Catégories
Potins

Michael Bublé encense les femmes et la mère de son enfant

Michael Bublé serait beaucoup moins fort que les femmes en général, confie-t-il, et plus particulièrement la sienne, Luisana Lopilato.

Music-News rapporte des propos à la fois drôles et touchants de la star de la chanson, alors qu’il se dit plus fragile, moins courageux et plus sensible à la douleur que les femmes, spécialement celles qui doivent traverser l’épreuve d’un accouchement… ou plusieurs.

« Vous savez, les femmes sont des dures. Honnêtement, le fait que vous puissiez passer à travers un accouchement, et le refaire encore, est incroyable. Je me suis coupé le doigt hier… je coupais si fort que j’ai traversé la peau. Je croyais que j’allais mourir. Voilà à quel point je suis faible. Je me suis coupé le doigt et je pleurais », avoue avec humilité le chanteur.

Bublé et sa femme attendent un petit garçon, un enfant qui rend le chanteur de 37 ans fort heureux, mais fort nerveux, visiblement…

Catégories
Uncategorized

Des bactéries qui influencent l’appétit et nos choix

« Avoir faim » est un processus beaucoup plus complexe qu’il n’y parait, et des études récentes démontraient, notamment, que le cerveau peut jouer un rôle important dans la notion d’appétit.

Cette fois, c’est santelog.com qui rapporte une autre étude sur le sujet, qui parle des bactéries gastro-intestinales et de leur influence sur la faim.

On apprend dans ces recherches, publiées dans une édition du Journal of Bacteriology, que ces bactéries jouent non seulement un rôle majeur dans l’organisme, mais qu’elles agissent et réagissent aussi en partenariat avec l’individu pour prendre des décisions comme quand et quoi manger.

En effet, il semble que ces bactéries (et la flore intestinale) ont un comportement de « boucle » avec le cerveau et l’organisme, et réagissent en fonction de ce que l’on mange et selon nos habitudes.

Ce que cela signifie, c’est que les bactéries gastro-intestinales réagissent presque émotionnellement et sont influençables. À l’origine de certains cancers, elles subiraient des changements selon les humeurs de l’individu et enverraient des messages au cerveau, qui lui « répondrait » à son tour.

« Les bactéries sont la reconnaissance et la synthèse des hormones neuroendocriniennes », conclut Victor Norris, de l’Université de Rouen.

Il s’agit d’une découverte qui pourrait changer la perception et l’analyse des spécialistes en matière d’alimentation, d’obésité et de certaines maladies graves.