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Grossesse : ne mangez pas pour deux!

Des chercheurs de l’Université Queen Mary à Londres ont déclaré que manger pour deux durant la grossesse et ne pas surveiller les calories consommées peut avoir des effets néfastes sur la santé de la mère et du poupon.

Selon eux, aider les femmes enceintes à développer « des méthodes saines de gestion du poids » ne signifie pas pour autant que leurs enfants manqueront de quelque chose ou que cela nuira à la santé des bébés.

Au contraire, cela peut empêcher des complications pour la mère, de même que les risques que l’enfant soit lui-même diabétique ou obèse à l’âge adulte.

Au Royaume-Uni, environ un tiers des femmes gagnent plus de poids qu’elles ne le devraient durant la grossesse. De plus, elles ont de fortes chances de rester prisonnières de leurs kilos toute leur vie, affirment les experts.

La recherche publiée sur le site bmj.com a évalué les résultats de 44 études distinctes en utilisant des données liées à plus de 7000 femmes.

Les chercheurs affirment qu’un régime équilibré et sain permet également de réduire de 33 % les risques de prééclampsie, de 60 % le diabète gestationnel, de 70 % le risque d’hypertension artérielle et de 32 % le risque de naissance prématurée.

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De moins en moins de bébés blancs aux États-Unis

Avec une légère avance (50,4 %), l’ensemble des minorités, y compris les personnes originaires des Antilles et de l’Amérique latine, dépasse le taux de naissances de bébés blancs chez nos voisins du sud.

La situation peut sembler embêtante. Il faut être attentif aux propos soulevés par un spécialiste de la démographie hispanique aux États-Unis, Jeffrey Passel, du Pew Hispanic Center au journal New York Times.

L’expert dit que les naissances de bébés blancs demeurent les plus importantes, avec 49,6 % du total, alors que les blancs représentent 63,4 % de la population, majoritairement vieillissante.

Toutefois, le fait est que les blancs sont principalement des baby-boomers, alors que les immigrants sont de récents arrivants ou les descendants d’immigrés dans la fleur de l’âge pour procréer (27 ans en moyenne). Cela fait renverser la vapeur tranquillement, mais sûrement.

« Entre 2000 et 2010, le nombre de naissances aux États-Unis dans les familles hispaniques a été supérieur au nombre de nouveaux immigrants arrivés dans le pays », explique en d’autres termes le spécialiste cité par l’Agence France-Presse.

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Les femmes enceintes doivent avoir une bonne santé buccale

La santé buccale de la mère peut affecter la santé du fœtus, voilà ce que révèle une récente étude du quotidien Times of India.

En moyenne, 80 % des femmes enceintes se plaignent de complications buccales. La plus fréquente serait la gingivite durant la grossesse.

Lorsque les problèmes buccaux ressentis ne sont pas traités immédiatement, il peut y avoir des répercussions sur le fœtus. « Les maladies parodontales chez la mère peuvent avoir un effet négatif sur les gencives et les dents du bébé. Si la femme porte une attention particulière à sa santé buccale, plusieurs complications chez le bébé peuvent être évitées », affirme le Dr Gopalakrishnan.

Une visite chez le dentiste durant la grossesse devrait être faite et prise avec presque autant de sérieux que celle chez l’obstétricien.

En plus du dentiste, un autre spécialiste ajoute que pour donner un bon départ au bébé, les mères devraient se brosser les dents fréquemment avec une brosse au poil souple, se gargariser avec un rince-bouche recommandé par un spécialiste, avoir une diète riche en fibres, minéraux et vitamines, et ainsi éviter les aliments néfastes pour la santé dentaire et générale, de même que celle de son bébé.

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Un bébé en retard ou un bébé prématuré?

En fait, le risque est similaire pour le bébé né en retard et celui qui vient au monde prématurément. Ces derniers peuvent être connus pour des problèmes de santé physique et émotionnelle, quelque temps après leur naissance, mettent en garde des chercheurs des Pays-Bas dont les résultats sont parus dans le Journal of Epidemiology.

La durée normale d’une grossesse étant de 40 semaines, il aurait été démontré que les enfants nés après 42 semaines et plus de gestation étaient plus à risque de développer un déficit de l’attention avec hyperactivité ou d’autres problèmes de santé que les bébés nés à temps.

Les chercheurs expliquent qu’un « vieux » placenta ne réussit pas à fournir les nutriments et l’oxygène nécessaire au bébé après 40 semaines.

Les chercheurs suggèrent donc de déclencher un accouchement entre 40 et 41 semaines ou de faire une césarienne pour éviter des problèmes à l’enfant, mais aussi à la mère, qui risque d’avoir un enfant plus grand et plus gros après 40 semaines.

Pour arriver à ces conclusions, 5145 bébés de Rotterdam ont été suivis pendant trois ans pour étudier la relation entre la longueur du temps passé dans l’utérus et les comportements et problèmes affectifs à plus long terme.

Alors que les risques étaient connus pour les enfants prématurés, il s’agit de la première étude qui fait la lumière sur les risques d’une grossesse prolongée sur le comportement des bébés.

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Un bébé sur 10 naît prématurément

Sur 15 millions de naissances prématurées, l’organisme Save the Children, le site expert en prématurité March of Dimes, l’Organisation mondiale de la santé et des experts médicaux de partout sur la planète évaluent que 1,1 million de ces petits perdent la vie peu après leur venue au monde.

Selon les données récentes répertoriées mondialement dans le cadre de cette étude, l’Asie et l’Afrique arriveraient en tête des endroits où il y a plus de naissances précoces.

Souvent en voie de développement ou défavorisés, certains pays de ces continents manquent de matériel comme des couveuses et de soins pour sauver ces bébés.

Toutefois, les spécialistes croient qu’un simple enseignement de certaines méthodes faciles à effectuer et peu coûteuses, comme la méthode du kangourou qui consiste à coller le nouveau-né sur la poitrine du parent pour ressentir de la chaleur, pourrait sauver de nombreuses vies. On estime que les trois quarts des décès pourraient être évités.

Outre certains pays d’Afrique et d’Asie, les États-Unis se distinguent également dans le classement des pays où naissent le plus d’enfants prématurés. Il a été démontré qu’un bébé américain sur huit se retrouve dans cette situation précaire.

Les États-Unis devancent ainsi l’Europe, le Canada, l’Australie et le Japon.

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Les femmes cardiaques donnent naissance à plus de bébés filles

Sur 200 femmes atteintes d’une maladie cardiaque diagnostiquée, qui ont donné naissance à 216 bébés, 75 % des poupons étaient des petites filles.

Ce sont les données observées par une récente étude iranienne présentée au Congrès mondial de cardiologie organisé par la Fédération mondiale du cœur.

Cette analyse a tenté de prouver qu’il peut bel et bien y avoir une relation entre l’état de santé de la mère et le sexe des bébés qu’elle est capable de mener à terme, mentionne le site SantéLog.

Rappelons qu’en 2011, une enquête parue dans la revue Human Reproduction établissait que le ratio des sexes pouvait être influencé par le stress de la mère, et que les fœtus féminins étaient plus résistants et pouvaient ainsi mieux survivre à la nervosité.

Pour le Dr A. Alizadehasl, de l’Université de Tabriz en Iran, il y a un espoir que « son étude déclenche une enquête plus poussée sur la relation entre le sexe de l’enfant et la maladie cardiaque de la mère ».

Les participantes de l’étude du Dr A. Alizadehasl souffraient majoritairement de valvulopathie, de cardiomyopathie dilatée et de cardiopathie congénitale non corrigée.

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Les femmes cardiaques donnent naissance à plus de bébés filles

Sur 200 femmes atteintes d’une maladie cardiaque diagnostiquée, qui ont donné naissance à 216 bébés, 75 % des poupons étaient des petites filles.

Ce sont les données observées par une récente étude iranienne présentée au Congrès mondial de cardiologie organisé par la Fédération mondiale du cœur.

Cette analyse a tenté de prouver qu’il peut bel et bien y avoir une relation entre l’état de santé de la mère et le sexe des bébés qu’elle est capable de mener à terme, mentionne le site SantéLog.

Rappelons qu’en 2011, une enquête parue dans la revue Human Reproduction établissait que le ratio des sexes pouvait être influencé par le stress de la mère, et que les fœtus féminins étaient plus résistants et pouvaient ainsi mieux survivre à la nervosité.

Pour le Dr A. Alizadehasl, de l’Université de Tabriz en Iran, il y a un espoir que « son étude déclenche une enquête plus poussée sur la relation entre le sexe de l’enfant et la maladie cardiaque de la mère ».

Les participantes de l’étude du Dr A. Alizadehasl souffraient majoritairement de valvulopathie, de cardiomyopathie dilatée et de cardiopathie congénitale non corrigée.

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Accouchement prématuré : un pessaire en silicone, la solution?

La prématurité étant l’une des causes principales de morbidité et mortalité chez les bébés, une étude espagnole a tenté de voir l’effet bénéfique que pourrait avoir sur cette réalité fréquente, l’installation d’un pessaire.

Décrit par le site SantéLog comme étant un dispositif médical qu’on introduit dans le vagin chez les femmes souffrant d’un prolapsus utérin (ou descente d’organes) afin de maintenir l’utérus dans sa position, ce dernier a l’allure d’un anneau de plastique ou de silicone non médicamenteux.
 
Les résultats publiés dans la revue Lancet ont démontré que quoique douloureux à l’insertion et au retrait, le pessaire permet de réduire significativement les naissances prématurées, tout en étant fiable, sécuritaire et peu dispendieux.
 
Pour les besoins de l’étude, des femmes entre 18 et 42 ans ont été divisées en deux groupes; l’un ayant un col de l’utérus raccourci et portant le pessaire jusqu’à 37 semaines de gestation et l’autre ne portant aucun dispositif.
 
Il a été prouvé que grâce à l’anneau, le taux de prématurité chez les futures mères dans le groupe à risque accru a été 21 % moins élevé que pour l’autre groupe (27 % contre 6 %). De plus, les femmes réussissaient en moyenne à poursuivre leur grossesse trois semaines de plus (34,9 contre 37,7).
 
À la question posée aux femmes qui ont eu recours au dispositif, soit : « le recommanderiez-vous à d’autres? » La réponse a été affirmative à 95 %.
 
Les chercheurs espagnols voient en le pessaire une alternative très intéressante pour de nombreuses femmes.
 
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Surpoids à la naissance : les fillettes peuvent avoir des ennuis de santé

Parue dans le Journal of Clinical Endocrinology and Metabolism (JCEM), la revue de l’Endocrine Society, l’étude de l’Université de Western Australia a permis d’établir que le poids à la naissance pourrait, chez les bébés filles et non chez les garçons, indiquer le risque métabolique plus tard dans la vie.

En effet, les fillettes « à risque élevé d’obésité et de diabète à l’âge de 17 ans présentaient des signes d’obésité dès l’âge de 12 mois », explique le Pr Rae-Chi Huang, auteur principal de l’étude.

Pour le chercheur, les petites qui ont un poids de naissance supérieur à la moyenne sont plus susceptibles de développer un diabète de type 2 précoce ou d’avoir un avenir cardiaque incertain.

Pour en arriver à cette conclusion, 1053 bébés australiens ont été suivis de un an à 17 ans. Le poids et l’IMC ont été pris en considération, tout comme les mesures de pression artérielle et les niveaux d’insuline, la glycémie, les triglycérides et le cholestérol.

Avant d’atteindre la majorité, il s’est avéré que les adolescentes qui présentaient le tour de taille, les triglycérides, le niveau d’insuline et de cholestérol HDL les plus élevés étaient les bébés filles au poids et à l’IMC de naissance les plus élevés, décrit le site Santé Log.

Or, chez les garçons, aucune de ces trouvailles ne s’applique. Pour le Dr Huang, il y a une association à faire entre le surpoids des nouveau-nés filles et le diabète gestationnel et l’obésité maternelle.

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Grand-maman influence le poids du nouveau-né?

La variation d’un gène particulier lié à la mère ou la grand-mère influence le poids à la naissance d’un bébé. C’est ce que vient de révéler une étude publiée dans la revue American Journal of Human Genetic.

L’analyse de 9500 échantillons d’ADN et l’observation en particulier du gène PHLDA2 ont permis de constater que si le nouveau-né retient de sa mère, il pourrait être 93 grammes plus lourd. Cependant, s’il a hérité du gène de sa grand-mère maternelle, il pourrait peser 155 grammes de plus sur la balance.

Il semblerait que c’est la variante de ce gène, appelée RS2, qui provoque la modification de poids sur 87 % des individus le possédant. Une autre version, RS1, touche seulement 13 % des individus étudiés.

Si le bébé hérite du gène paternel, cela n’aura pas d’impact sur son poids, et on appellera ce dernier le gène silencieux.

Pour le Professeur Moore du Collège Universitaire de Londres, l’existence de la variation du gène la plus fréquente, RS2, existe uniquement chez l’être humain et sert à concevoir des bébés plus petits et à faciliter la survie des mères pendant l’accouchement.