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Mort intra-utérine : encore très présente

Il y a encore beaucoup de bébés mort-nés, même dans notre société moderne. Dans le monde, 2 millions de petits ne survivent pas jusqu’à leur naissance.

Or, une étude publiée dans The Lancet offre des solutions pour mieux prévenir ce triste événement. Il semble qu’on pourrait en réduire la prévalence si les femmes enceintes étaient mieux suivies sur le plan médical.
 
Par exemple, des résultats notables pourraient être remarqués si l’on soignait plus la syphilis, l’hypertension artérielle et le diabète. Selon les chercheurs, le nombre de décès du bébé durant la grossesse pourrait chuter à 1 million.

Finalement, la Finlande et Singapour détiennent le plus faible taux de mortalité intra-utérine au monde, soit 2 cas sur 1 000 naissances.

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Les futurs papas ont des questions particulières

Un service de santé anglais a mené une étude sur la préparation des parents quant à la venue de leur enfant. Un rapport de recommandations a même été produit, selon ce que rapporte The Telegraph.

Si la future maman voit le jour de l’accouchement comme une journée remplie d’émotions, son conjoint se préoccuperait plus de détails pratiques, comme trouver une place de stationnement une fois à l’hôpital et où se procurer du thé.
 
Le guide en question suggère donc que la visite habituelle de la salle d’accouchement soit proposée en soirée ou les week-ends afin que le père puisse s’y rendre seul. Des conseils médicaux et sur la vie de famille en fonction des différences culturelles devraient alors être offerts.
 
Puisqu’il appert que le papa développera sa relation avec son enfant à partir de six mois, il devrait mieux comprendre les émotions entourant la naissance.

En somme, selon le rapport, les parents devraient en général recevoir plus de soutien émotif quant à la venue de leur enfant.

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Grossesse et obésité : dangers réels

Une étude parue dans Human Reproduction indique qu’un bébé dont la mère était obèse au début de sa grossesse a un état précaire. En effet, il risque beaucoup plus de mourir avant sa naissance ou durant sa première année de vie.

Il semble que ces enfants aient deux fois plus de risque de perdre la vie durant ces deux périodes. C’est la conclusion à laquelle sont arrivés des chercheurs de l’Université de Newcastle, au Royaume-Uni, après avoir suivi une cohorte de 40 932 grossesses. Les bébés de l’étude sont nés entre 2003 et 2005.
 
Le risque total de mort infantile ou intra-utérine atteignait 1,6 % chez les femmes ayant un indice de masse corporelle plus élevé que celui recommandé. Chez celles ayant un poids normal, ce taux n’atteignait que 0,9 %.
 
L’une des plus importantes raisons est que chez les femmes obèses, il survenait plus de cas de prééclampsie, laquelle se reconnaît par une haute pression sanguine. Le diabète est aussi plus fréquent chez les femmes en surpoids.

Ces données sont quelque peu inquiétantes, car nous remarquons depuis quelques années la hausse constante de personnes obèses dans les sociétés occidentales.

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Les jonctions routières provoquent la naissance?

Une étude ayant porté sur 970 mères et leur bébé prématuré a entraîné des résultats assez surprenants. Tous ces participants vivaient à Logan, une ville australienne.

On a remarqué que les bébés dont la mère habitait près d’une jonction routière ou d’une autoroute étaient nés plus tôt que les autres. La différence était de 2 semaines environ, soit 4,4 %.
 
Bien entendu, les facteurs socio-économiques et le degré de tabagisme de la mère ont été écartés.
 
Parue dans Environmental Health, cette étude suppose donc que plus une femme enceinte vit près d’une grande circulation automobile, plus l’enfant naîtra prématurément.
 
Afin de tirer ces conclusions, on a évalué le nombre de routes à proximité de la maison dans un rayon de 500 mètres. Il semble que l’effet était présent jusqu’à 400 mètres, mais que le plus important se remarquait à 200 mètres.

Le bruit et la pollution de l’air auraient donc un certain effet sur le moment de la naissance.

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Aucun lien entre la naissance et l’asthme

On a tenté de trouver certaines raisons du développement de l’asthme durant l’enfance dans la façon dont l’accouchement s’était déroulé ainsi que les conditions l’entourant. Il n’en existe aucune qui soit assez évidente pour être soutenue, selon une étude américaine.

Ainsi, il n’y aurait pas de corrélation entre le fait qu’un bébé naisse par césarienne ou qu’il ait un faible poids de naissance et celui qu’il soit asthmatique. On a tiré ces conclusions après avoir observé 3 933 enfants, dont 215 avaient reçu un diagnostic d’asthme.
 
Selon Medical News Today, on a remarqué que si 2,1 % des enfants nés par césarienne étaient atteints de l’asthme à l’âge de 6 ans, c’était aussi le cas pour 2,5 % des enfants nés par voie naturelle. La différence est donc minime.
 
La même observation a pu être faite quant au poids de naissance. Chez les enfants dont le poids était inférieur à 5 lb 9 oz, 6,7 % souffraient d’asthme, contre 5,4 % chez ceux qui pesaient plus au moment de leur naissance.
 
Finalement, il n’y aurait pas non plus de lien entre une naissance prématurée et le développement de l’asthme, ce qui contredit plusieurs études précédentes.

Selon les présents résultats, 7,1 % des bébés nés entre la 34e et la 36e semaine étaient asthmatiques avant leurs 6 ans, contre 8,7 % des enfants nés à terme.

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Le postpartum, pour les papas aussi

Nous savons déjà que la mère peut présenter de réels signes de dépression après son accouchement. Or, il semble que le phénomène du postpartum touche aussi le nouveau papa.

C’est ce qu’a remarqué une équipe de l’Université du Michigan en étudiant le cas de 1 746 pères d’enfants âgés de 1 an nés entre 1998 et 2000. Environ 7 % de ces papas étaient dépressifs, à différents degrés.

Il semble que les pédiatres pourraient jouer un rôle important dans la résolution de ce problème, car parmi les pères dépressifs, 77 % en avaient parlé au médecin de leur enfant durant la dernière année.

D’autre part, on a pu remarquer quelques liens avec l’attention que portait un père à son enfant et les punitions qu’il pouvait lui infliger avec l’apparition de symptômes dépressifs. Par exemple, 41 % des dépressifs avaient donné une fessée à leur enfant, comparativement à 13 % pour les autres.

Il semble que le plus grand rôle joué par les pères d’aujourd’hui les rapproche ainsi des problèmes que peuvent vivre les nouvelles mamans. Les résultats complets de cette recherche sont parus dernièrement dans Pediatrics.

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Conséquences de l’anxiété durant la grossesse

Une relation amoureuse malsaine durant la grossesse peut engendrer de tristes répercussions sur la santé du bébé à venir. C’est la conclusion à laquelle sont arrivés des chercheurs norvégiens.

Les résultats de leur étude, parue dans BMC Public Health, démontrent que la relation de la future maman et son conjoint est à la base de plusieurs problèmes.

L’anxiété et la dépression durant la grossesse peuvent mener, dans de nombreux cas, à une naissance prématurée, un faible poids de naissance, voire une santé déficiente une fois que l’enfant a atteint l’âge scolaire.
 
Les chercheurs de la présente étude sont arrivés à ces résultats après avoir suivi 50 000 femmes enceintes. Ils ont questionné les participantes quant à leurs relations avec leur famille et leur conjoint, de même que leur travail.
 
Ils ont ensuite comparé ces données avec les dépendances à l’alcool, au tabac ainsi qu’aux problèmes de santé mentale vécus par ces femmes. Il en est ressorti que la détresse émotionnelle vécue durant la grossesse était le plus souvent liée à la relation qu’une femme vivait avec son conjoint.

D’autre part, une femme enceinte qui vivait une relation harmonieuse vivait mieux les difficultés provenant de son travail ou du manque d’argent, par exemple.

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Christina Applegate comblée par la maternité

Depuis la naissance de sa fille, Sadie Grace LeNoble, le 27 janvier dernier, Christina Applegate vit des moments d’intense bonheur, selon People.

Rappelons que l’actrice de 39 ans a traversé de dures épreuves ces dernières années, ayant subi une double mastectomie après avoir reçu un diagnostic de cancer du sein en 2008.

Applegate a donc ressenti une profonde émotion en serrant son petit bébé contre sa poitrine, une partie de son corps avec laquelle elle n’est pourtant plus à l’aise depuis son cancer.

Le père de son enfant est le musicien Martyn LeNoble, qui est aussi son fiancé. Il a su accompagner sa conjointe durant l’accouchement qui a nécessité 18 heures de travail.

Malgré son épidurale, la nouvelle maman dit avoir vécu beaucoup de souffrance : « C’était une douleur très profonde. » Elle a aussi mentionné qu’elle avait un plan quant à cette mise au monde, mais qu’il est ridicule de penser en avoir un lorsqu’on donne la vie.

Une fois sa petite Sadie née, Christina a connu une immense joie : « C’est la plus belle chose qui ne me soit jamais arrivée. »

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L’acide folique inefficace quant aux naissances prématurées

Nous savons que toutes les femmes enceintes ou qui prévoient l’être sont fortement encouragées à prendre de l’acide folique. Cette substance maintient la croissance des nouvelles cellules. Un manque d’acide folique cause des problèmes prénataux à l’enfant, dont ceux touchant le tube neural et la moelle épinière.

L’acide folique n’empêchera pourtant d’aucune façon une naissance prématurée, selon une récente étude norvégienne ayant porté sur 73 000 femmes et rapportée par Healthday News. De 1996 à 2006, on a répertorié 955 cas de naissance prématurée parmi les femmes qui avaient pris de l’acide folique.

Ces nouveaux résultats contredisent une recherche américaine de 2008 qui soutenait entre autres que la consommation d’acide folique 1 an avant la naissance réduisait les risques d’une grossesse écourtée.

La différence entre ces résultats pourrait s’expliquer par des raisons génétiques ou la façon même dont ces deux études ont été réalisées. Par exemple, dans l’étude américaine, les participantes étaient des femmes qui avaient pris de l’acide folique un an avant la naissance de leur enfant.

Malgré ces nouvelles données, nous rappelons qu’il est primordial pour une femme de prendre de l’acide folique durant la grossesse sur une base quotidienne afin de prévenir les déficiences du tube neural et de la moelle épinière.

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La progestérone retarde l’accouchement

On vient d’expliquer en quoi la progestérone peut retarder un accouchement. Des chercheurs de l’École de médecine de l’Université de Tufts viennent de présenter leurs résultats lors d’un colloque annuel, selon EurekAlert!.

Si les traitements actuels à base de progestérone sont efficaces pour prévenir les accouchements prématurés, c’est en grande partie grâce à trois protéines qu’ils contiennent, soit la XIAP, la BID et la Bcl-2.

Ces dernières sont reconnues pour bloquer l’apoptose, c’est-à-dire la mort programmée des cellules présentes dans les membranes fœtales.

Ainsi, si ces membranes sont plus épaisses et plus résistantes, elles auront moins tendance à rompre, ce qui provoquerait un accouchement prématuré.

La recherche en question permet donc de jeter les bases pour mieux comprendre le déclenchement du travail et connaître les aboutissants de la rupture des membranes fœtales ainsi que le rôle de progestérone.

Il y a donc beaucoup d’espoir quant à ce traitement. Rappelons que les naissances prématurées sont un phénomène encore trop fréquent. Aux États-Unis seulement, on en compte un demi-million chaque année. Une naissance avant la 37e semaine entraîne inévitablement des problèmes de santé.