de moins de 4 ou 5 ans.

Or, une plus récente recherche a maintenant démontré que les bébés pouvaient démontrer de l’empathie dès l’âge de 10 mois.

Les chercheurs ont utilisé des clips vidéo montrant différentes interactions agressives entre des formes de couleurs différentes, une s’attaquant à l’autre.

À la suite des observations, les chercheurs ont conclu : « Les bébés de seulement 10 mois arrivent à différencier les victimes et les agresseurs dans les interactions, mais aussi à montrer de la sympathie rudimentaire envers la détresse. Cette préférence simple peut fonctionner en tant que fondement d’un comportement sympathique à part entière par la suite ».

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La capacité d’empathie chez les bébés

Sur le site Medical Xpress, les résultats d’une récente recherche viennent démontrer la capacité d’empathie dès l’âge de 10 mois.

L’empathie est la capacité d’un individu à se mettre à la place d’autrui afin de comprendre leurs sentiments.

Il était précédemment dit qu’on ne pouvait pas démontrer ce type de sentiments chez les enfants de moins de 4 ans. En effet, une étude publiée en 2005, conduite par des neurobiologistes et des psychologues, prétendait que bien qu’ils puissent percevoir nos émotions, nous ne possédions aucune façon de déterminer le niveau d’empathie chez les enfants de moins de 4 ou 5 ans.

Or, une plus récente recherche a maintenant démontré que les bébés pouvaient démontrer de l’empathie dès l’âge de 10 mois.

Les chercheurs ont utilisé des clips vidéo montrant différentes interactions agressives entre des formes de couleurs différentes, une s’attaquant à l’autre.

À la suite des observations, les chercheurs ont conclu : « Les bébés de seulement 10 mois arrivent à différencier les victimes et les agresseurs dans les interactions, mais aussi à montrer de la sympathie rudimentaire envers la détresse. Cette préférence simple peut fonctionner en tant que fondement d’un comportement sympathique à part entière par la suite ».

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La grossesse : moment de quiétude

Cette conclusion faite suite à une enquête effectuée par la Fondation PremUp avec l’institut Opinion Way sur la perception de la grossesse. Le seul bémol récurant serait en fait le manque d’accompagnement de la part du système de santé.

60 % des femmes interrogées se sont dites déçues du manque de suivi de la part des médecins et des sages-femmes. Celles ayant reçu des conseils disent n’avoir été informées que des sujets communs tels que les comportements à risque (consommation d’alcool, cigarette, nourriture).

Moins de 4 futures mamans sur 10 ont été mises au fait des grossesses pathologiques.  Il s’agit de grossesses au cours desquelles survient un événement qui comporte un risque, soit pour la mère ou pour l’enfant, ou encore pour les deux.

Ce qui pourrait néanmoins expliquer la quiétude ressentie par la majorité d’entre elles pourrait être causé par un déni face à la grossesse pathologique. Certaines femmes refusent même des soins à privilégier pour des raisons financières.

Plus d’un tiers des femmes ne considèrent pas la grossesse comme une période à risque et sentent qu’elles peuvent à peu près tout faire comme avant.

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L’impact de l’allaitement sur le cerveau

Une récente recherche conduite par les spécialistes de l’Université Brown démontre de nouvelles preuves concernant les bienfaits de l’allaitement sur le développement du cerveau des bébés.

À la suite de l’observation par résonnance magnétique, les améliorations ont été particulièrement notées dans les zones responsables du langage, des émotions et des aptitudes cognitives.

Alors que ces résultats étaient déjà connus chez les adolescents et les adultes, les chercheurs ne savaient toujours pas vers quel âge les effets bénéfiques se produisaient.

Grâce à cette étude, il est désormais clair que les bienfaits se produisent très tôt dans le développement de l’humain, soit avant l’âge de 2 ans. De plus, il est maintenant prouvé que plus longtemps un enfant est allaité, plus son cerveau se développe rapidement, et que les résultats s’améliorent nettement lorsque l’enfant est exclusivement nourri de lait maternel.

En effet, si le régime de bébé contient également de la formule maternisée, son développement s’en retrouve affecté.

Le Dr Deoni et son équipe ont ensuite confirmé leurs données d’imagerie avec une série de tests cognitifs de base sur un groupe d’enfants plus âgés ayant été allaités. Ces essais ont révélé une performance accrue du langage, de la réception visuelle et dans les performances de motricité.

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Pas de codéine pour les moins de 12 ans

C’est par voie d’un communiqué que Santé Canada émet cette recommandation.

Alors que le but recherché avec la prise de codéine est sa transformation en morphine, certaines personnes qui possèdent un métabolisme très rapide la transforment trop rapidement et se retrouvent en surdose de morphine.

Dans des cas, heureusement rares, mais non moins importants, des enfants se sont vus souffrir de graves effets secondaires, et certains autres sont décédés à la suite de l’absorption de cette substance, que ce soit par prise directe ou par le lait maternel.

D’ailleurs, après le décès d’un nourrisson alors que sa mère prenait de la codéine et du paracétamol en août 2007, la Food and Drug Administration a lancé une mise en garde sur le danger d’un traitement par codéine au cours de l’allaitement.

À noter que cet opiacé se retrouve dans plusieurs antidouleurs sirops antitussifs, tant en vente libre que sur ordonnance. Alors qu’il semblerait que les étiquettes des produits en vente libre qui en contiennent avisent déjà de ne pas en administrer aux enfants, l’agence fédérale travaille maintenant à revoir celles des produits vendus sous ordonnance avec les fabricants afin d’émettre une mise à jour.

 

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Les mères prêtes à faire moins d’argent

Une étude menée en Angleterre a démontré que plus de la moitié des mères seraient prêtes à diminuer leurs revenus afin d’équilibrer leur mode de vie.

Alors que tous les emplois ne permettent pas nécessairement une flexibilité jugée nécessaire par les mères, plusieurs viennent à choisir le travail à temps partiel ou à partir de la maison.

Les défis d’une mère travaillante sont nombreux. Entre autres, elle prend souvent la responsabilité de son enfant malade, des rendez-vous médicaux et scolaires, et se retrouve souvent à devoir négliger des heures de travail.

Sur FemaleFirst, il est noté que les deux tiers des mères anglaises auraient déjà vécu des cas similaires. C’est la chef des ventes au Royaume-Uni pour la compagnie de vêtements suédoise me & i, Pernilla Kemp, qui a commandé cette recherche.

À la réception des résultats, elle a confié : « Le fait que plus de la moitié des femmes interrogées disent qu’elles accepteraient une baisse de salaire afin d’équilibrer leur vie parent-travail démontre le désir des mères pour cet équilibre et à quel point nous en sommes encore loin ».

« Alors que nous avons vu une augmentation du nombre de mamans qui se taillent une carrière alternative pour eux-mêmes et leurs enfants, il y a encore beaucoup de mamans dont la situation de travail a très peu changé et qui sentent que l’équilibre travail-vie n’est rien d’autre qu’un mythe. »

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Devrait-on modifier génétiquement le lait maternel?

Dans une étude nommée The Utility of Breast Milk for Genetic or Genomic Studies: A Systematic Review, l’auteur décrit la possibilité d’obtenir l’information génétique du lait maternel et de le modifier afin d’en améliorer les qualités nutritives pour le nouveau-né.

Kelly Baumgartel et Yvette Conley de l’Université de Pittsburgh ont révisé la recherche afin de s’assurer que le lait maternel serait une bonne source pour ce type de processus.

Le tout serait apparemment facile et ne nécessiterait qu’un prélèvement très simple et non invasif du lait de la mère. En analysant ses composés, des modifications pourraient être faites afin de s’assurer que l’enfant obtiendrait tout ce dont il a besoin pour un développement optimal.

« La grande majorité des mères produit du lait qui correspond aux besoins de leur enfant étonnamment bien », dit le rédacteur en chef adjoint, David S. Newburg, professeur du département de biologie au Boston College.

« Mais pour les quelques enfants ayant des besoins particuliers, comme les bébés prématurés, ou pour les mères ayant des mutations génétiques rares dont le lait ne possède pas la gamme complète d’éléments bénéfiques, l’analyse génétique et génomique permettrait à la fois d’identifier les manques et de fournir les informations nécessaires pour produire un fortifiant complémentaire personnalisé. »