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Sarahmée et Mariana Mazza en vedette d’une nouvelle campagne pour la diversité

Encore une fois cette année, Reitmans se prononce sur la diversité le temps d’une campagne qui se nomme La diversité est la fibre du Canada et qui met en lumière sept personnalités connues d’ici aux origines diverses qui participent à la richesse culturelle de notre société.

Ces sept femmes sont Mariana Mazza, Sarahmée, Natasha Kanapé FontaineAlexandra Diaz, la danseuse du Ballet national du Canada Chan Hon Goh, l’athlète Angela James et la designer de mode Sandy Kaur Gill. Chaque ambassadrice a participé à la confection d’un motif qui représente sa culture et ses styles. Ces motifs paraîtront chacun sur un modèle de t-shirts ou un foulard. Un sac fourre-tout a également été créé pour l’occasion.

Ce qui est encore plus génial, c’est que pour chaque article vendu, Reitmans s’engage à verser un montant de 2$ pour chacune des sept causes choisies par les ambassadrices, jusqu’à un maximum de 10 000$ pour chacune d’entre elles.

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20 personnalités connues se confient sur la santé mentale dans cette lumineuse websérie

Selon de récentes données, un jeune québécois sur cinq souffrirait d’un trouble de santé mentale. Parmi les troubles les plus courants, on compte l’hyperanxiété, les troubles alimentaires et l’automutilation. Des faits préoccupants qui montrent à quel point il est essentiel d’aborder le sujet avec nos jeunes, et ce, plus encore en ces temps de pandémie. La série documentaire Parfaitement imparfait arrive donc à point sur ICI Tou.tv.

Dès le 2 mars, on retrouvera sur la plateforme en ligne 20 épisodes d’environ 10 minutes dans lesquels on suivra la rencontre d’un jeune et d’une personnalité connue qui vivent avec le même trouble de santé mentale (anxiété, dépression, bipolarité, TPL, anorexie, TDAH, etc.). À travers des activités amusantes, ceux-ci discuteront de leurs expériences et échangeront des conseils qui leur ont permis de mieux comprendre leur situation.

La mission de Parfaitement imparfait est donc de briser les tabous entourant la santé mentale avec des capsules divertissantes, décomplexées et lumineuses.

Marie-Mai, Marie-Soleil Dion, Antoine Desrochers, Rosalie Vaillancourt, Mélissa Bédard, Mara Tremblay, Simon Boulerice, PA Méthot, Livia Martin, Natasha Kanapé Fontaine, Alice Morel-Michaud, les chefs Danny St-Pierre et Antonin Mousseau-Rivard, la youtubeuse Gloria Bella, l’artiste Gabrielle Laïla Tittley, plus connue sous son pseudonyme Pony, et plusieurs autres ont accepté de se livrer sans filtre et tout en douceur pour la cause.

La série réalisée par Joëlle Desjardins Paquette a pu compter sur l’appui de la Fondation Jeunes en Tête et vingt autres organismes, dont ANEB Québec, Tel-Jeunes, la Fondation Jasmin Roy, Dis-moi et Tel-Aide, qui viennent tous en aide aux adolescents et leur entourage. Le Fonds Telus, dédié à la santé, a également contribué au financement de la série.

À ne pas manquer sur ICI Tou.tv, dès le 2 mars!

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Les personnalités dénoncent la mort de Joyce Echaquan

La mort de Joyce Echaquan, une femme atikamekw de 37 ans décédée lundi à l’hôpital de Joliette sous les commentaires racistes des infirmières qui auraient dû prendre soin d’elle, a bouleversé le Québec en entier dans les derniers jours. La mère de sept enfants a publié une vidéo sur Facebook quelques minutes avant de mourir à cause de la morphine qui lui a été administrée et qu’elle avait pourtant refusé de recevoir.

Cette nouvelle démonstration tragique du racisme systémique a été décriée entre autres par le grand chef de la Nation atikamekw, Constant Awashish, mais aussi par diverses figures politiques et plusieurs personnalités publiques. Le #JusticeForJoyce a d’ailleurs émergé sur les réseaux sociaux, en plus de nombreuses manifestations qui sont déjà organisées.

Parmi les artistes qui ont dénoncé le racisme flagrant et cette mort aussi choquante qu’injuste, on compte la poétesse, actrice et activiste pour les droits des communautés autochtones Natasha Kanapé Fontaine, qui a partagé une superbe illustration créée par Maïlys Flamand en soulignant son désarroi.

« Une mort dans des circonstances atroces. Tout ça s’est passé hier à Joliette, au Québec. Je suis sans voix, sans mot, c’est trop. J’ai mal », a-t-elle entre autres écrit.

Annie-Soleil Proteau a de son côté partagé une photo de Joyce en écrivant un texte très senti, dans lequel elle invite notamment ses abonnés à contribuer à la campagne de financement instaurée pour aider la famille de la défunte. Plus de 100 000$ ont été récoltés jusqu’à maintenant, et vous pouvez donner juste ici.

« Elle s’appelle Joyce. Elle a 37 ans. Elle est maman de sept enfants. Mais plus maintenant. Joyce est morte hier à l’hôpital de Joliette. Pendant qu’elle souffrait et implorait à l’aide, une infirmière et une autre membre du personnel l’insultaient avec des phrases racistes absolument dégueulasses. […] Aujourd’hui, sept enfants se retrouvent sans leur maman. Sans maman, seuls dans un monde dont ils n’oublieront jamais la cruauté. Je ne sais pas si vous avez vu la vidéo de Joyce qui se fait maltraiter à l’hôpital. Je vous le dis, ça décarcasse le cœur. Si vous le voulez et si vous le pouvez, il y a une campagne de financement qui [a] été mise sur pied pour aider la famille de Joyce. »

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Elle s’appelle Joyce. Elle a 37 ans. Elle est maman de 7 enfants. Mais plus maintenant. Joyce est morte hier à l’hôpital de Joliette. Pendant qu’elle souffrait et implorait à l’aide, une infirmière et une autre membre du personnel l’insultaient avec des phrases racistes absolument dégueulasses. « Estie d’épaisse. C’est mieux mort ça ! As-tu fini de niaiser câlisse ? T’es épaisse en câlisse ! » « T’as fait des mauvais choix ma belle ! Qu’est-ce qu’ils penseraient tes enfants de te voir comme ça ? Pense à eux autres un peu. C’est meilleur pour fourrer qu’autre chose, pis on paye pour ça. Qui tu penses qui paye pour ça ? » On lui a en plus donné de la morphine contre son gré. Joyce avait un pacemaker et savait qu’elle était allergique. Elle est morte quelques minutes après. Aujourd’hui 7 enfants se retrouvent sans leur maman. Sans maman, seuls dans un monde dont ils n’oublieront jamais la cruauté. 💔 Je ne sais pas si vous avez vu la vidéo de Joyce qui se fait maltraiter à l’hôpital. Je vous le dis, ça décarcasse le cœur. Si vous le voulez et si vous le pouvez, il y a une campagne de financement qui été mise sur pied pour aider la famille de Joyce. 🖤 https://www.gofundme.com/f/justice-pour-joycejustice-for-joyce #JusticePourJoyce #JoyceEchaquan

Une publication partagée par Annie-Soleil Proteau (@anniesoleil.proteau) le

« Arrêtons de nier le racisme systémique envers les autochtones et agissons. MAINTENANT. Mon coeur est avec toute la famille de Joyce, avec la communauté de Manawan, et avec tous mes amis des différentes nations autochtones. Je suis avec vous. Ça suffit », a de son côté décrié Vanessa Pilon, partageant la même magnifique illustration qui réclame justice pour Joyce.

Le premier ministre François Legault a confirmé qu’au moins une des infirmières impliquées dans le décès de Joyce Echaquan a été congédiée, mais n’a pas voulu reconnaître que l’origine du problème se trouve dans le racisme systémique. La cheffe de l’opposition officielle, Dominique Anglade, a quant à elle réclamé la démission de la ministre responsable des Affaires autochtones, Sylvie D’Amours.

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«Encré dans la peau»: Des stars dévoilent l’histoire derrière leurs tatouages

Que vous comptiez sur votre corps une collection de tatouages ou que vous n’en ayez aucun, il n’en demeure pas moins qu’on est toujours un peu curieux de savoir la signification derrière ces dessins indélébiles quand on en voit. C’est ce que nous proposera Encré dans la peau, un nouveau docu-réalité diffusé sur Unis TV dès le 15 octobre prochain.

Pour l’occasion, plusieurs vedettes qu’on adore iront se faire tatouer une belle nouveauté en dévoilant l’histoire qui y est rattachée. Jonathan Roberge, Marie-Lyne Joncas, Sarahmée, Marianne St-Gelais, Natasha Kanapé Fontaine, Nicolas Archambault et Safia Nolin sont les personnalités qu’on aura la chance de voir dans l’émission qui comptera 9 épisodes de 24 minutes, en plus de clients réguliers qui auront eux aussi d’intimes confidences à faire. Car il est vrai que le lien qui se développe entre le tatoué et le tatoueur est un autre élément important du processus.

C’est pourquoi la série se penchera également sur le métier de tatoueurs en mettant en vedette David Brown de Wolfgang Social Club, Sarah-Jade Beauregard et Elodie Martin de MTL Tattoo, ainsi que Charles Saucier d’Imperial Tattoo Connexion, quatre artisans de ce domaine qui n’ont plus à prouver leur talent. Ce sont eux qui graveront à l’encre tous les invités de l’émission, tout en discutant de leur démarche artistique et ce qui les a menés dans le monde du tatouage. Un épisode inclura aussi le légendaire Tony D’Annessa, le tatoueur le plus âgé du pays du haut de ses 84 ans.

Réalisée par Nils Caneele et produite par Wookey FilmsEncré dans la peau verra ses trois premiers épisodes rendus disponibles sur le site de la chaîne dès le 5 octobre, les autres s’ajouteront au fur et à mesure de la diffusion télé.

Confiant du succès que rapportera cette série humaine, Unis TV a déjà commandé d’autres épisodes pour l’automne 2021.

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Natasha Kanapé Fontaine livre un puissant témoignage sur sa sobriété

Nul n’est près d’oublier le personnage d’Eyota Standing Bear, campé avec nuances par Natasha Kanapé Fontaine dans Unité 9. Son interprète, d’abord poète et militante, avait fait un point d’honneur de ne pas décevoir la communauté innue dans ce rare portrait d’une femme autochtone dans une série populaire. Au-delà des stéréotypes, Natasha a voulu donner vie à ce personnage écorché par son existence, sans qu’elle ait à boire ou à fumer à l’écran. Cette spécificité est d’autant plus sensible que l’actrice a elle-même dû combattre une dépendance.

Forte de ses six mois de sobriété, elle était de passage sur le plateau des Échangistes, où elle s’est confié sur la véritable révélation qui a accompagné son sevrage et donné naissance à Nanimissuat, Île-tonnerre, son dernier recueil de poésie :

« Des fois, quand on a un problème d’alcool, c’est souvent parce qu’on se cache à soi-même que l’on fuit quelque chose en soi. Moi, je pensais que j’avais besoin d’alcool pour écrire de la poésie. Ça, c’est une drôle d’idée, et ça vient peut-être même d’un préjugé sur les poètes, mais c’est une construction étrange qui m’a amenée vers une dépendance. À un moment donné j’ai compris qu’il y avait quelque chose à l’intérieur de moi que je n’arrivais pas à régler et qui me faisais aller toujours vers l’alcool et finalement, j’ai compris que ce n’était pas ça du tout qui m’aidait, qui me ferais comprendre qui je suis réellement. »

« Quand j’ai réussi à arrêter, ça a été avec l’aide de femmes autochtones qui avaient vécu ces dépendances-là et qui viennent aider d’autres personnes avec ces problématiques à mieux se comprendre, à mieux comprendre les racines de leurs patterns. Quand j’ai réussi à arrêter, ça a été grandiose. Ça a été la parole de femmes fortes autour de moi qui m’ont dit : ‘Il est temps que tu passes à toi’ . Pas que tu penses, que tu passes à toi », a-t-elle ajouté. Ces derniers mots ont complètement soufflé toute personne présente sur le plateau et derrière l’écran.

« Quand j’ai arrêté, ça a pris un mois, deux mois, le sevrage, et j’ai réussi à voir clair. Je me suis dit : ça, c’est moi. J’ai réalisé que j’avais passé dix ans de ma vie sans jamais me connaître », poursuit la comédienne et auteure.

L’actrice prend souvent parole au sujet de la violence faite aux femmes autochtones, de même que la pauvreté et le racisme institutionnalisés qui aggravent les problèmes de toxicomanie chez les membres des Premières Nations.

Des artistes tels que Étienne Boulay, Sylvain Marcel ou encore Éliane Gagnon se sont également souvent confiés sur leur sobriété.

Pour revoir le passage de Natasha sur le plateau des Échangistes, c’est par ici!

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Natasha Kanapé Fontaine : « Eyota, je la vois dans les rues »

L’interprète d’Eyota dans Unité 9 se dévoile davantage dans un entretien candide avec Richard Therrien du Soleil, une entrevue que les fans de la série diffusée sur ICI Radio-Canada Télé voudront certainement découvrir.

Natasha Kanapé Fontaine se dit très proche de son personnage, au point d’avoir eu plusieurs réactions émotives en la regardant à l’écran.

La comédienne avoue notamment avoir pleuré en regardant son interprétation, rapporte Therrien, mais aussi qu’elle « restait avec » le personnage d’Eyota pendant de nombreux jours à la suite des enregistrements.

« Pour moi, elle existait. Eyota, je la vois dans les rues du centre-ville… », explique notamment Natasha Kanapé Fontaine au cours de l’entrevue.

La comédienne y va aussi de quelques révélations, dont sur ses propres expériences difficiles depuis son adolescence. On y découvre une artiste unique et intègre, que le public voudra certainement adopter encore davantage.

Découvrez ici l’entrevue complète de Natasha Kanapé Fontaine.