Les sucreries sont parmi les produits qui ont le plus fort taux de dioxyde de titane, indique une nouvelle étude publiée dans Environmental Science & Technology, la revue de l’American Chemical Society.
Le Pr Paul Westerhoff de l’Arizona State University et son équipe indiquent que le dioxyde de titane se retrouve dans de nombreux produits de consommation comme les dentifrices ou encore les crèmes solaires.
Le dioxyde de titane sous forme nanoparticulaire est classé cancérigène possible pour l’homme par le Centre International de Recherche sur le Cancer depuis 2007.
Soulignons que la plupart des shampooings et déodorants contiennent les niveaux les plus bas en titane.
Débat sur les nanotechnologies
Des scientifiques britanniques du Bristol Implant Research Centre viennent de relancer le débat concernant l’utilisation des nanotechnologies dans le monde de la médecine.
Depuis quelques années, on voit arriver des essais avec des nanoparticules afin notamment d’offrir de meilleurs examens par imagerie magnétique ou encore pour transporter des médicaments dans le corps.
Or, la nouvelle étude publiée dans le Nature Nanotechnology mentionne que les chercheurs ont démontré qu’une petite particule de métaux utilisée dans les opérations de la hanche et du genou altère l’ADN au-delà de la barrière cellulaire, sans la traverser, au moyen d’un signal dont on ignorait l’existence jusqu’à maintenant.
On invite donc à la prudence avec les nanotechnologies, car bien qu’elles soient prometteuses, on ignore encore les effets secondaires qu’elles peuvent provoquer dans le corps humain.
Les tests et essais doivent donc être plus approfondis et analysés scrupuleusement avant de commencer à prodiguer ce genre de soins à un grand nombre de personnes, car cela pourrait avoir des effets néfastes et très dévastateurs que les médecins n’ont pas encore prévus.
Débat sur les nanotechnologies
Des scientifiques britanniques du Bristol Implant Research Centre viennent de relancer le débat concernant l’utilisation des nanotechnologies dans le monde de la médecine.
Depuis quelques années, on voit arriver des essais avec des nanoparticules afin notamment d’offrir de meilleurs examens par imagerie magnétique ou encore pour transporter des médicaments dans le corps.
Or, la nouvelle étude publiée dans le Nature Nanotechnology mentionne que les chercheurs ont démontré qu’une petite particule de métaux utilisée dans les opérations de la hanche et du genou altère l’ADN au-delà de la barrière cellulaire, sans la traverser, au moyen d’un signal dont on ignorait l’existence jusqu’à maintenant.
On invite donc à la prudence avec les nanotechnologies, car bien qu’elles soient prometteuses, on ignore encore les effets secondaires qu’elles peuvent provoquer dans le corps humain.
Les tests et essais doivent donc être plus approfondis et analysés scrupuleusement avant de commencer à prodiguer ce genre de soins à un grand nombre de personnes, car cela pourrait avoir des effets néfastes et très dévastateurs que les médecins n’ont pas encore prévus.