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Une KitKat végane bientôt sur les tablettes

La marque de tablettes de chocolat KitKat innovera en lançant une version végétalienne de célèbre barre de chocolat.

Nestlé, le fabricant de ce produit, annonce que cette nouvelle KitKat sera disponible dans certains marchés d’ici la fin de l’année.

La nouvelle tablette se nomme KitKat V. Développée à York au Royaume-Uni, où fut inventé le produit original, cette nouvelle tablette de chocolat est fabriquée à base de plantes.

Des sondages d’opinion réalisés par Nestlé ont convaincu la multinationale à aller de l’avant avec cette nouvelle variété de chocolat. La marque a constaté un net intérêt des consommateurs pour des produits à base de riz, d’avoine, de soja, de noix de coco, de pois et d’amandes. Elle a donc décidé de faire une place de plus en plus importante pour ces aliments prisés.

«Il y a une révolution culinaire qui change la façon dont les gens mangent. Nous voulons être à l’avant-plan pour découvrir la nouvelle nourriture et les boissons à base de plantes. Quoi de mieux pour cela que de l’offrir pour l’une des plus populaires et appréciées des marques. La nouvelle KitKat V signifie que les amoureux du chocolat ont maintenant une bonne option disponible à base de plantes», explique le fabricant.

La barre KitKat V est certifiée végétalienne et utilise du cacao de source durable, affirme Nestlé.

Il n’a pas été possible d’apprendre quand la KitKat V sera offerte au Canada.

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Attention aux nouvelles barres de chocolat

Selon le site du Telegraph, deux carrés de la barre Wonka Millionaire’s Shortbread contiennent à eux seuls plus de 111 calories.

Il serait bon de rappeler l’importance de toujours vérifier l’étiquette d’éléments nutritifs apposée à tous les aliments vendus au marché. Certains ont des taux de sucre, de gras et de calories si élevés qu’ils équivalent à un repas complet de malbouffe.

On apprend que la teneur en calories de cette nouvelle chocolaterie est supérieure de deux fois à celle d’un hamburger Big Mac de McDonald’s.

Les organisations faisant campagne pour la santé partent en guerre contre Nestlé. Particulièrement le National Obesity Forum, qui accuse entre autres la compagnie de ne pas respecter le programme gouvernemental Responsability Deal, qui consiste à s’engager à couper l’apport calorifique dans les bonbons et sucreries.

Tam Fry, administratrice du National Obesity Forum, déclare : « Nous tentons de réduire l’obésité infantile, et Nestlé peut bien dire qu’elle vise les femmes de 25 ans, mais ils savent, je sais, et vous savez aussi que Wonka va enthousiasmer les enfants, et qu’eux aussi vont en manger. C’est impardonnable ».

Bien que Nestlé soit visée ici, d’autres grandes compagnies produisent des barres tout aussi caloriques, notamment Cadbury.

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Nestlé met le cap sur l’alimentation médicale

(AFP) – Le géant suisse de l’agroalimentaire Nestlé, connu du grand public pour ses laits pour bébé, son Nesquik ou son café Nespresso, met le cap sur un nouveau secteur de développement, « l’alimentation médicale », sous l’égide d’un ambitieux Institut pour les sciences de la santé.

Inauguré vendredi (2 novembre) à Lausanne, cet institut, où travaillent une centaine de scientifiques bénéficiant d’équipements ultra-modernes, se concentre sur l’étude des maladies non transmissibles et leurs liens avec l’alimentation.

Grâce aux recherches de cet institut, Nestlé espère mettre au point des aliments pouvant influencer ces maladies, les prévenir, ralentir leur transmission ou même les guérir un jour, selon les mots de Luis Cantarell, directeur de la division Health Science et Nutrition de Nestlé.

Avec cet institut, Nestlé veut « s’engager à accélérer la recherche et le développement » afin de créer de nouveaux produits qui devront répondre aux futurs défis de santé publique, selon Paul Bulcke, administrateur délégué de Nestlé.

Nestlé s’intéresse particulièrement à trois types de maladies, les maladies neurologiques comme Alzheimer, les maladies chroniques comme le diabète, et les maladies liées à la gastroentérologie.

À terme, Nestlé entend mettre au point des aliments d’une nouvelle génération, qu’il ne veut pas appeler des « alicaments », mais plutôt de la « medical food ».

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Nestlé lance ses dosettes de lait pour bébés

(Relaxnews) – Après un an de commercialisation en Suisse, la machine BabyNes de Nestlé, qui permet de préparer un biberon en utilisant des capsules de lait maternisé, arrive en France.
 
Après avoir révolutionné le quotidien des amoureux du café en inventant la capsule pour machine à espresso sous sa marque Nespresso, Nestlé débarque en France au rayon bébés avec une nouvelle façon de préparer le biberon.
 
La firme suisse a mis au point un système permettant de doser le lait maternisé et la température du biberon.
 
À l’instar d’une machine espresso, qui attend de recevoir une capsule pour servir le café, BabyNes lit le code barres de la capsule pour préparer le biberon adéquat, avec la quantité d’eau nécessaire.
 
Le repas d’un bébé peut être ainsi servi en moins d’une minute, de 6 jusqu’à 36 mois.
 
À propos de la capsule, Nestlé s’est attaché à développer un système qui évite au lait maternisé d’entrer en contact avec la machine et à le protéger de toute contamination extérieure.
 
La machine est commercialisée à partir du vendredi 7 septembre. Les capsules sont vendues sur le site internet www.babynes.fr .
 
D’autres pays devraient bientôt voir arriver cette innovation en magasins.
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Du chocolat de luxe chez Nestlé

Le chocolatier suisse Nestlé lancera une gamme de chocolats de luxe sous la marque Maison Cailler pour 2012.
 
Il s’agira ici d’un véritable produit haut de gamme. Les clients seront appelés à commander cinq chocolats de dégustation et écrire leurs impressions. Ensuite, dans les 48 heures, ils recevront une boîte de chocolats personnalisés selon leurs goûts. Les chocolats auront la forme du mont Moléson, que l’on retrouve en Suisse.
 
Ce type de concept personnalité devient de plus en plus populaire. Plusieurs chocolatiers l’offrent maintenant, selon certaines variantes. Même les populaires chocolats M&M offrent la possibilité de personnaliser ses sachets de friandises avec un message ou une photo.
 
Le monde du chocolat se développe également avec des produits raffinés. À plusieurs endroits, on propose des dégustations de chocolats, tout comme on le fait avec le vin.
 
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Un nouveau dessert à faire soi-même

Nestlé lance un tout nouveau dessert glacé en exclusivité dans les dépanneurs Couche-Tard.
 
Le C[rave] est un dessert glacé à faire soi-même en magasin. Offert en cinq saveurs de glaces, vanille, chocolat, fraises, caramel et capuccino, vous y ajoutez des morceaux de Coffee Crisp, Smarties ou Kit Kat.
C’est donc une vingtaine de combinaisons de desserts qu’il vous est possible de réaliser.
 
Pour promouvoir le nouveau produit, on a lancé la campagne Job d’été : verse, mélange, mange.
 
Les machines distributrices sont installées dans les 450 succursales des dépanneurs Couche-Tard au Québec.
 
Offert en format de 325 ml pour 3,49 $, ce dessert glacé arrive à point pour l’été. Comme vous pouvez le préparer à votre goût, le plaisir n’en sera que multiplié.
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Boycottage des produits Nestlé

La pause Kit Kat est terminée. L’organisme Greenpeace a publié un communiqué pour lancer un appel au boycottage des produits Nestlé, comme la tablette de chocolat Kit Kat.
 
C’est que la compagnie est accusée d’utiliser encore de l’huile de palme de l’Indonésie, dont l’origine serait plutôt douteuse et néfaste pour l’environnement. C’est ce qui ressort du rapport de Greenpeace, intitulé Pris en flagrant délit, publié mercredi (17 mars).
 
« Nestlé utilise de l’huile de palme issue des la destruction des forêts tropicales et des tourbières indonésiennes pour la fabrication de certains de ses produits, telles les barres de chocolat Kit Kat. Le géant alimentaire mène ainsi les orangs-outans au bord de l’extinction et accélère les changements climatiques », mentionne Greenpeace dans son communiqué de presse.
 
Le fabricant alimentaire aurait rapidement réagi et emboité le pas de la compagnie Unilever qui, l’année dernière, a rayé Sinar Mas de ses partenaires d’affaires. Nestlé aurait rompu aussi son contrat avec ce fournisseur d’huile.
 
Pour l’organisation environnementale, c’est un début, mais ce n’est pas suffisant. « Nous demandons à Nestlé de faire un vrai ménage dans sa chaîne d’approvisionnement », ajoute la directrice de Greenpeace Québec, Mélissa Filion.
 
Ainsi, on demande aux consommateurs d’écrire à Nestlé et d’arrêter d’acheter ses produits jusqu’à ce que la compagnie ait pris des mesures satisfaisantes pour remédier définitivement à la situation.