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Chambre à part après bébé

Selon un sondage présenté dans le Daily Mail, les couples auraient tendance à ne plus dormir ensemble après la naissance de leur bébé. Il semble que ce soit malgré tout la solution la plus efficace quant au surmenage.

Un poupon ne dort pas durant une nuit complète avant quelques mois. Cela entraîne bien entendu un surmenage chez les parents. Peut-être que cette façon de fonctionner aiderait ces derniers à mieux récupérer leur sommeil perdu.
 
Ainsi, selon les données de ce sondage, 1 personne sur 10 a décidé de faire chambre à part après la venue d’un premier bébé. Durant la première année de vie de l’enfant, 1 personne sur 3 continuera à dormir seule, alors que 6 couples sur 10 dorment ensemble.

Finalement, on a remarqué que 25 % des femmes prennent des somnifères après la naissance de leur bébé.

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Un programme afin d’éviter plus de césariennes

On peut lire dans The Journal of Nursing Administration les résultats d’un programme destiné à la réduction du nombre de césariennes. L’évaluation a été faite au Geisinger Wyoming Valley Medical Center, à Wilkes-Barre en Pennsylvanie.

En deux ans, le programme Geisinger Health System’s ProvenCare® Perinatal aurait réellement fait baisser le recours à cette procédure médicale. Il aurait aussi fait baisser le nombre d’admissions aux services de soins intensifs néonataux.
 
Le taux de césarienne aurait donc chuté de 36 à 19 %. Les méthodes employées en étaient de prévention.
 
Ainsi, des mesures d’évaluation du diabète ont été instaurées et les traitements appropriés ont été suivis, de même que des programmes d’éducation et d’intervention d’arrêt du tabagisme chez la femme enceinte.

Finalement, d’autres résultats ont démontré que les mères et leur bébé avaient eu tendance à rentrer plus vite à la maison, puisque le temps d’hospitalisation a été réduit de 1,5 jour lorsque des soins étaient accordés à la suite de l’implantation dudit programme.

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Les mères de jumeaux vivent plus longtemps

Le fait d’avoir des jumeaux serait lié à une meilleure espérance de vie. Une femme serait aussi plus fertile et plus forte. C’est la conclusion à laquelle sont arrivés des chercheurs de l’Université de l’Utah.

Ils ont analysé les données concernant près de 60 000 femmes, lesquelles étaient nées dans cet État entre 1807 et 1899, avaient vécu au moins jusqu’à l’âge de 50 ans et avaient eu au moins 1 enfant. Parmi elles, 4 600 avaient eu des jumeaux.
 
En regard de cette étude, les chercheurs ont pu statuer que les femmes qui mettent au monde des jumeaux courent 7,6 % moins de risque de mourir au cours d’une année donnée.
 
Bien sûr, il s’agit encore d’une corrélation, car l’espérance de vie, la santé et le vieillissement sont causés par de nombreux facteurs. De plus, dans cette étude, on n’a pas tenu compte des risques de décès pour la mère lors d’une naissance multiple.

Les résultats complets de cette analyse sont parus dernièrement dans Proceeding of the Royal Society B.

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La vitamine D préviendrait un virus respiratoire

Une étude parue dans Pediatrics a démontré que la vitamine D protégerait les enfants du virus respiratoire syncytial, le VRS.

Ce virus constitue la cause première des infections respiratoires chez les jeunes enfants. Dans la majeure partie des cas, il affecte des bébés de moins de deux ans et il est très contagieux.
 
L’étude en question a porté sur l’analyse de la concentration de vitamine D dans le sang du cordon ombilical de 156 nouveau-nés des Pays-Bas. On a remarqué qu’une déficience de cette vitamine engendrait de plus grands risques de contraction du VRS.
 
Précisément, les bébés qui venaient au monde avec une déficience en vitamine D étaient six fois plus exposés au virus respiratoire que ceux qui présentaient un taux plus élevé.
 
De plus, les chercheurs ont noté que 54 % des bébés en santé naissaient avec une carence en vitamine D et que 12 % des enfants étaient atteints du VRS durant leurs 12 premiers mois de vie.

On recommande finalement que de prochaines études portent sur les effets des suppléments de vitamine D pendant la grossesse quant aux risques de virus respiratoire syncytial chez les bébés.

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Aucune souffrance pour le bébé à l’accouchement

Des chercheurs de l’Inserm ont découvert que les bébés ne souffraient aucunement lors de l’accouchement, comme nous l’apprenons par Radio-Canada. Une hormone, l’ocytocine, en est la raison.

Cette hormone a un effet anesthésiant qui dure jusqu’à quelques heures après la naissance. Comme nous le savions déjà, l’ocytocine est libérée par la mère en grande quantité lors du travail afin de stimuler les contractions de l’utérus. Il semble qu’elle a un effet sur le bébé.
 
Afin de tirer ces conclusions, les chercheurs se sont basés sur une étude datant de 2008, où l’on avait démontré que les bébés nés par césarienne résistaient moins à la douleur que ceux nés par voie naturelle.

On a ensuite effectué des tests sur des rats, pour prouver par la suite que l’ocytocine était la cause de la résistance à la douleur des bébés humains.

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Les bébés prématurés restent petits

Il semble qu’un bébé prématuré sera plus petit et plus léger qu’un autre né à terme, une fois qu’il aura quatre ans, selon MedPage Today. Ce sont là les résultats d’une étude néerlandaise.

Les bébés prématurés connaissent par ailleurs une croissance normale. Toutefois, ils n’atteignent pas les mêmes paliers dans les courbes que leurs pairs. Cela est apparu vrai pour les enfants modérément ou gravement prématurés.
 
Il faudrait donc revoir les courbes de croissance actuelles et les modifier en fonction des bébés prématurés. Ainsi, les parents ne vivraient plus la même pression et pourraient voir que leur enfant grandit aussi normalement.

Pour tirer ces conclusions, les chercheurs ont suivi 1 834 bébés prématurés et 674 bébés nés à terme. Lorsque les enfants sélectionnés pour la recherche ont eu quatre ans, on a comparé leurs résultats quant à leur taille et leur poids lors de leur dernière visite chez le pédiatre.

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Des bébés prennent des suppléments naturels

Selon Pediatrics, de nombreux enfants consomment des produits naturels dans un but thérapeutique avant qu’ils aient atteint un an. Ce constat a été fait selon une recherche de la Food and Drug Administration (FDA).

Sous forme de sondage, près de 3 000 femmes ont été consultées avant la naissance de leur enfant. Par la suite, des mères ont été interrogées quant à l’administration de tisanes à base d’herbes et de suppléments naturels durant les deux premières semaines de vie de leur bébé.
                       
Les produits en question comprenaient la camomille et la menthe. Parmi les raisons les plus courantes pour qu’une mère donne de telles substances à son enfant, on retrouvait les coliques, la digestion et la relaxation.
 
Parmi les participantes au sondage, 5,7 % des mères avaient déjà donné des produits naturels à leur bébé et 3,6 % l’avaient fait 2 fois ou plus.
 
On se questionne maintenant sur l’interaction possible de telles substances avec des médicaments ainsi que sur leurs répercussions potentielles sur la santé des enfants.

Malgré tout, puisqu’il s’agissait d’un échantillon, on ne saurait pour l’instant reporter ces résultats sur la population entière.

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Plus d’anorexie chez les personnes nées au printemps

L’anorexie touche plus les personnes qui seraient nées entre les mois de mars et juin que les personnes nées en septembre ou en octobre, rapporte une étude publiée dans le British Journal of Psychiatry.
 
Des chercheurs du Wellcome Trust Centre for Human Genetics de l’Université d’Oxford ont étudié les cas de 1 293 personnes anorexiques et c’est le constat qu’ils font après analyse.
 
« Un certain nombre d’études précédentes ont révélé que les maladies mentales comme la schizophrénie, les troubles bipolaires et les dépressions majeures étaient plus fréquentes chez les personnes nées au printemps. Notre constatation pour l’anorexie n’est donc pas surprenante. Mais notre étude ne fournit qu’une preuve d’association. Nous devons maintenant approfondir nos recherches pour déterminer les facteurs qui mettent les personnes particulièrement à risque », mentionne le Dr Lahiru Handunnetthi.
 
Certains experts croient que les facteurs environnementaux au moment de la conception de l’enfant ou encore lors de son développement dans l’utérus joueraient un rôle important. Ainsi, les changements de température, l’exposition au soleil et l’exposition aux infections seraient tous des facteurs potentiels.
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L’allaitement contribue au développement d’un lien affectif plus étroit avec l’enfant

Selon Science Daily, une nouvelle étude publiée dans The Journal of Child Psychology and Psychiatry prétend que les mères qui nourrissent leur nouveau-né exclusivement au lait maternel développent un lien émotionnel plus fort avec leur enfant. 

Les données recueillies concernent les premiers mois de vie du nourrisson. L’allaitement activerait des zones spécifiques du cerveau de la mère, développant un comportement empathique accru lorsque l’enfant pleure. Il s’agit de la première étude sur le sujet qui examine non pas le comportement humain, mais plutôt les informations factuelles associées aux mécanismes biologiques du cerveau.
 
Le Dr Pilyoung Kim, qui dirige les recherches, insiste sur l’importance de cette découverte. En fait, lors de l’allaitement, les régions du putamen, du globus pallidus, du gyrus frontal supérieur et du complexe amygdalien, qui sont naturellement activées à la suite de l’accouchement, conservent leur activité jusqu’à 3 ou 4 mois après la naissance de l’enfant. Ces zones cérébrales sont liées directement au comportement empathique maternel et renforcent naturellement le lien entre le nourrisson et sa mère.

« Les proches de la nouvelle mère devraient l’encourager à donner le sein lors de cette période, en insistant sur la qualité du lien affectif développé avec le nourrisson. Ainsi, peut-être que celles qui sont incapables d’allaiter demanderaient une aide supplémentaire pour poursuivre », ajoute le Dr Kim.

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Accouchement sous hypnose : un phénomène grandissant

Encore peu employée ici, la méthode de l’accouchement sous hypnose connaît pourtant de plus en plus d’adeptes de l’autre côté de l’Atlantique.

On apprend donc sur 20 Minutes que le Centre hospitalier Robert Debré, situé à Paris, offre ce service. L’hypnose permettrait aux femmes de maîtriser les douleurs de l’accouchement.
 
Pour celles qui emploient cette façon de faire pour donner naissance à leur enfant, la péridurale est habituelle contre-indiquée. Sinon, elles veulent s’outiller adéquatement pour leur accouchement et elles essaient cette méthode assez nouvelle.
 
Le type d’hypnose en question consiste en fait en séances de relaxation durant lesquelles la femme enceinte apprend à maîtriser sa respiration.
 
Arrivée à un état de conscience décrit comme une transe légère, la femme n’est pas entièrement absente, ce qui lui permet de se souvenir de son accouchement.

On ne saurait prédire si cette méthode gagnera aussi en popularité en Amérique, mais jusqu’ici, les résultats semblent probants et prometteurs.