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La nanotechnologie est prometteuse pour les enfants atteints de leucémie

Pour une étude menée en laboratoire sur des souris, des chercheurs ont encapsulé un agent de chimiothérapie appelé dexaméthasone dans des nanoparticules, puis celles-ci ont été envoyées de façon ciblée sur des cellules leucémiques.

La qualité et la durée de vie ont été grandement prolongées chez les souris ayant reçu la chimiothérapie par nanotechnologie, par rapport à celles ayant reçu la chimiothérapie de façon traditionnelle.

Les différentes formes de leucémie comptent pour environ un tiers des cancers pédiatriques. La forme la plus courante, la leucémie aiguë lymphoblastique, a un taux de survie de près de 90 %, mais il demeure que les effets néfastes de la chimiothérapie, incluant les cancers secondaires, l’infertilité ainsi que les problèmes de surdité et de développement cognitif, présentent un risque important pour les enfants qui s’en sortent.

La nanotechnologie avait jusqu’à maintenant été peu étudiée dans le contexte de cancers pédiatriques. La chimiothérapie encapsulée permet de réduire la dose des deux tiers, avec de bons résultats de traitement et pas d’effets secondaires discernables, selon ce que rapporte Medical News Today.

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Une découverte en nanotechnologie pour améliorer la chimiothérapie pour les enfants cancéreux

Des chercheurs australiens ont réussi à développer une nanoparticule permettant de multiplier l’efficacité de la chimiothérapie pour les enfants atteints de neuroblastome. Les résultats de cette étude ont été publiés dans la revue Chemical Communications.

Lorsqu’ils survivent à ce cancer particulièrement virulent, les enfants ont habituellement d’autres problèmes de santé importants à long terme, en raison de la toxicité de la chimiothérapie utilisée et des fortes doses nécessaires.

Une découverte qui a le potentiel de réduire les effets négatifs de la chimiothérapie est donc considérée comme majeure. La nanoparticule créée par les chercheurs est non toxique et parvient à transporter du monoxyde d’azote, un agent de chimiothérapie puissant, directement vers les cellules cancéreuses.

Le Dr Cyrille Boyer, auteur de l’étude, a indiqué que « lorsque nous avons injecté la chimiothérapie dans des cellules de neuroblastome qui avaient été prétraitées avec la nouvelle nanoparticule, nous n’avons eu besoin que d’un cinquième de la dose habituelle », rapporte MedicalNewsToday. « En rendant la chimiothérapie cinq fois plus efficace, nous pourrions réduire considérablement les effets négatifs sur les cellules saines et les tissus. »