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Top Gun 3 en préparation!

Les fans de Top Gun seront heureux d’apprendre qu’à la suite du succès de Top Gun: Maverick, le coscénariste du film Ehren Krüger travaillerait déjà sur un nouveau scénario, rapporte Variety.

D’autres détails suggèrent que Paramount cherche à faire revenir son équipe complète, qui comprend Tom Cruise et de jeunes talents comme Miles Teller et Glen Powell.

Top Gun: Maverick a été un immense succès au box-office et a rapporté 1,49 milliard de dollars (US) dans le monde entier, ce qui en fait le film le plus réussi de toute la carrière de Tom Cruise!

Le film a d’ailleurs remporté l’Oscar du meilleur son et a reçu six nominations totales, dont celle du Meilleur film.

Paramount semble donc plutôt confiant concernant Top Gun 3. Cependant, il est peu probable que le projet prenne de l’ampleur dans un avenir proche.

L’implication de Cruise dans le prochain Mission: Impossible 8, dont la sortie est prévue le 20 mai 2025, indique que la période de préproduction du nouveau Top Gun risque d’être longue.

L’acteur travaillerait également sur un film tourné dans l’espace, en collaboration avec la NASA, réalisé par Doug Liman pour Universal.

Tom Cruise n’est donc pas près de disparaître des écrans… au plaisir de plusieurs et au grand dam de bien d’autres!

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Des missions spatiales vers Jupiter en 2023!

Les missions spatiales de 2023 risquent d’être très marquantes puisque de nouvelles étapes de l’exploration cosmique seront mises en avant-plan par la NASA.

Cette année, la NASA lancera son voyage vers un monde métallique, un vaisseau spatial placera sur la Terre une tonne d’échantillons d’astéroïdes et une mission lunaire historique recevra son équipage.

Beaucoup de choses sont à attendre, selon l’administrateur de la NASA, Bill Nelson.

«D’autres découvertes stupéfiantes du télescope Webb, des missions climatiques qui nous en apprendront davantage sur l’évolution de la Terre, la poursuite des activités scientifiques à bord de la station spatiale internationale, des développements aéronautiques révolutionnaires avec les avions expérimentaux X-59 et X-57, la sélection des premiers astronautes qui iront sur la Lune depuis plus de 50 ans, et bien d’autres choses encore», a-t-il indiqué.

Le plan de la NASA est formidable, tout comme celui de l’Agence spatiale européenne, qui ouvrira une mission vers Jupiter et ses lunes. En plus de ça, elle enverra un satellite afin de concevoir une carte 3D de l’univers, et elle entamera une nouvelle formation pour ses astronautes, dont un qui est handicapé physiquement.

Cette progression suit l’évolution de la vie et prouve à quel niveau l’homme est évolué!

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Échec cuisant pour la NASA, qui doit annuler son lancement test vers la lune

Un échec qui fait mal pour la NASA.

La NASA a dû renoncer à son lancement test vers la lune, après que des ennuis techniques aient forcé les décideurs à prendre cette décision crève-coeur au cours des dernières heures.

La navette, qui ne devait pas comprendre d’équipage toutefois, a été victime d’un bris ayant mené à l’écoulement de carburant, rapporte CNN.

La prochaine tentative de lancement ne se fera pas avant vendredi, au mieux.

Rappelons que la NASA va se servir d’un côté de la lune afin de préparer les astronautes à débarquer sur la planète mars.

Le programme Artemis vise à faire débarquer les astronautes sur le pôle Sud de la lune, qui a été inexploré, pour ensuite se rendre sur la planète mars (si c’est concluant).

Les astronautes ne partiront pas pour deux semaines, mais pour des missions de longue durée dans des espaces lointains, qui testeront les limites de l’exploration. Il serait question de période variant de six mois à un an…

«Nous retournons sur la lune afin d’apprendre à vivre, à travailler et à survivre», a déclaré l’administrateur de la NASA, Bill Nelson.

Les objectifs de la NASA sont d’apprendre à maintenir des humains en vie dans des conditions hostiles, puis d’apprendre à utiliser les ressources de la lune afin de pouvoir construire un voyage vers mars.

Selon Jacob Bleacher, la lune est en quelque sorte une bibliothèque céleste pour apprendre:

«Notre lune est en quelque sorte une bibliothèque céleste juste à côté de nous. Les roches lunaires et la glace lunaire servent essentiellement de livres dans cette bibliothèque. Nous pouvons les utiliser pour commencer à révéler comment le système solaire a évolué. Cela peut vraiment nous aider à mieux comprendre ce qui se passait ici sur Terre lorsque la vie prenait pied dans le système solaire!»

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La NASA dévoile ses nouvelles combinaisons spatiales

L’Agence spatiale américaine (NASA) vient de dévoiler les combinaisons spatiales que porteront ses astronautes pour les futures missions ISS et Artemis.

Les nouvelles combinaisons ont été créées par Axiom Space, un développeur privé d’infrastructures spatiales, en partenariat avec Collins Aerospace, un fournisseur de produits aérospatiaux et de défense.

Selon les concepteurs, l’idéologie recherchée avec ces nouvelles combinaisons était de créer «une ambiance moderne et plus sportive».

Depuis 2019 que la NASA et ses partenaires travaillent à ces nouvelles combinaisons. Les précédentes combinaisons datant de plus de 40 ans, elles ne sont pas bien adaptées aux nouvelles réalités. Par exemple, il y a quarante ans, les femmes ne volaient pas dans l’espace. Aujourd’hui, elles sont de toutes les missions.

«Lorsque nous serons sur la Lune (missions Artemis), nous aurons notre première personne de couleur et notre première femme qui porteront et utiliseront ces combinaisons dans l’espace», a déclaré Vanessa Wyche, directrice du Johnson Space Center de la NASA à Houston.

Avant d’être utilisées pour les missions Artemis, les nouvelles combinaisons spatiales seront testées à bord de la Station spatiale internationale (ISS).

Le programme Artemis a été lancé par la NASA en décembre 2017 et vise à ramener des humains sur la Lune d’ici 2025.

Deux des objectifs à court terme du programme sont de faire atterrir la première femme et la première personne de couleur sur la Lune.

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La NASA vous offre la chance d’aller dans l’espace

Mobile Launcher rolls from Pad 39B to the Vehicle Assembly Building.

Voyager dans l’espace n’est pas un privilège donné à tous. Votre nom, lui, pourrait s’y retrouver lors du lancement de la mission Artemis I.

L’Agence spatiale américaine prévoit envoyer une première fusée Orion dans le cadre des missions Artemis en mai ou juin prochain. Dans le but de susciter un plus grand intérêt pour l’aventure spatiale, la NASA a ouvert un concours au monde entier afin que des personnes aient leur nom à bord du vaisseau qui se dirigera vers la Lune.

La NASA recueille des noms qui seront inscrits sur une clé USB et envoyés dans l’espace. Il est gratuit d’ajouter son nom à la clé USB, a déclaré Kathryn Hambleton, porte-parole de la NASA.

«Nous espérons que c’est un moyen de susciter l’enthousiasme des gens, de les faire participer et d’inspirer la prochaine génération, la génération Artemis», explique l’Agence américaine.

Artemis I sera le premier essai en vol sans équipage de la fusée Space Launch System (SLS) et du vaisseau spatial Orion. Ce vol ouvre la voie à l’atterrissage de la première femme et de la première personne de couleur, Jessica Watkins, sur la Lune, souligne la NASA.

Pour vous inscrire à ce concours, vous n’avez qu’à vous inscrire gratuitement sur le site de la NASA. Vous y entrez votre nom vous pourrez générer une carte d’embarquement pour le concours.

NASA

Artemis I sera la première d’une série de missions de plus en plus complexes visant à établir une présence humaine à long terme sur la Lune pour les décennies à venir. La mission prévue dans quelques mois transportera pour la première mission une tablette interactive baptisée Callisto. Cet assistant personnel est un dispositif à écran tactile qui comporte une version reconfigurée d’Alexa d’Amazon qui aidera les futurs astronautes dans leurs diverses tâches.

À plus long terme, la NASA installera une base permanente qui serait probablement implantée dans le cratère Shackleton de la Lune.

Habitez la Lune en permanence apportera son lot de défis. La NASA envisage d’y implanter un service de Wi-Fi pour faciliter les communications.

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La station spatiale sera détruite en 2031

L’Agence spatiale américaine vient d’indiquer comment elle comptait se débarrasser de la station spatiale internationale (ISS) à la fin de sa vie utile.

La NASA a révélé dans les dernières heures son intention de faire s’écraser sur terre ISS dans une partie reculée de l’océan Pacifique, connue sous le nom de Point Nemo.

La station spatiale internationale fut lancée en 2000. Le grand laboratoire spatial est en orbite à 408 km au-dessus de la Terre. Au fil des ans, plus de 200 astronautes de 19 pays différents y ont séjourné, de même que quelques touristes de l’espace. On projette même d’y tourner une téléréalité.

En janvier 2031, la NASA souhaite que l’ISS retombe sur Terre dans une zone océanique inhabitée du Pacifique Sud, Point Nemo. Ce lieu, nommé ainsi d’après le roman de Jules Verne «Vingt mille lieues sous les mers», est le point de l’océan le plus éloigné de la terre.

Point Nemo se trouve à plus de 4800 km au large de la côte est de la Nouvelle-Zélande. On estime que les nations spatiales telles que les États-Unis, la Russie, le Japon et les pays européens y ont coulé plus de 263 débris spatiaux depuis 1971.

Si l’ISS en est à ses dernières orbites, d’autres stations spatiales vont lui succéder. Déjà, la Chine, dont les astronautes ont longtemps été exclus de l’ISS, a lancé l’année dernière le premier module de sa future station spatiale. Elle devrait être pleinement opérationnelle d’ici la fin de l’année.

La Russie de son côté a déclaré qu’elle abandonnerait le projet de l’ISS en 2025. Elle prévoit construire sa propre station spatiale qui pourrait être lancée en 2030.

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Le télescope James Webb atteint sa destination finale

Près d’un mois après son lancement dans l’espace, le télescope James Webb est arrivé à son point d’observation où il pourra maintenant scruter les confins de l’univers.

Le 25 décembre dernier, la NASA lançait de la Guyane française un nouveau télescope d’une valeur de 10 milliards de dollars.

Le télescope se trouve aujourd’hui à près d’un million de kilomètres de la Terre et au-delà de la Lune, sur une orbite appelée Lagrange 2.

Alors que le télescope spatial Hubble est en orbite autour de la Terre, Webb est plutôt en orbite autour du soleil.

Avec maintenant son pare-soleil de la taille d’un court de tennis déployé et après avoir déplié un miroir doré massif, le télescope James Webb pourra étudier l’univers sous un angle nouveau et scruter l’atmosphère des exoplanètes.

La principale caractéristique de Webb par rapport à Hubble est qu’il observera l’univers en lumière infrarouge et détectera les signaux les plus faibles des objets de notre univers lointain.

Développé par l’Agence spatiale américaine en collaboration avec l’Agence spatiale européenne et de l’Agence spatiale canadienne, le télescope James Webb devrait renvoyer ses premières images vers la Terre l’été prochain.

D’ici là, les ingénieurs vont passer les cinq prochains mois à calibrer ses instruments.

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La NASA touche le Soleil pour la première fois

Pour la première fois dans l’histoire aujourd’hui, un engin spatial lancé par l’Agence spatiale américaine a touché le Soleil.

La sonde Parker Solar Probe de la NASA a traversé la haute atmosphère du Soleil, aussi appelée la couronne, et y a échantillonné des particules et des champs magnétiques. Une première dans l’histoire de la conquête spatiale.

Pour les scientifiques, cet exploit est phénoménal. Il devrait permettre de découvrir des informations essentielles sur notre étoile la plus proche et son influence sur le système solaire.

«Le fait que la sonde Parker Solar Probe « touche le Soleil » est un moment monumental pour la science solaire et un exploit vraiment remarquable», a déclaré Thomas Zurbuchen, administrateur associé de la Science Mission Directorate au siège de la NASA à Washington.

Parmi les découvertes importantes réalisées par Parker Solar Probe depuis que la sonde s’est approchée du Soleil en 2019, il y a l’intérieur du vent solaire. Ces flux de particules aussi appelés « switchbacks » sont nombreux à proximité du Soleil.

Parker Solar Probe est maintenant passé suffisamment près pour identifier un endroit où elles prennent naissance : la surface solaire. Ce phénomène était impossible à étudier de loin.

Maintenant que les chercheurs savent ce qu’ils doivent rechercher, les passages plus rapprochés de Parker pourraient révéler encore plus d’indices sur les retours de flamme et d’autres phénomènes solaires.

Les données à venir permettront aux scientifiques de prévoir les phénomènes météorologiques spatiaux extrêmes qui peuvent perturber les télécommunications et endommager les satellites autour de la Terre.

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La NASA surveille un astéroïde préoccupant

L’Agence spatiale américaine est préoccupée par l’arrivée dans l’orbite terrestre d’un astéroïde de la grosseur de la tour Eiffle.

Le 11 décembre prochain, l’astéroïde Nérée 4660, une masse rocheuse de près de 330 mètres de long, «frôlera» la Terre, heureusement sans toutefois la percuter.

Dans les faits, Nérée 4660 passera à 3,9 millions de kilomètre de notre planète, soit environ 10 fois la distance entre la Terre et la Lune. Cette distance paraît lointaine, mais à l’échelle de la galaxie, c’est tout près.

Pour cette raison, la NASA a placé l’objet céleste qui file en ce moment à la vitesse de 23 600 km/h dans la catégorie «potentiellement dangereuse».

Nérée 4660 a été découvert pour la première fois en 1982. Il passe fréquemment près de la Terre, de sorte que la Nasa et l’agence spatiale japonaise (JAXA) ont un jour envisagé de le «frapper» pour le faire dévier de sa trajectoire.

La semaine dernière, la NASA a lancé une fusée en direction d’un autre astéroïde dans le but de le faire dévier de sa trajectoire. Cette mission appelée DART (Double Asteroid Redirection Test) est cruciale afin de savoir si les humains sont en mesure de détourner un astéroïde qui menacerait la Terre.

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La NASA veut dévier un astéroïde

BUM Interactif

L’Agence spatiale américaine lancera la nuit prochaine une fusée en direction d’un astéroïde dans le but de le faire dévier de sa trajectoire.

Cette nouvelle n’est pas sans rappeler l’histoire du film Armageddon de Michael Bay. Contrairement au film de science-fiction, la vie de l’humanité n’est pas en jeu et Bruce Willis ne sera pas de la mission…

Néanmoins, cette nuit à 1h20, une fusée SpaceX Falcon 9 prendra son envol d’une base californienne en direction d’un astéroïde appelé Dymorphos, un astéroïde de 160 mètres de large. Si tout se déroule comme prévu, en septembre 2022, un «impacteur cinétique» frappera l’astéroïde pour le faire dévier de sa trajectoire.

La mission appelée DART (Double Asteroid Redirection Test) est cruciale afin de savoir si les humains sont en mesure de détourner un astéroïde qui menacerait la Terre.

Afin de savoir comment se déroulera cette première mondiale, une petite sonde de l’agence spatiale italienne, LICIACube, sera larguée juste avant l’impact avec Dymorphos. Cette sonde va scanner d’éventuels débris causés par l’impact et voir si la trajectoire de l’astéroïde sera déviée.

La NASA précise que même si Dymorphos devait dévier de sa trajectoire, il ne menacera jamais la Terre, étant trop loin de notre planète.

L’Agence spatiale américaine ne lésine pas sur les efforts pour découvrir les astéroïdes qui pourraient menacer la Terre. Depuis plus d’un an, la NASA utilise l’intelligence artificielle pour détecter les objets supérieurs à 100 mètres de diamètre et simuler la trajectoire de ces objets pour les 10 000 années à venir.