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Une nouvelle technique pour réparer le coeur après un infarctus

Des chercheurs ont élaboré une nouvelle technique pour réparer les cœurs après un infarctus du myocarde.
 
On a recours ici aux nanoparticules transporteuses et au gène VEGF, un facteur de croissance de l’endothélium vasculaire qui contribue à la survie des cellules souches étant alors transplantées.
 
Selon l’Experimental Biology and Medicine, cette technique économique, efficace et biocompatible avec le gène est fort prometteuse.
 
On doit faire pénétrer le gène dans les cellules malades pour favoriser la croissance des vaisseaux.
 
Toutefois, la technique doit être encore améliorée avant de tenter de faire des essais cliniques à grande échelle, mais il s’agit tout de même d’une belle avancée médicale dans le milieu de la cardiologie.
 
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Bonbons : attention aux nanoparticules de dioxyde de titane

Les nanoparticules de dioxyde de titane (TiO2) sont le nouveau cauchemar des parents. Les enfants en consommeraient notamment en mangeant des bonbons et autres douceurs, rapporte le site Santelog.com.
 
Dans les friandises, ce n’est pas le sucre qui est cette fois-ci montré du doigt par les scientifiques, mais bien la teneur en nanoparticules de dioxyde de titane. Les enfants en consommeraient plus que les adultes, car ils mangent régulièrement des bonbons.

Les sucreries sont parmi les produits qui ont le plus fort taux de dioxyde de titane, indique une nouvelle étude publiée dans Environmental Science & Technology, la revue de l’American Chemical Society.

Le Pr Paul Westerhoff de l’Arizona State University et son équipe indiquent que le dioxyde de titane se retrouve dans de nombreux produits de consommation comme les dentifrices ou encore les crèmes solaires.

Le dioxyde de titane sous forme nanoparticulaire est classé cancérigène possible pour l’homme par le Centre International de Recherche sur le Cancer depuis 2007.

Soulignons que la plupart des shampooings et déodorants contiennent les niveaux les plus bas en titane.

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Débat sur les nanotechnologies

Des scientifiques britanniques du Bristol Implant Research Centre viennent de relancer le débat concernant l’utilisation des nanotechnologies dans le monde de la médecine.

Depuis quelques années, on voit arriver des essais avec des nanoparticules afin notamment d’offrir de meilleurs examens par imagerie magnétique ou encore pour transporter des médicaments dans le corps.

Or, la nouvelle étude publiée dans le Nature Nanotechnology mentionne que les chercheurs ont démontré qu’une petite particule de métaux utilisée dans les opérations de la hanche et du genou altère l’ADN au-delà de la barrière cellulaire, sans la traverser, au moyen d’un signal dont on ignorait l’existence jusqu’à maintenant.

On invite donc à la prudence avec les nanotechnologies, car bien qu’elles soient prometteuses, on ignore encore les effets secondaires qu’elles peuvent provoquer dans le corps humain.

Les tests et essais doivent donc être plus approfondis et analysés scrupuleusement avant de commencer à prodiguer ce genre de soins à un grand nombre de personnes, car cela pourrait avoir des effets néfastes et très dévastateurs que les médecins n’ont pas encore prévus.

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Débat sur les nanotechnologies

Des scientifiques britanniques du Bristol Implant Research Centre viennent de relancer le débat concernant l’utilisation des nanotechnologies dans le monde de la médecine.

Depuis quelques années, on voit arriver des essais avec des nanoparticules afin notamment d’offrir de meilleurs examens par imagerie magnétique ou encore pour transporter des médicaments dans le corps.

Or, la nouvelle étude publiée dans le Nature Nanotechnology mentionne que les chercheurs ont démontré qu’une petite particule de métaux utilisée dans les opérations de la hanche et du genou altère l’ADN au-delà de la barrière cellulaire, sans la traverser, au moyen d’un signal dont on ignorait l’existence jusqu’à maintenant.

On invite donc à la prudence avec les nanotechnologies, car bien qu’elles soient prometteuses, on ignore encore les effets secondaires qu’elles peuvent provoquer dans le corps humain.

Les tests et essais doivent donc être plus approfondis et analysés scrupuleusement avant de commencer à prodiguer ce genre de soins à un grand nombre de personnes, car cela pourrait avoir des effets néfastes et très dévastateurs que les médecins n’ont pas encore prévus.