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Ambiguïté sexuelle à la naissance

Une récente recherche a porté sur le délicat sujet de l’ambiguïté sexuelle à la naissance. Des chercheurs du Royaume-Uni se sont penchés sur ce que peuvent vivre des parents au sein de cette dure réalité, lorsque leur enfant naît avec des organes génitaux peu clairement identifiés à la féminité ou la masculinité.

Ils ont discuté avec 15 parents (10 mères et 5 pères) qui avaient vécu cette situation à la naissance du bébé; les rencontres se sont étalées sur 18 mois. Parmi les 11 enfants concernés dans cette recherche, soit 6 filles et 5 garçons, 2 étaient âgés de moins de 4 ans. Pour le reste du groupe, l’âge variait de 5 à 11 ans.

Les parents ont affirmé avoir cherché une harmonie entre cette ambiguïté sexuelle et la façon dont ils ont élevé leur enfant, du point de vue du genre.

Les émotions que ces parents traversent sont variées. Ils semblent vivre un choc, puis de l’anxiété. Ils ressentent aussi l’urgence de protéger leur enfant.

Selon les données actuelles, 1 enfant sur 5 000 naît avec une ambiguïté sexuelle, et 1 sur 300 présente des incertitudes quant au développement de ses organes sexuels externes. Les résultats de cette étude paraissent dans le Journal of Advanced Nursing.

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Donner son bébé en adoption

Une nouvelle étude de l’Institut national d’études démographiques, une organisation européenne, nous en apprend un peu plus sur l’adoption. On a tenté d’établir le profil général des femmes qui donnent leur bébé en adoption, mais qui choisissent l’anonymat.

Les données concernaient des accouchements s’étant déroulés entre 2007 et 2009. Il semble qu’environ 75 % des femmes qui accouchent dans l’anonymat sont encore aux études, au chômage ou inactives sur le plan professionnel, et 25 % d’entre elles sont autonomes financièrement.

Elles sont célibataires et n’ont pas d’autre enfant. L’âge moyen des femmes qui choisissent l’anonymat lors de leur accouchement est de 26 ans.

On a aussi tenté de cerner les raisons les plus courantes de ce choix. Il semble que l’absence – ou le désaccord quant à la grossesse – du père est la plus fréquente; c’est le cas pour 43 % de ces femmes.

Souvent, elles peuvent aussi faire ce choix en raison de leur jeune âge, ou par peur d’un rejet familial. Des problèmes financiers ressortent aussi parmi les raisons les plus fréquentes.

On lit aussi dans Le Quotidien du Médecin que la découverte de la grossesse à un stade très avancé (au troisième trimestre) entre aussi en ligne de compte.

Presque la moitié (47 %) des femmes qui donnent ainsi leur enfant en adoption ne laissent aucun renseignement sur elle. Les enfants ne pourront donc jamais les retracer. Toutefois, 29 % d’entre elles en laissent sur leur identité, mais ils sont tenus confidentiels jusqu’à ce que certaines conditions soient remplies.

Finalement, 14 % des femmes qui accouchent anonymement décident de garder leur bébé avec elles avant la fin du délai légal (deux mois, dans ce cas-ci).

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Les expressions faciales à l’état foetal

Des chercheurs viennent de démontrer que les expressions faciales datent d’avant même la naissance d’un bébé. On en lit le détail dans PloS ONE.

Pour tirer cette conclusion, on a observé des images 4D à la toute fin de la grossesse. Dans le cadre de l’étude ici présentée, les mêmes fœtus ont été suivis après qu’ils aient tous été reconnus comme étant en bonne santé à leur 20e semaine.

Ainsi, des expressions faciales comme rire et pleurer se remarqueraient avant la naissance. Qui plus est, elles deviendraient de plus en plus complexes à mesure que la grossesse avance, soit entre la 24e et la 36e semaine.

Par exemple, à la 24e semaine, les fœtus étaient capables de bouger un muscle de leur visage à la fois, étirant leurs lèvres ou ouvrant leur bouche. Puis, à la 35e semaine, ils pouvaient en combiner, rendant de cette façon des expressions complexes, et surtout reconnaissables.

C’est la première fois que l’on démontre une progression dans le développement des expressions faciales chez le fœtus dans le ventre de la mère, le préparant ainsi à sa vie après l’accouchement.

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Papa est fait pour s’occuper de bébé

On lit dans Proceedings of the National Academy of Sciences qu’un papa est naturellement destiné à prendre soin de son bébé. Une étude de la Northwestern University vient de démontrer qu’il est biologiquement programmé pour le faire.

Des chercheurs ont prouvé que le taux de testostérone de l’homme s’abaisse lorsque son bébé vient au monde. Cette répercussion corporelle est par ailleurs observable chez plusieurs autres espèces animales qui s’occupent de leurs rejetons.

Il semble que les activités et les comportements typiquement « mâles » entreraient en conflit avec les responsabilités de la paternité. Le corps réagirait donc pour que le père puisse prendre soin adéquatement de son poupon.

Dans le cadre de cette étude, plus de 600 hommes dans la vingtaine ont été suivis pendant près de 5 ans.

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Prévenir la violence avant la naissance

On pourrait prévenir la violence dès la vie prénatale, selon des chercheurs de l’University of Pennsylvania School of Nursing. Il ne s’agit pas ici de reconnaître des liens génétiques; il est question de certains facteurs liés à la santé.

Par exemple, une déficience nutritionnelle peut, selon les chercheurs, entrer en conflit avec le processus biologique. D’autres facteurs sont, en plus de la nutrition prénatale et postnatale, le tabagisme durant la grossesse, la dépression maternelle et le stress, entre autres.

La grossesse, la naissance et les premiers moments de vie seraient cruciaux quant au développement neural.

Les facteurs de risque de délinquance et de crime puiseraient aux sources de la vie, et le moment crucial quant au développement du cerveau serait les 36 premiers mois. On comprend donc l’urgence d’une intervention hâtive.

Les résultats complets de cette étude sont parus dernièrement dans Aggression and Violent Behavior.

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Quand bébé ressent-il la douleur?

Un changement dans l’activité neurale du cerveau permet aux bébés de reconnaître ce qu’est la douleur dès la 35e semaine de grossesse. Cette activité passe en fait à un stade presque adulte à ce moment du développement.

Des chercheurs ont présenté les résultats d’une recherche sur ce sujet dans Current Biology. Pour tirer cette conclusion, ils ont examiné l’activité cérébrale de 46 bébés. Parmi eux, 21 étaient nés de façon prématurée.

Une comparaison entre les différents stades de l’activité du cerveau humain a donc pu être faite, soit de la 28e semaine de développement à sa complétion, à 37 semaines. L’analyse a été faite par électroencéphalogramme.

La réponse cérébrale chez les bébés de 35 à 37 semaines s’était localisée dans des zones précises du cerveau, ce qui suppose qu’ils sont dès ce moment capable de différencier un stimulus de douleur d’un toucher normal.

Cette période est donc cruciale quant à d’importantes connexions de neurones dans différentes parties du cerveau.

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Encore un peu de placenta?

Bien que ce phénomène en dégoûte encore plusieurs, il semble que manger son placenta après son accouchement devienne une tendance de plus en plus partagée par les mamans. Selon le New York Magazine, un nombre grandissant d’Américaines le dégusteraient quelques jours après la naissance de leur bébé.

On pourrait même décider de le manger en soupe ou séché. Miam, miam! Le phénomène grandit tellement en importance que des services spécialisés sont désormais offerts aux nouvelles mamans.

Ces dernières peuvent donc opter pour la consommation de leur placenta sous forme de gélules afin de bénéficier de ses nutriments. Le placenta est en effet reconnu pour contenir une grande quantité de fer et de vitamine B12, ce qui aiderait à surmonter la dépression post-partum.

Des experts mentionnent toutefois que les femmes sont portées à manger leur placenta dans le but de faire le deuil de leur grossesse et de se réapproprier l’aspect naturel leur accouchement.

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Un test de paternité dès la grossesse

L’entreprise américaine DDC vient de mettre sur le marché un test de paternité pouvant être fait avant même la naissance du bébé. En effet, comme nous le lisons sur Healthland.time, ce test non intrusif est d’une fiabilité de 99,9 %.

Pouvant être accompli à partir de la 12e semaine de grossesse, il donne un résultat en 5 jours. On pourra donc savoir dès ce moment qui est le père du bébé à naître.

Mentionnons toutefois que malgré sa grande simplicité, ce test n’est pas nécessairement accessible à tous, en raison de son prix. Se détaillant à 1 625 dollars, il est beaucoup plus cher que le test de grossesse habituel, qui coûte à peine 10 dollars.

Ce test est déjà offert dans 1 500 points de vente. On devine déjà que plusieurs l’utiliseront, malgré son prix exorbitant, afin de prouver l’identité du père dès le début de la grossesse.

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Les prématurés sont plus en danger

On lit dans l’American Journal of Obstetrics and Gynecology que les bébés prématurés ont de plus grands risques de mort que ceux dont la naissance s’est rendue à terme. Ils sont aussi plus enclins à souffrir de paralysie cérébrale.

Une revue analytique a permis de confirmer ces risques déjà abordés. Il est donc important de ne pas considérer ces poupons de la même manière que les autres.

Le risque de mortalité est aussi plus grand chez les bébés nés presque à terme, soit avant la 37e semaine de grossesse, même s’il demeure ici plus faible que les bébés très prématurés.

Afin de faire ce constat, pas moins de 22 études sont passées en revue, ce qui correspond à 29 millions de nouveau-nés. Sur ce nombre, on a relevé 2 368 471 bébés prématurés.

On a par ailleurs remarqué que les enfants nés prématurément étaient exposés à de plus grands risques de retard intellectuel, de schizophrénie et de troubles psychologiques que les autres.

Chez les enfants nés presque à terme, selon plusieurs études, on a remarqué un risque plus élevé de retards de développement et de problèmes d’apprentissage durant les cinq premières années de vie.

Par la suite, ces mêmes enfants afficheraient des aptitudes mathématiques et de lecture plus faibles que ceux nés à terme.

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Les prématurés sont plus en danger

On lit dans l’American Journal of Obstetrics and Gynecology que les bébés prématurés ont de plus grands risques de mort que ceux dont la naissance s’est rendue à terme. Ils sont aussi plus enclins à souffrir de paralysie cérébrale.

Une revue analytique a permis de confirmer ces risques déjà abordés. Il est donc important de ne pas considérer ces poupons de la même manière que les autres.

Le risque de mortalité est aussi plus grand chez les bébés nés presque à terme, soit avant la 37e semaine de grossesse, même s’il demeure ici plus faible que les bébés très prématurés.

Afin de faire ce constat, pas moins de 22 études sont passées en revue, ce qui correspond à 29 millions de nouveau-nés. Sur ce nombre, on a relevé 2 368 471 bébés prématurés.

On a par ailleurs remarqué que les enfants nés prématurément étaient exposés à de plus grands risques de retard intellectuel, de schizophrénie et de troubles psychologiques que les autres.

Chez les enfants nés presque à terme, selon plusieurs études, on a remarqué un risque plus élevé de retards de développement et de problèmes d’apprentissage durant les cinq premières années de vie.

Par la suite, ces mêmes enfants afficheraient des aptitudes mathématiques et de lecture plus faibles que ceux nés à terme.