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D’autres artistes font défection de Spotify

Le mouvement de défections d’artistes qui choisissent de quitter Spotify en raison de la désinformation sur la COVID-19 qui sévit sur la plateforme s’accentue.

C’est le Canadien Neil Young qui est à l’origine de ce mouvement. L’artiste a déclaré la semaine dernière qu’il voulait que sa musique soit retirée parce que Spotify «diffuse de fausses informations sur les vaccins – causant potentiellement la mort de ceux qui croient cette désinformation diffusée par eux.»

Le Torontois de 76 ans pointait particulièrement l’animateur de podcasts Joe Rogan et son émission The Joe Rogan Experience.

Peu de temps après, c’était au tour du prince Harry et de son épouse Meghan Markle de s’inquiéter publiquement de la désinformation sur les ondes de Spotify. Le couple très en vue a une entente pour diffuser des podcasts sur le service en ligne.

À la suite des propos tenus par la légende du rock et par le couple royal, d’autres artistes ont emboité le pas. L’action de Spotify a subi une forte baisse hier (mercredi) en raison de ces pressions artistiques et d’un ralentissement des prévisions de croissance.

Suivant l’exemple de Neil Young, Joni Mitchell a déclaré qu’elle allait elle aussi retirer sa musique de Spotify. «Des personnes irresponsables répandent des mensonges qui coûtent la vie à des gens», a écrit Joni Mitchell sur son site internet vendredi dernier. «Je suis solidaire de Neil Young et des communautés scientifiques et médicales mondiales sur cette question.»

Après ces deux grands noms de la musique, le géant de la chanson québécoise Gilles Vigneault de demander également à Spotify de retirer tous ses titres de la plateforme de diffusion. Il est le premier artiste québécois à prendre ainsi position.

Sans grande surprise, le groupe de Neil Young, Crosby, Stills, Nash and Young a décidé de soutenir l’initiative de leur ancien compagnon de groupe, en annonçant qu’ils voulaient retirer leur musique de Spotify.

La musicienne et podcaster India Arie a déclaré plus tôt cette semaine qu’elle retirait son contenu de Spotify. Cependant, ses raisons vont au-delà des fausses informations de Rogan sur la COVID. «Neil Young a ouvert une porte que je dois franchir», a écrit Arie sur Instagram. «Je crois en la liberté d’expression. Cependant, je trouve Joe Rogan problématique pour d’autres raisons. Pour moi, c’est aussi son langage autour de la race.»

Finalement, Mary Trump, podcaster, auteur et nièce de l’ancien président Donald Trump, a pris la parole sur Twitter cette semaine pour dire qu’elle retirait son podcast, The Mary Trump Show, de la plateforme. «Je sais que ce n’est pas grand-chose, mais j’espère que cela fera partie d’une avalanche croissante,» a-t-elle tweeté.

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BuzzNews Divertissement

150M$ pour les chansons de Neil Young

L’auteur-compositeur et interprète canadien Neil Young vient de vendre la moitié des droits de ses chansons pour une somme évaluée à 150 millions de dollars (US).

Le père des succès Heart Of Gold et Rockin’ in the Free World, entre autres, s’ajoute à la liste d’artistes légendaires qui ont décidé d’empocher de grosses sommes au crépuscule de leurs carrières.

Selon la BBC, les 150 millions ont été payés par la firme britannique Hipgnosis Songs Fund. Le fonds met ainsi la main sur la moitié des droits d’auteur pour le monde entier des 1180 chansons de l’artiste né à Toronto en 1945.

Créée en 2018, Hipgnosis Songs a acquis depuis sa fondation les droits sur la musique de Blondie, Enrique Iglesias, Barry Manilow et Timbaland.

Neil Young, 75 ans, suit ainsi les traces Lindsey Buckingham de Fleetwood Mac et de Bob Dylan le mois dernier qui ont empoché des fortunes pour leur travail réalisé durant de nombreuses décennies.

Neil Young a été fait Officier de l’Ordre du Canada en décembre 2009. Il est devenu citoyen américain, ayant maintenant la double citoyenneté, en janvier 2020.

Il est membre du Temple de la renommée du Rock and Roll depuis 1995.

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150M$ pour les chansons de Neil Young

L’auteur-compositeur et interprète canadien Neil Young vient de vendre la moitié des droits de ses chansons pour une somme évaluée à 150 millions de dollars (US).

Le père des succès Heart Of Gold et Rockin’ in the Free World, entre autres, s’ajoute à la liste d’artistes légendaires qui ont décidé d’empocher de grosses sommes au crépuscule de leurs carrières.

Selon la BBC, les 150 millions ont été payés par la firme britannique Hipgnosis Songs Fund. Le fonds met ainsi la main sur la moitié des droits d’auteur pour le monde entier des 1180 chansons de l’artiste né à Toronto en 1945.

Créée en 2018, Hipgnosis Songs a acquis depuis sa fondation les droits sur la musique de Blondie, Enrique Iglesias, Barry Manilow et Timbaland.

Neil Young, 75 ans, suit ainsi les traces Lindsey Buckingham de Fleetwood Mac et de Bob Dylan le mois dernier qui ont empoché des fortunes pour leur travail réalisé durant de nombreuses décennies.

Neil Young a été fait Officier de l’Ordre du Canada en décembre 2009. Il est devenu citoyen américain, ayant maintenant la double citoyenneté, en janvier 2020.

Il est membre du Temple de la renommée du Rock and Roll depuis 1995.

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Divertissement

Neil Young poursuit Donald Trump

Le président américain s’était servi des pièces Rockin’ in the Free World et Devil’s Sidewalk lors de rassemblements républicains.

Le rockeur de 74 ans s’est opposé en demandant à la cour d’interdire à cette pratique.

«En bonne conscience, il ne peut permettre l’utilisation de sa musique, afin qu’elle serve de chansons thèmes pour diviser et promouvoir une campagne américaine qui promeut ignorance et haine», explique la requête des avocats du chanteur au tribunal.

Neil Young demande à la cour un dédommagement et une injonction afin d’empêcher Donald Trump de faire usage de ses chansons dans d’autres futurs rassemblements électoraux.

Le mois dernier à Mount Rushmore, le président américain aurait utilisé trois chansons du chanteur, ce qui l’aurait grandement irrité.

Cette pratique des politiciens d’utiliser des chansons d’artistes sans leur consentement est fréquente. Le mois dernier, Elton John, The Rolling Stones, Lionel Richie et 50 autres musiciens ont imploré dans une lettre ouverte les partis républicain et démocrate de cesser cette façon de faire.

Photo : Cover Images

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Neil Young poursuit Donald Trump

Le président américain s’était servi des pièces Rockin’ in the Free World et Devil’s Sidewalk lors de rassemblements républicains.

Le rockeur de 74 ans s’est opposé en demandant à la cour d’interdire à cette pratique.

«En bonne conscience, il ne peut permettre l’utilisation de sa musique, afin qu’elle serve de chansons thèmes pour diviser et promouvoir une campagne américaine qui promeut ignorance et haine», explique la requête des avocats du chanteur au tribunal.

Neil Young demande à la cour un dédommagement et une injonction afin d’empêcher Donald Trump de faire usage de ses chansons dans d’autres futurs rassemblements électoraux.

Le mois dernier à Mount Rushmore, le président américain aurait utilisé trois chansons du chanteur, ce qui l’aurait grandement irrité.

Cette pratique des politiciens d’utiliser des chansons d’artistes sans leur consentement est fréquente. Le mois dernier, Elton John, The Rolling Stones, Lionel Richie et 50 autres musiciens ont imploré dans une lettre ouverte les partis républicain et démocrate de cesser cette façon de faire.

Photo : Cover Images

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Potins

Drake et Neil Young rendent hommage à Gord Downie

Au lendemain de l’annonce de la mort de Gord Downie, les hommages continuent d’affluer pour souligner le triste départ du leader de The Tragically Hip.

Parmi eux, ceux de Drake et Neil Young, deux autres fiers Canadiens.

Drake écrit sur Instagram :

« Repose en paix, légende. Si content qu’on ait pu se rencontrer et avoir cette conversation. Tu seras toujours chéri par ce pays, et tu manqueras au monde entier », aux côtés d’une photo de lui et de Downie, croquée lors d’un match des Raptors de Toronto, dans la NBA.

Neil Young écrit notamment sur Facebook :

« Repose en paix Gord Downie. Tu as toujours été un vrai artiste canadien. »

Ces hommages rejoignent ceux du premier ministre Justin Trudeau, de nombreux autres artistes et de milliers de Canadiens.

Gord Downie est mort le 17 octobre 2017, des suites d’un cancer.

Il avait enregistré un ultime album qu’il voulait posthume, qui sera proposé le 27 octobre prochain, rapporte le Rolling Stone.

Une nouvelle? : scoop@buminteractif.com

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Musique

David Letterman introduira Pearl Jam au Rock and Roll Hall of Fame

C’est à Neil Young que devait revenir l’honneur de présenter Pearl Jam pour son entrée au Rock and Roll Hall of Fame, mais c’était sans compter sur la santé faiblarde du grand monsieur de la musique. 

«  À cause de la maladie, Neil Young ne pourra malheureusement pas mener la cérémonie d’introduction de Pearl Jam. The Rock and Roll Hall of Fame a le plaisir d’annoncer que David Letterman a accepté de le remplacer pour cette 32e Cérémonie d’intronisation annuelle », a annoncé par voie de communiqué le panthéon du rock’n’roll.

Le choix de David Letterman ne s’est pas fait au hasard : en effet, le groupe Pearl Jam s’est produit à plusieurs reprises dans l’émission menée par Letterman sur CBS, le Late Show, maintenant animé par Stephen Colbert.

Le groupe de rock américain Pearl Jam verra donc son nom être gravé dans le marbre du rock’n’roll à jamais, puisqu’il sera enfin intronisé au Rock and Roll Hall of Fame dès vendredi prochain 7 avril.

La 32e cérémonie annuelle se tiendra au Barclays Center de Brooklyn.

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Potins

Neil Young n’est pas fâché contre Donald Trump

Ceux qui voyaient un grand désaccord, voire un grand scandale dans l’utilisation d’une chanson de Neil Young par Donald Trump l’an dernier, seront probablement déçus.

Vrai que Young avait publiquement manifesté son désaccord, lui qui appuie plutôt le candidat Bernie Sanders, mais le chanteur affirme ne pas en vouloir à Trump, loin de là.

«J’ai d’abord dit que j’appuyais Bernie, puis Trump ne m’a pas demandé la permission d’utiliser Rockin’ in the Free World (NDLR: après un discours). Ça ne veut pas dire qu’il ne peut pas l’utiliser. Il a acheté les droits. Je veux dire, il affirme qu’il a acheté les droits, et je le crois. Je n’ai donc rien contre lui. Vous savez, une fois que la musique est rendue publique, tous peuvent l’utiliser pour n’importe quoi. Mais si l’artiste qui a fait la chanson dit que tu ne lui as jamais demandé la permission, si tu apprécies vraiment cet artiste, tu vas probablement cesser d’utiliser la chanson. Donald a arrêté de l’utiliser», a expliqué Young à Reuters, concédant qu’il aurait probablement dit oui à Trump s’il lui avait officiellement demandé la permission dès le départ.

Légalement, Trump pourrait donc utiliser Rockin’ in the Free World sans problème, mais il a décidé de respecter la demande de l’artiste qu’il admire.

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Photo : BANG/BIG

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Potins

Neil Young en guerre contre Monsanto

Le chanteur Neil Young a publié sur sa page Facebook un documentaire qui, il l’espère, ne manquera pas d’ouvrir les yeux de la population sur le quasi-monopole de la compagnie Monsanto.

Monsanto est une entreprise américaine qui se spécialise dans l’agriculture. Young lui reproche notamment de ne pas laisser de place aux indépendants et de tout rafler sur son passage.

«Monsanto est une corporation qui contrôle 90% de l’industrie du soja et du maïs en Amérique. Les fermes familiales ont été remplacées par des gigantesques entreprises dans notre grand pays que nous appelons notre maison. Plusieurs organisations se sont battues contre elle, et ont perdu, depuis 30 ans», explique Young.

Le chanteur n’en est pas à son premier combat contre Monsanto. Son plus récent album s’intitule The Monsanto Years, et on y retrouve des chansons traitant du même sujet.

Monsanto a réagi à cette nouvelle attaque de Young en disant que de nombreux préjugés existaient envers leur entreprise et que les chansons de Young reflétaient bien cette réalité. La compagnie a ajouté que plusieurs employés étaient et sont encore des fans de Neil Young, mais qu’il était dommage qu’une telle désinformation soit répandue.

Photo : Facebook

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Potins

Neil Young furieux contre Donald Trump

Le chanteur canadien Neil Young n’apprécie pas que le milliardaire Donald Trump utilise sa chanson Rockin’ in the Free World sans son consentement, affirme le Globe and Mail.

Le riche Américain a officiellement lancé mardi (16 juin) sa campagne électorale à la présidence des États-Unis. C’est sur les notes de Rockin’ in the Free World que Donald Trump a fait son apparition sur la scène devant ses partisans. 

Le problème est que Neil Young n’avait pas été prévenu de l’utilisation de sa chanson dans ce contexte électoral. Dans un communiqué, l’équipe du chanteur s’est insurgée : « Donald Trump n’était pas autorisé à utiliser Rockin’ in the Free World pour l’annonce de sa candidature présidentielle. Neil Young, un citoyen canadien, accorde son appui à Bernie Sanders dans la course à la présidence des États-Unis. »

Dans l’histoire de la course à la présidence américaine, ce n’est pas la première fois que des candidats utilisent des chansons sans le consentement des artistes. En avril dernier, le sénateur Marco Rubio a utilisé Something New d’Axwell and Ingrosso sans avis. Mitt Romney s’est fait prendre ainsi à trois reprises au fil des ans. Même l’ex-président Ronald Reagan s’était attiré les foudres de Bruce Springsteen lors de l’emploi sans consentement de la chanson Born in the USA.

Photo : BANG/BIG