Selon le Dr Ben Z. Katz et ses collègues, de la faculté de médecine de l’Université Northwestern à Chicago, les adolescents qui ont souffert d’une mononucléose sont plus à risque d’être candidats au syndrome de fatigue chronique.
Les chercheurs ont observé 301 jeunes aux prises avec l’infection, dont 24 % n’étaient pas totalement remis six mois après le diagnostic de mononucléose.
Un an plus tard, encore 7 % des patients éprouvaient encore des symptômes de fatigue chronique. Le taux baissait à 4 % deux ans après le premier diagnostic, ce qui représente 20 fois plus de cas que dans la population adolescente en général.
Selon le Dr Katz, il faut maintenant se pencher sur les différences de pronostic entre les adolescents.