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Une jolie femme a plus de chances d’avoir une fille

Une récente étude a fait un lien entre la beauté d’une femme et le sexe de son enfant.

Le Dr Kanazawa, de L’École d’économie de Londres, a mené cette étude des plus discutable s’il en est une. Selon lui, une femme au physique attrayant a plus de chances d’avoir des filles.

Des collègues et lui-même ont tout d’abord évalué la beauté de 17 000 enfants âgés de 7 ans. Plus tard, quand les sujets avaient atteint l’âge de 45 ans, on leur a demandé le sexe de leurs enfants.

Il semble donc que les femmes à qui l’on avait attribué un physique ingrat lorsqu’elles étaient plus jeunes ont plus souvent eu des garçons.

Les personnes qui étaient considérées comme jolies lorsqu’elles étaient enfants ont quant à elles eu autant de filles que de garçons.

Après cette suite de déductions, le Dr Kanazawa a conclu que ce lien était causé par la sélection naturelle, car la beauté sert plus aux femmes qu’aux hommes.

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Les bébés de l’été seraient plus heureux que les autres

Une étude des plus surprenante nous apprend que les bébés qui naissent durant la saison estivale sont les plus heureux.

Le résumé de cette étude, paru dans le journal Nature Neuroscience, ouvre la porte à une possible influence de l’ensoleillement durant nos premiers mois de vie sur l’humeur.

Pour tirer ces conclusions, des chercheurs ont donné 16 heures d’ensoleillement à un groupe de nouveau-nés, pour 8 heures de noirceur. Un second groupe n’a reçu que 8 heures d’ensoleillement, pour imiter les journées d’hiver.

Après quelques semaines et changements de groupe si nécessaire, les chercheurs ont plongé tous ces bébés dans le noir et ils ont observé leurs réactions.

Ceux qui avaient été élevés durant la saison estivale reproduite ont gardé leur routine quotidienne. Quant aux poupons qui avaient passé leurs premières semaines sous un ensoleillement d’hiver, ils ont eu de la difficulté à s’adapter au changement.

Il faudra maintenant vérifier à quel point et à quel moment notre horloge biologique se règle, de même que si cela est permanent ou temporaire.

Des études précédentes avaient déjà démontré que les personnes nées en hiver présentaient un plus haut taux de problèmes de santé mentale, comme la dépression saisonnière.

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Les nouvelles mamans devraient rester plus longtemps à l’hôpital

Il serait possible que les médecins revoient le nombre de jours avant le congé de la nouvelle maman et de son bébé, apprenons-nous dans Le Parisien.

C’est qu’une plus longue période à l’hôpital ou à la maison de naissance permettrait le suivi nécessaire au traitement de la jaunisse, laquelle est de nouveau en hausse chez les poupons.

La jaunisse, ou ictère, n’est pas dangereuse en soi. En fait, 80 % des bébés en sont atteints. Elle se reconnaît par une coloration jaune de la peau, laquelle est due à un taux trop élevé de bilirubine.

Elle se soigne en peu de temps et facilement, mais certains cas peuvent se solder par une atteinte du système nerveux. Il ne s’agit donc pas d’un cri d’alarme, mais d’un moyen de prévention.

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Les bébés de petit poids deviennent des adultes productifs

Un professeur d’économie de l’Université du Michigan, John Goddeeris, a voulu comparer la productivité des adultes étant nés avec un poids très faible et ceux nés avec un poids normal.

L’étude qu’il a dirigée (effectuée en collaboration avec des universités canadiennes) a prouvé qu’il n’y avait qu’une infime différence entre ces deux groupes. On a comparé le niveau d’études et le salaire de ces personnes.

Rappelons qu’un très faible poids à la naissance est ici moindre que 2,2 livres. Les participants de l’étude étaient en fait des survivants d’une naissance difficile ou prématurée.

Un enfant sur 200 naît avec un poids de 1,1 livre à 2,2 livres. Ce nombre tend toutefois à diminuer avec les avancées médicales. Les plus graves risques encourus par un tel poids à la naissance peuvent être un retard intellectuel ou des défaillances du système nerveux.

Toutefois, les conséquences peuvent être mineures, comme de légers problèmes d’apprentissage ou du comportement.

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Les médicaments contre les brûlures d’estomac durant la grossesse : aucun danger

Une femme enceinte peut prendre des médicaments, sous ordonnance ou non, pour soulager ses brûlures d’estomac sans s’inquiéter.

Une étude danoise parue dans le New England Journal of Medecine, basée sur plus de 840 000 naissances de 1996 à 2008, soutient que les problèmes de naissance ne peuvent être que finement liés aux médicaments cités.

Sur le lot, 3,4 % des bébés dont la mère avait pris des médicaments contre les brûlures d’estomac avaient reçu un diagnostic de problèmes majeurs de naissance, contre 2,6 % pour ceux dont la mère n’en avait pas pris.

Les analyses ont été faites en deux parties. Pour l’une, il s’agissait des femmes qui avaient ingéré de tels médicaments 4 semaines avant la conception jusqu’à la 12e semaine de gestation. Pour l’autre, les femmes en avaient pris de la semaine 0 jusqu’à la semaine 12 de gestation. Cela correspond au premier trimestre de grossesse.

Il n’y a donc aucun lien assez fort qui peut être soutenu, et ce, même en ayant retiré tous les autres facteurs de risque pouvant influer sur les résultats.

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Moins de décès dus aux anomalies cardiaques chez les nouveau-nés

Selon un article paru dans Circulation, les décès causés par les malformations cardiaques congénitales ont baissé de 24 % en une dizaine d’années.

Les avancées technologiques en seraient probablement la cause, de même que les meilleurs diagnostics et traitements qu’elles engendrent.

S’étant étalée de 1999 à 2006 aux États-Unis, cette étude réalisée en collaboration avec les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) offre beaucoup d’espoir aux nouveau-nés aux prises avec ce type de malformations.

Ces anomalies de la structure cardiaque peuvent entraîner de nombreux problèmes de santé. Parmi eux, on compte le haut rythme cardiaque, la haute pression sanguine et la congestion des artères.

D’autre part, il semble que le taux de mortalité lié à ces problèmes soit en baisse depuis déjà de nombreuses années. En effet, une étude précédente parue en 2001 avait relevé une chute de 39 % de 1979 à 1997.

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Les bébés qui naissent la nuit ont plus souvent des problèmes au cerveau

Selon l’American Journal of Obstetrics & Gynecology, si l’accouchement a lieu entre 22 h et 4 h, les poupons ont 22 % plus de risques de naître avec une pathologie au cerveau.

Cette malformation néonatale peut engendrer de l’épilepsie, une paralysie, voire entraîner la mort. Une équipe de l’École de médecine de l’Université de San Francisco s’est penchée sur la question.

Elle a observé 2 millions de bébés nés en Californie sur une période de 14 ans, comparant ensuite l’heure de naissance et les complications vécues. Des études précédentes avaient déjà établi une corrélation possible entre l’heure de l’accouchement et les complications.

Il semble que 2 000 bébés sont nés avec des problèmes au cerveau et qu’outre l’âge de la mère, les soins reçus et le nombre de grossesses vécues, l’heure de la venue au monde est en corrélation avec ceux-ci.

D’autre part, le mois de la naissance et le jour de la semaine n’influent aucunement sur l’apparition de cette pathologie.

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Chute du nombre de naissances prématurées

Le nombre de naissances prématurées a chuté après des années d’augmentation, nous apprend USA Today.

Selon une analyse américaine, le taux est passé de 12,8 % en 2006 à 12,3 % en 2008, et ce, après une hausse continue durant 30 ans.

Le nombre de grossesses de 34 à 36 semaines a en effet diminué et cela pourrait être dû en partie à l’état de santé des mamans d’aujourd’hui.

Les facteurs de risque sont intimement liés à la santé de la future mère, comme la haute pression sanguine, tous les types de diabète et les anomalies utérines.

Ces données sont très encourageantes, car la naissance prématurée peut entraîner de nombreux problèmes de santé chez le bébé. Parmi ceux-ci, nous comptons une déficience intellectuelle et des pertes auditives ou visuelles.

De plus, la naissance prématurée demeure la première cause de mortalité chez les bébés.

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Une nouvelle percée dans les naissances prématurées

Des chercheurs de l’Université du Texas ont trouvé une nouvelle piste de solution pour empêcher les naissances prématurées.

Nous pouvons lire sur Futura-Sciences que les gènes seraient en cause. En effet, les chercheurs en question, dirigés par Carole Mendelson, ont tout d’abord observé l’expression des gènes durant les contractions.

Les gènes miR-200, une famille de microARN, seraient en cause. Durant la grossesse et lors de l’accouchement, ces gènes feraient croître les cellules utérines. Bien que ces dernières soient présentes dans le corps de la future maman depuis le début de la grossesse, elles avaient jusque-là été inhibées par d’autres gènes, les ZEB1 et ZEB2.

C’est lorsque la proportion de ces gènes s’inverse que l’accouchement survient. Les miR-200 se multiplient, contractant ainsi le muscle utérin.

Il s’agit maintenant de poursuivre les recherches sur les gènes miR-200 afin de trouver de nouvelles solutions pour réussir à retarder l’accouchement.

Rappelons que les naissances prématurées sont la cause de nombreux cas de mortalité et de handicaps.

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Le rire est inné, les pleurs sont acquis

Le Daily Mail dévoile les résultats d’une étude portant sur le rire des bébés. Il semble que ce soit une réaction instinctive, contrairement aux pleurs.

Les pleurs seraient un comportement que nous apprenons à faire. Ainsi, lorsque le bébé pleure à sa naissance, il s’agirait d’un réflexe lié à ce choc pour rechercher de l’air.

Des chercheurs sont arrivés à cette conclusion après avoir demandé à 16 volontaires de reproduire les sons, sans utiliser de mots, reliés à certaines émotions. La moitié de ces participants étaient sourds. Ils ont ensuite demandé la même chose à 25 autres participants, lesquels entendaient tous normalement.

Parmi tous les sons, seuls ceux du rire et du soulagement (un soupir) étaient facilement reconnaissables chez les participants sourds.

D’autre part, tous les autres sons, dont les pleurs, n’étaient clairement entendus que provenant des participants qui entendaient.

Ainsi, comme les participants sourds n’ont jamais pu entendre de rires auparavant, cela suggère que nous naissons avec la capacité innée de rire.