Des scientifiques britanniques du Bristol Implant Research Centre viennent de relancer le débat concernant l’utilisation des nanotechnologies dans le monde de la médecine.
Depuis quelques années, on voit arriver des essais avec des nanoparticules afin notamment d’offrir de meilleurs examens par imagerie magnétique ou encore pour transporter des médicaments dans le corps.
Or, la nouvelle étude publiée dans le Nature Nanotechnology mentionne que les chercheurs ont démontré qu’une petite particule de métaux utilisée dans les opérations de la hanche et du genou altère l’ADN au-delà de la barrière cellulaire, sans la traverser, au moyen d’un signal dont on ignorait l’existence jusqu’à maintenant.
On invite donc à la prudence avec les nanotechnologies, car bien qu’elles soient prometteuses, on ignore encore les effets secondaires qu’elles peuvent provoquer dans le corps humain.
Les tests et essais doivent donc être plus approfondis et analysés scrupuleusement avant de commencer à prodiguer ce genre de soins à un grand nombre de personnes, car cela pourrait avoir des effets néfastes et très dévastateurs que les médecins n’ont pas encore prévus.